La vérité
Le plus grave dans cette histoire, c'est la vérité qui apparait comme être vissée au sol. Car quand est t-il aujourd'hui de la vérité à cet instant T de l'histoire ? Faisons le point et regardons en face ce qu'il semble être étonnant voire bizarre après des tentatives d'homicide volontaire sur ma personne. Jusqu'à présent, les attaques ont pu être repoussées et ça semble rendre furieux des gens sans scrupules. Evidemment, ils savent qu'à chaque fois, ils prennent un sérieux risque avec des représailles possibles voire nécessaires, si je devais être victime d'une nouvelle agression quelle qu'elles soient. Alors réfléchissez bien car personne n'est immortel ou intouchable.

Le calme de la normalité
Ce soir, c'est l'infirmière qui vient m'apporter mes médicaments et qui va s'assurer de leur bonne prise. Autant avec les autres, le courant passe plutôt bien avec elle, ça dépend. Qu'elle fasse son travail et que je puisse sans risque avaler mes médicaments, je ne lui demande rien d'autre. En revanche, si j'étais amené à devoir partir à l'hôpital du coin en urgence dans la nuit, elle en sera en partie responsable et il y aura un risque de sanction lourd et forcément obligatoire. Et c'est très désagréable, même pour tout ceux qui s'imagineraient hors d'atteinte. Alors, j'appelle au calme, à la mesure et à la prudence...

Tentative d'homicide volontaire
Fin septembre 2021, je déjeune avec ma sœur et mon frère dans un restaurant autour d'un couscous. Après le repas, nous nous séparons vers 14 heures et ils partent voir notre mère à la résidence de retraite où elle se trouve. Le soir, à 18 heures, je dîne avec mon père. Une demi-heure plus tard, à mon retour à mon domicile, je traine et il est possible que j'ouvre le réfrigérateur et boive quelques gorgées de liquide (sodas ou eau minérale) puis je me prépare pour me mettre dans mon lit. Au moment de se déshabiller: petit problème. Je ressens un "clac" dans mon cerveau. Comme ça, un clac dans la tête, alors l'on s'inquiète mais tout semble en bon état, à priori. Ca rassure. Ca correspond à ce que j'ai dû manger ou boire, il y a peu de temps. Mais qui a empoisonné la nourriture ? Mon père ? Absurde ! La femme de ménage ? Marie h. ? Peut être ! Dans le frigo ? Je ne sais pas et qui est le financier ? le donneur d'ordre ? Les types qui ont fait ça ? Et pour qu'elle motif ? Plus tard, je ressens le côté gauche de mon corps qui est douloureux, ma jambe, mon bras gauche en ont prient un coup. La dose de poison aurait été plus importante, j'aurais fais un Accident Vasculaire Cérébral (AVC). Sympathique, les gars, je vous gène, peut-être ? C'est une tentative d'homicide volontaire et s'est condamnée par le parquet et le ministère de la justice. C'est donc un crime, mais l'on ne connait pas le mobile ? Ils seront tracés (les comptes bancaires, les transactions, les traces dans les banques et sur les comptes). Puis la police viendra les chercher, ils seront interrogés et sanctionnés s'y besoin. La peine sera "Sans aucune autre alternative". Pas de "si" conditionnel. Est-ce bien compris ? Je tiens à ce que la vérité soit faites au grand jour dans cette affaire, ne serait-ce que pour tout ceux qui n'ont pas eu la chance d'avoir été protégé par des médicaments. Avec ce genre d'opération et pour tout ceux qui sont morts, il faut une justice. Moi, j'ai échappé à une mort probable, j'ai eu cette chance. Jusqu'à quand, pourrons-nous supporter ce genre de "petit meurtre". Comme une frappe nucléaire. Dans mon cas, ceci n'est peut être que de l'intimidation avec peu de séquelles physiques (coté gauche douloureux pendant 6 mois puis retour à la quasi-normalitée) si c'est le cas d'une volonté de sanction, c'est juste très con et si ma mort était l'objectif, c'est juste raté, mais c'est intolérable, messieurs