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L'ACCIDENT DE VOITURE
Le samedi 20 septembre 2025 par christophe simoni
Y10
Dans une autre vie, plus jeune et plus effronté, j'ai vécu une expérience, hors du commun qui devait porter à conséquence, plus que la normale et que l'on peut considérer comme dingue. En mars 1989, pour être très précis, en sortant, un soir, pour me rendre dans les quartiers du centre de la capitale, j'avais mes habitudes et un vendredi soir avec des amis, nous nous donnons rendez-vous au Piano Vache, un bar pitoresque près du Panthéon dans le cinquième arrondissements de Paris. Ce soir-là, j'ai la chance de disposer d'une voiture, en l'occurrence, une petite Lancia appartenant à ma mère, le modèle Y10.
Piano Vache
Arrivé sur place, je consomme une bière et retrouve des connaisssances dans une ambiance festive où tout le monde, s'adresse à tout le monde dans une atmosphère conviviale et détendue. Puis, alors que je suis au bar, je rencontre un couple, un tout petit peu plus jeune que moi et "en tout bien tout honneur", tous les trois, nous entamons, une conversation. Après une discussion tout à fait normale, un peu plus tard, je leur propose de les raccompagner chez eux en voiture, chose qui m'apparaît comme incongrue, aujourd'hui, mais après tout, pourquoi pas...
Le XV èmes arrondissement de Paris
Ils acceptent et nous voilà partient. En bas de leur l'immeuble, ils m'invitent à monter dans leur appartement et j'approuve. J'ai bu mais je ne suis pas ivre et tout va encore bien. A leur domicile, ils me proposent de boire un verre de bourbon (une sorte de wisky) du Jack Daniels, très exactement. Je bois une gorgée, puis dans la foulée, je termine le verre, à cet instant, très vite, je sens que quelque chose ne va pas, je ne me sens pas bien. Je tourne les talons et je m'éclipse rapidement. Je suis dans le 15ème arrondissements de Paris. Je récupère la voiture et je retourne chez moi, Porte de Champerret. En voiture, je conduis vite, mes idées s'enchaînent les unes après les autres à la vitesse grand V et je prend la direction de ce que l'ont appelle les boulevards des maréchaux, (les boulevards extérieurs) ce sont les grandes avenues qui entourent l'intéragralité de Paris (intra muros). Je ne sais pas pourquoi, en cherchant à éviter les feux rouges, je prends un chemin paralèle dans des rues entre des jardins et les immeubles et quand j'arrive sur ce que je crois être un carrefour, je me rends compte que c'est en fait une sorte de place, un rond-point. Je freine, mais trop tard et je grimpe sur le terre-plein, les deux roues avant sur une sorte de trottoir. Je suis porte dauphine. Le choc est violent, mais à cette heure, il n'y a aucune circulation importante et je reste seul dans la nuit et là, je comprends que cela aurait pu être pire avec des conséquenses désastreuses car ma vie était en jeu. Après une manoeuvre difficile, je recule et je trouve une place où me garer. La voiture endommagée reste immobilisée et je sors du véhicule, je croise, à cet instant, deux policiers en patrouille à pied, ils me demandent si tout va bien; je réponds que oui. Je n'ai rien, je suis indemne et j'ai cette chance. Il est une heure du matin et je rentre à pied, Porte de Champerret.
Ivan, encore lui
A l'époque, je sors avec une fille la fameuse gourgandine Sophie t. depuis octobre 1988 et elle joue un jeu très trouble, je rappel au passage qu'elle fréquentais la petite planète de la télévision et qu'elle fait dans l'aurore boréal sexytonique et qu'elle est très généreuse et que je suis certain qu'elle a déjà fait le tour de la planète de mes connaissances avec les recommandations express de f.mitterrand ou de J.chirac comme "guest star". En tout cas, elle marche en paralèle aussi pour hachette, matra, lagardère et la probable préfecture de police. C'est Fred m. qui va me la mettre dans mes pattes, le fameux fred qui lui, me fera rencontrer, pour la première fois Ivan. Ivan le nuisible, en 1987 à Saint-Cloud (78) et qui va provoquer à mon intention au moins une Tentative d'Homicide Volontaire me concernant. Un type qui est un dangereux faschiste et une sorte de psychopathe avec en arrière-plan le front national. Ils n'arriveront pas à m'avoir, (J'échappe à une mort presque certaine en septembre 2021) mais j'ai eu de la chance, vraiment...Alors pour en savoir plus; je vous recommande de consulter le lien suivant : Ivan le plus grand nuisible du front national, encore en liberté
Pas un fanfaron
Le samedi, je téléphone à mon père et je lui raconte l'incident. Il rentre à Paris le dimanche et nous irons sur place, pour constater l'état du véhicule. L'attitude au sein de ma famille, après l'accident, a été remarquable. En ce qui me concerne, il ne s'agissait pas de faire, ni le fanfaron ni surjouer un drame qui aurait pu être bien plus terrible. Donc, je n'en menais pas large et je n'étais pas, vraiment fier de moi avec cet évènement. Toutefois je ne tire pas toutes les leçons de ce qu'il m'est arrivé durant cette nuit et la conclusion qu'il fallait en retenir. A ce moment, je ne comprends pas que j'ai pu être empoisonné lors de mon passage chez le jeune couple du XV ème arrondissements. Je ne comprendrais que bien plus tard la situation dans laquelle j'ai été améné à boire un liquide frelaté et dangereux qui a provoqué un tumulte cérébrale désastreux et qui aurait pu me couter la vie, mais j'ai eu une chance incroyable d'être encore présent et de vous racontez cette histoire. Mes parents et mon frère n'ont pas voulu exagérer avec une ridicule réprimande ou quelques reproches avec cet épisode malheureux. J'étais vivant, il fallait s'en satisfaire avec ce moment qui était important dans ma vie. La confiance qui régnait dans la famille, ne pouvait être remise en cause et l'essentiel portait sur la cohésion des uns et des autres. C'était assez fin comme réaction et depuis, je n'ai jamais eu d'autres accidents de conduite avec une voiture que celui-ci. Ce type d'évenement peut être traumatisant dans une famille à peu près saine et la tactique a été de dédramatiser la situation et je peux même supposer que déjà cette volonté s'orchestrait avec une volonté d'apaisement. En tout cas, c'est maintenant que je peux faire la lumière sur cet incident. Mais j'ai, par manque de lucidité avec le mélange incompatible de l'alcool et des médicaments, occulté, ce qui est maintenant une évidence depuis décembre 2021, date à laquelle j'ai arrêter l'alcool complètement.
Sophie t. Super-sexytonic
Donc, aprés mon retour porte de champerret aux alentours de 2 heures du matin, après l'accident de voiture. Sophie t. attend gentillement mon arrivée devant l'entrée de l'appartement, rue jean moréas à Paris. Je lui raconte ma soirée en détail: le piano vache; le couple de jeunes; l'appartement du XV ems; l'accident et mon retour. Et là, ce qui se trâme dans mon dos, c'est le fait qu'ils vont s'emparer (l'extrême droite, et la droite) de ce triste épisode pour me mettre une "mise en cause" sur le dos dans une affaire de stupéfiant via l'intermédiaire de sophie t. Il faut préciser que je n'ai jamais été entendu par la police pour des affaires de stupéfiant, je suis à l'époque un petit consommateur de drogue, sans toutefois avec d'importants excès et mon seul crime important c'est d'avoir passé trois séjours d"un week end à Amsterdam et d'avoir consommé à cet occasion du cannabis et les Hollandais ont aussi le droit de savoir faire des bétises avec son immigration. Toutefois, la police me laisse tranquille et cette addiction psychologique avec ce produit illicite que représente le cannabis va me géner pendant dix ans de ma vie de 1987 à 1997. Si les médecins avait fait leur travail et que les militaires de l'armée de terre ne m'avait pas prient pour une chèvre, ma vie aurait pu être toute différente mais ils ont préférés les uns et les autres me considérer comme malade à temps plein qui devait prendre "un max". Néanmoins la politique se veut être la suivante et il semblerait que sophie t. va faire un faux témoignage en racontant qu'elle était dans la voiture alors que je conduisais sous l'emprise de drogue dure consommé délibérément. En tout cas, j'étais seul dans l'habitacle de la voiture et dans le verre de Bourbon bû dans l'appartement du XV arrondissements devait se trouver un mélange de saloperie de type coke, héroine mais en tout cas, je l'absorbe sans savoir ce que contient réellement la bouteille et ma conduite au volant prouve que le produit était très puissant. Son probable témoignage racontant qu'elle se trouve dans la voiture est faux, évidemment et j'étais sous l'emprise d'une sale drogue contre mon gré, forcément, tout cela avec l'intention certaine et qu'au finale que je me tue dans un tragique accident. Comme l'écrivait Friedrich Nietsch "Votre femme vous trompe, vous l'imaginez déjà écartant les cuisses", qui n'est pas très éloigné de ce type de situation à trois. En conclusion, elle a peut être mentis en soutenant l'idée que je l'avais mise en danger dans la voiture, tout ça avec l'aide de ses deux probables nuisibles complices fred m. et celui que j'appel Ivan le nuisible avec une procédure apprise par coeur auprès de la police ou de la justice ce qui m'obligera à devoir fréquenter des psychiatres et subir un traitement lourd et médicamenteux, pendant des années comme le fil à la patte d'un grave caméléon. Ca va durer (de 1989, à ce jour 2025). Je n'en suis pas encore sorti de ces faits incroyable et de cette injonction médicamenteuse et comme disaient Les frères Lefdup, "l'ont n'a la paix nulle part même quand on l'a vraiment, perdu dans un banal disque dur, qui dur, qui dur, qui dur".
L'insomnie de rigueur
Un mois après l'accident de voiture, au mois d'avril 1989, commence la pire des situations pour moi car pendant 8 jours, je ne dormirais plus que 2 heures par nuit car je ne trouve le sommeil qu'à partir de 6 heures du matin et à 8 heures, je me réveil. Je dors dans ma chambre de bonne au septième étage du 6, rue jean moréas, porte de champerret à Paris. Il est très probable que pendant mon abscence la moquette a été saupoudré de poudre de meta-amphétamine ou son équivalent (Une drogue de synthèse qui empèche de dormir et fait cogiter les méninges) et au petit matin à bout de force, je m'endors. Après le bout des nerfs pendant une semaine de ce traitement ma mêre s'inquiéte de la situation à laquelle je suis confronté et elle va sur les conseils "d'amis" me trouver un psychiatre. Je rencontre le docteur Geneviève c. où ça ? Bah à Neuilly sur Seine, bien sûr et avec des médicaments tout va mieux, évidemment...
Sophie et son général
Mais ce n'est pas tout. Pendant ce temps d'avril à juin 1989, je continu à fréquenter sophie t. Et un jour, elle me donne rendez-vous dans un appartement à Courbevoie d'une "amie". Ca se trouve à l'ouest de paris près de la défense juste à coté de : "Neuilly sur Seine" pour changer... et rétrospectivement, il y a fort à penser que cet appartement était le domicile d'un général de l'armée de terre qui est mort depuis et si vous êtes gentil, je vous dirais son nom en le chuchotant dans votre oreille, histoire de savoir si vous avez encore son nom et son numéro de téléphone dans votre répertoire téléphonique. Son nom commence par G et se termine par N. Non pas "Georgien", mais presque et la dame est toute propre comme jamais depuis l'incendie de Pâques à Noël et allélouia, il est né le divine enfant...mais dites-moi, ce bébé éprouvette... il est né en Pologne ou au USA ? Dans une famille Eskénaze ou du Minnesota ? De tout cela je ne peux en avoir la certitude, mais au final, pourquoi pas ?
La pharmacie pour la vie
Pendant 35 ans la situation ne vas pas beaucoup évoluer en ma faveur et je suis obligé de vivre avec des médicaments. Ils agissent comme de la drogue et si vous êtes en manque, une lente dégradation de votre santé se fait ressentir. Il faut environ 15 jours sans prise de médicaments pour que les symptômes détractent votre santé, quelle soient mentale et physique. La vraie question auquelle les médecins ne veulent pas répondre est la suivante. Les médicaments provoquent une dépendance ou soignent-t-ils une maladie précisément invalidante ? Les psychiatres cherchent à vous le démontrer en vous hospitalisant au moindre soupçon d'arrêt du traitement et Jules Romains et son docteur Knock dépassent tous les autres sommets de réalisme, il y a déjà très longtemps. Ce qu'il faut pourtant voir dans cette maladie c'est le fait que le traitement est dans la majeure partie des cas prescrits pour des addictions à la drogue ou à l'alcool avec des individus vivant parfois dans une très grande précarité. Toutefois, beaucoup de médecins vous promène verbalement sans répondre vraiment aux questions concernant le traitement et ses conclusions sur votre etats de santé. Il n'y a pas loin à penser que vous êtes dans le bureau d'un psychiatre parce qu'à trois reprises vous avez eu, un jour 17 ans avec votre compagne du moment dans votre lit. Ou encore vous avez dans votre vie achetez trois barettes de cannabis. Ou sinon bû trois canettes de bière lors du nouvel an chinois dernier. Le maître de tous les maux restant le plus fort et cela rime avec cannabis. Dans ces conditions, pour attirer les foudres de la préfecture, il n'y avait rien de pire au royaume du défunt Jacques Chirac (RIP) qu'évoquer le fléau du magreb, le scorbut en résine, le cancer du Rif en un seul mot le cannabis. Et si ça peut être étayé par une hôtesse de l'air avec un faux témoignage et une mise en cause pénale, l'on en demande pas plus pour que vous soyez le premier perdreau de l'année tué par un peloton d'exécution de chasseur aviné. Dans ce cas précis le RPR pouvait sonner le tocsin du moindre pékin perdu dans la jungle de l'administration punitive et de la répression à tout crin. C'est exactement ce qu'il m'est arrivé. Le problème pour ces abrutis de la république c'est que je suis encore vivant et que je reste vigilant et difficile à atteindre. En tout cas, s'il devait m'arriver quelque chose de mortelle ou de grave alors que je suis encore dans le calvados, il faudra s'orienter vers la piste du soin thérapeuthique auquel je suis soumis car je dois prendre mon traitement médicamenteux sous le contrôle de personnel soignant dépendant de la mairie de deauville, une mairie qui d'ailleurs, penche au centre-droit de l'échiquier politique. Problème évident de climat sous ces hospices, c'est avec les cachets que je suis le plus vulnérable car certain sont conçu dans un laboratoire de la ville et selon les recommandations d'un médecin. S'il s'avérait que je dois être liquidé, ce ne peut être que par le biais de la molécule additionnelle et destructrice à mort et dans ce cas de figure l'on ne sait pas où ? Ni quand ?...Pourquoi ? Car c'est mon seul point faible, le reste du temps, je fais très bien la guerre pour rester en vie. Et forcément, je gêne...
Sortir du rang
Les médecins par cynisme ou par peur de l'appareil politique, administratif et militaire n'ont jamais voulu me faire éviter jusqu'à présent la maladie obligatoire qui opère par dépendance sur le patient. J'ai remarqué, juste un simple phénonème de cause à effet qui contrôle un maintien de la santé mentale et physique dans une forme acceptable pour la société civile. En cas d'arrêt du traitement, vous sombrez dans une sorte de folie qui n'a de cause uniquement que parce que les molécules incluent dans les médicaments vous maintiennent dans un état de besoin physique. Si le traitement est stoppé, ce n'est pas la maladie qui prends le dessus, c'est le médicament qui entretient le besoin qui fait défaut.
Crime et châtiment
Concernant votre pédigrée judiciaire qui sous des horizons lointains vous oblige à subir la loi des hommes. la précarité vitale peut être engagée. La condanmation à une peine de mort sociale (exclusion, précarité) ou au cimetière (assassinat, mort), dans ces deux cas, les motifs sont très discutables avec ce qui reste avant tout une prise de décision ferme et définitive avec comme cause, des facteurs multiples. Le tout est de savoir ou commence le crime et où s'arrête le châtiment.
Témoins du mensonge
Dans un contexte social difficile où l'antagonisme politique se joue à quelques milliers de voix dans des joutes électorales présidentielles, cette volonté mordide de vouloir tuer son prochain est de rigueur chez les extrêmistes avec des violences de différends degrés. En tout cas, je parle de mon cas, c'est mon histoire, mon parcours, ma vie que je décris ici et je mets ici ce que je retiens depuis 35 ans (d'expérience de santé dans un registre privée). Ce qui dans le camp adverse a provoqué chez ces petits crétins procéduriés à brandir pour un oui ou pour un non le code pénal et quand ce n'est pas suffisant la porte se doit d'être impérativement pour nous, ouverte à tous les vents sinon des miasmes nous agressent et votre santé décline. C'est ainsi qu'ils sont souvent dans l'obligation de faire jaillir les faux témoignages de la situation, les faux témoignages de la délation, et ceux des circonstances pour vous comdamnez devant les tribunaux dans le moindre des cas où pour vous tuez dans le pire.
Le droit au réveil
Evidemment, ils se sont sentit l'obligation d'organiser une tentative d'homicide volontaire avec un mini AVC (Accident Vasculaire Cérébrale) en Septembre 2021. Je ne sais pas encore à quoi m'attendre en plus, être guillotiné peut être ? Comment une telle injustice de ce type a pu persister encore avec des méthodes dignes de barbouzard d'amérique centrale, oui comment...? Je l'ai formulé à plusieurs reprises c'est comme si je n'avais rien fais. A partir de décembre 2021, là, en quelques sortes, avec mon médecin traitant, j'ai le droit d'arrêter l'alcool, sinon j'ai droit à un cancer du foie. Compte tenu de ce fait marquant, c'est toute ma santé mentale qui va être à la suite de ce détail de l'abstinence profondement bouleversée car le mélange alcool et médicaments provoque des troubles mentaux importants. Et définitivement tout à fait imcompatible, pourtant jamais un psychiatre ne m'a fait cette remarque en abordant le problème "alccol" et je considère que c'est une faute professionnelle d'importance. C'est mon médecin traitant qui va agir avec cette précaution qu'il m'indique. Comme je ne suis pas fou, ni suicidaire, évidemment, j'arrête l'alcool mais pourquoi avoir attendu si longtemps avec cette injonction digne de Kafka. C'est un peu tard pourtant et si tout le monde avait fait son boulot normalement, j'aurais pu être opérationnel dés 1991, avec un cerveau tout neuf très vite. Mais les intérêts politicards de quelques petits trous du cul, n'ont pas adhérés à cette thèse, en 1991, pire, ils l'ont combattus. Par ailleurs, et de ce fait ma santé mentale à partir de fin 2021 va considérablement évoluer, je retrouve très vite mon libre arbitre, ma créativité, mon esprit de synthèse, ma faconde, mon élan, et une partie de mes capacités qui depuis si longtemps m'ont tant fait défaut. Je ne suis plus le même et dés lors, il y a a très bnettement un avant et un après. A partir de 55 ans, l'on m'a donné la possibilité de retrouver mes moyens intelectuels, mais qui dois je remmercier ? Dieu ? Le pape ? Ou la gardienne de l'immeuble ?
Pas le premier, hélas...
J'ai toujours gardé en mémoire cet épisode de l'accident de voiture et de mes premiers rendez-vous chez un psychiatre. Car au moment où ce n'était que le début de ce qui sera mon parcours du combattant pendant des années, je n'avais pas réellement compris comment j'en étais arrivé à une telle situation. Je le dois au fait que la prise l'alcool n'avait jamais été remise en cause par les médecins. A l'époque des premiers faits, en mars 1989, je ne vivais pas encore avec des médicaments au quotidien et après mûre réflexion, je peux, ici et aujourd'hui affirmer qu'avec des produits chimiques qui, ont à cette occasion ont été très fort, mon corps à beaucoup subit la fatigue et une augmentation importantes d'effets indésirables. Je ressens avec certain médicament les symptômes de la maladie avec laquelle je suis sensé être soigné. Cependant, même si cela n'a pas été toujours très difficile, c'est compliqué de se représenter que cela aurait pu l'être moins.
L'idiot du village
Je n'ai jamais recroisé le petit couple du Piano Vache et c'est après avoir arrêté la moindre goutte d'alcool en décembre 2021, que quelques mois plus tard j'ai fini, par comprendre l'enchaînement de la séquence "accident de voiture"; avec le déroulé de cette histoire qui aurait pu s'achever définitivement sur une mort brutale.J'avais eu affaire à des barbares violents et organisés comme des terroristes et je me laisse supposer que c'était une action envisagée par l'extrême droite. A l'inverse, comprenant l'effet et la cause; et me souvenant de la sortie de l'ombre de Laurent b. et de ses oeuvres du "Jack Daniels" la pièce de théatre au film "Les clefs de voiture" que je n'ai pas vu. C'est aujourd'hui limpide et avec Laurent b. et d'autres ceux qui connaissaient l'envers du décor, ils ont réussient en toute connaissance de cause à gagner de l'argent avec ce qui les a inspiré à l'époque (1988/2025) et avec cette histoire, la mienne peut être en l'occurence, mais aussi d'autres témoignages encore plus glacant, ils vont en savoir tirer partie. Comme démonstration, c'est absolument fabuleux et heureusement, je suis toujours en vie, (septembre 2025). L'histoire pour autant n'est pas terminée.
Une intervention salutaire
Il en restera un chemin de vie contrarié où parfois le labyrinte et le parcours sont difficiles à cerner car marqué par des ornières jonchant la route de nos vies cabossés que l'ont soit insignifiant ou génial, ou juste passable. Je peux retenir que les médecins ne m'ont pas tous fait de cadeaux et j'ai eu droit, depuis 1989 aussi à des "soins" s'attaquant à mon intimité et à ma liberté d'action. Toutefois, je n'ai pas fais de prison suite à la plainte dont j'ai fait l'objet pour avoir à écrit des lettres à une journaliste (daphné roulier) et à Canal plus. Néanmoins j'ai dû me rendre pendant dix ans, à l'hôpital de jour, (2006, 2016) j'ai peut être participé par ma présence à une prise de conscience dans les plus hautes sphères de l'état et trouvé certain appuis avec une réalité et une possible intervention légitime et salutaire car à partir d'aout 2016, l'astreinte d'avoir à me rendre à l'hôpital de jour, deux jours par semaine est levée. Il s'agit par la suite dans le dispositif d'être entendu par une psychologue dans un CMP (Centre médico-psychologique) pendant 4 ans.(2017/2021). Il n'était pas évident que je puisse pouvoir m'éloigner de l'emprise administrative de ce capharnäum encombrant que représente les lieux ou normalement les soins sont prodigués sans calculs. Mais aussi et heureusement, j'ai eu la chance et la joie d'être né dans une famille extraordinaire qui a su lutter avec moi dans le silence. Il serait injuste de ne pas avoir une pensée pour tous les autres, ceux qui ont été confronté à ce type de problème et qui sous la pression de sachants zélés avec des maladies que l'ont vous invente se résoud à vouloir vous nuire, volontairement. Problème mental ou pas, il existe probablement beaucoup de cas de figure où il s'agit de problème physique méritant des soins constants et l'on sait bien comment arrive les premiers symptômes, souvent à la suite d'un repas entres "amis" ou d'une ou plusieurs nuit dans un environnement hostile. Et les médecins obéissent et répondent par leur zéle et leur soumission politique face aux élus. Autrement dit, "la hiéarchie, répond à la hiérarchie". L'on peut vite en conclure que: "Le chien mange le chat, le chat mange la souris, la souris mange le fromage et le fromage ne sent que mauvais."
Des honnètes gens ?
Le plus incroyable dans cette histoire, c'est le fait que bien des fois j'ai tirer sur la sonnette d'alarme de l'effrayante situation que je vivais comme les miasmes, ou le dégat des eaux, le "pet au casque" car en étant face à des véléités d'ordres malhonnètes quand elles ne sont pas d'ordre criminelles, là personne pour s'en appercevoir, tout est normal pour ces gens, ces militants et l'ont devraient parler d'eux comme étend "des honnêtes gens" ? Permettez-moi de sourire, face à ce slogan mais je devrais plutôt hurler à l'infamie car j'ai une autre définition du mot "probité". L'on ne peut pas dire qu'habitant à Deauville depuis un peu plus de 20 ans je ne suis pas un total inconnu. Ne serais-ce qu'à la superette auquel je me rends tous les jours. A mon arrivé en 2004, déjà mes parents et moi, l'ont nous regardait de travers dans les restaurants forcément, évidemment car à l'époque canal plus et Daphné roulier venait de porter plainte contre moi avec le motif plus que douteux du harcelement; Comme Daphné roulier n'est autre que la femme d'antoine de caunes et qu'il rêgne sur Trouville sur mer comme dans une petite baronie toute féodale et que ce détail de la plainte à mon encontre nuit à leur image de jeune "riche et célèbre super sympa" c'est toute cette petite planète qui est secoué avec une prétention puante et assumé. Parce que je me défends et que je suis bien défendu, je récolte peu mais cette plaisanterie aurait pu me couter cher, je m'en sors coiffé du chapeau pointu de l'irresponsabilité et je vais être interné d'office deux jours par semaine dans l'hôpital de jour de trouville/mer. Cette parenthèse va durer dix ans sans compter le passage de 4 ans au CMP. Et si je n'avais pas fait des pieds et des mains pour en sortir, j'y serais peut être encore.
Mais revenons à la ville et ses caciques, je crois que désormais les autorités s'imaginent que je pourrais devenir une sorte de chef d'entreprise, une sorte de deus ex-machina qui tombant du ciel pour faire des travaux simples avec son équipe de soldats villageois qui au rabais seraient prèt à aborder un nouveau travail, dans une nouvelle perspective, avec un nouveau travail autour de l'internet. Dans cette parenthèse aveugle, dans un eldorado merveilleux quand ce n'est pas parmis les mirages de l'intelligence artificielle et de sa sainte voie lactée. Je peux d'ailleurs commencer à payer les chers conseils de monsieur mon cousin, l'informaticien à quatre kilomêtres de là où j'habite mais je ne le vois plus jamais, je crois que c'est sa femme qui me regarde avec malice bovine. Et là, les mêmes sont près à passer le petit mouchoir parfumé sur les miasmes du climat ambient pour faire et défaire les secrets du potager ou pour un internement spécial dans le joli hôpital psychiatrique de la région qui va remettre en place les vilaines idées du garnement qui rouspete devant son écran car il a trop mangé de nougats. Comme le réquiem de la spécialiste de la santé qui me parle du cannabis comme de la rougeole, comme si à 59 ans cela pouvait être l'une de mes préoccupations majeures, j'ai faim mais pas encore au point de faire commerce de produits illicites. Ce qui est plutôt rassurant c'est que le GIGN n'a pas encore débarqué dans mon salon pour une intervention majeure dans des histoires de service après-vente, je tiens à rassurer les faiseurs de fantasmes à volutes parfumés du Népal que je ne suis pas celui que vous croyez et qu'ils devraient s'affranchir des contes et légendes d'une france rural en mal de faits divers et de plats variés venant d'une multinationale vendant du divertissement venant des étoiles. Quant à la population, j'attends qu'elle me surprenne; Je suis parfois étonné par une volonté de dialogue; Ce n'est pas si simple, bien sûr et ce que je remarque c'est que souvent les gens évoluent dans une france en ayant peur. Je porte sur mon front le reflet de l'injustice et de la révolte à bas bruit, celle de la marque irréversible, peut être celle de l'accouchement qui se termine mal comme un vaudeville tragique, peut être, mais aussi celle du produit chimique qui détruit, celle de l'instropection et du travail dans le silence de la nuit et pour finir celle du reproche facile à mon égard. Egalement sur mes épaules, repose une dénonciation de l'entre-soi qui respire dans mon sillage depuis 2004 venant d'une entitée trouble et dissimulé. J'ai su faire avec en n'en contournant les pièges mais je ne suis pas dupe, je ne l'ai jamais été. (à suivre) CS-20/09/2025
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