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POLITIQUE CONSTAT

Sophie t.

Le 29 septembre 2025, par christophe simoni


Souvent, nous avions l'habitude de nous retrouver à trois, Fred m., Sophie t. et moi et pas un instant, je ne pouvais imaginer une relation intime avec elle. Nous n'avions pas discuté avec Fred sur le fait qu'ils étaient, oui ou non ensemble et le socle de leur union, je ne le connaissais pas. Elle suivait un cycle d'étude de communication, de commerce et de marketing avec fred dans un IUT, avenue de Versailles dans le 16ème arrondissements, mais habitant à Courbevoie ((92) près de la défense)) elle n'appartient pas au sérail des enfants de parvenu de l'ouest de paris et semble être mise à l'écart.(je ne le découvrirais que plus tard) par les autres étudiants. C'est tout ce que je savais d'elle. Elle était jolie bien que petite et aux os épais et avait du caractère car pour s'être tenus tête, une ou deux fois, nous avions confrontés nos positions. Elle était la besogneuse, j'étais le nihiliste. Pour ainsi dire, elle semblait vouloir incarner une marine le pen, j'étais Daniel cohen-bendit. Puis, en octobre 1988, Fred m. partant faire son service militaire, peu de temps après, je finis par lui téléphoner ou c'est elle qui me téléphona pour aller au cinéma. A notre retour de la salle obscure, dans ma petite chambre de bonne, elle m'attrape la tête et m'embrasse. Quel effet ! Et après son Lexo 1000 pour se donner du courage, elle est passée à l'action. Moi, plutôt content car ça commençait à faire longtemps que cela ne m'était pas arrivé. Ce que je comprendrais plus tard, c'est qu'elle collectionnait les mecs, à un ou à deux et elle ne voit en moi qu'un amant. Quand je l'interroge sur notre relation, elle m'explique que tout a débuté le 17 janvier, ce qui en dit long car en fait, cela a commencé en novembre 1988 et elle sait avoir des rapports charnels agréables. Elle se donne totalement, ce qui est pour moi nouveau. Ses caresses intimes sont à mon endroit très sensitive. Nos rapports deviennent vite une sorte de drogue douce avec lesquelles l'on peut en être dépendant et elle le sait, je n'ai aucune maturité sexuelle et pour cause, la simple raison c'est que, ni ma mère (pour des raisons obscures) ni ma sœur (pour des raisons cognitives) ne m'ont expliquées quoique que ce soit sur les filles, (Je ne connais ni leur façon de fonctionner ni leur sexualité). Lorsque, j'évoque avec Fred, le nouveau schéma de ma relation avec Sophie, il est hors de lui et s'en va furieux en se croyant malin de me laisser un petit cigarillo à moitié consumé dans mon cendrier. Abrutis Aï Sombréro . Moi, j'ai une réflexion sur ces deux oiseaux, car entre vous et moi, ce n'est pas une surprise. Nous sommes en janvier 1989, j'entretiens toujours une relation amoureuse avec Sophie et tous les week-ends, c'est la fête du slip et je suis bien travaillé du jupon dans toutes les pièces de l'appartement que j'habites quand mes parents sont ailleurs. Je bois pour oublier les amants de ma femme, un, voir deux whiskys et zou capitaine, et une fois avec un rapport inapproprié ce qui s'appelé selon une vieille règle française le "chaud-froid" et ça se joue à la force des baïonnettes, sous la chaleur des tropiques. Il m'arrive de vouloir refusé le combat, elle m'y engage, si je puis dire et elle m'en persuade avec des arguments, très doux, très difficile à refuser quand c'est imposer par voix orale. J'aime beaucoup ça et qui n'aimerait pas ça, à 22 ans ? Nous partons en week-end en hiver dans la maison de campagne familiale, c'est un vrai plaisir, je lui avais dis qu'elle l'aurait ses deux milles mètres carrés, elle, la battante. Je fini par l'apprécie beaucoup, encore plus que précédemment quand notre relation était platonique avec Fred, elle et moi. Elle entretient une dualité et un silence vénal (une sorte de : j'attends que tu parles pour te répondre) et d'après ce que je saurais sur elle, c'est que son père travaille dans une grosse entreprise d'assurance française en tant qu'informaticien. l'UAP, un nom qui ne mets pas étranger serait-ce un hasard, si elle s'est rapprocher de moi ? Serait-ce un hasard si ma grand-mère semble tant l'apprécier ? Par ailleurs, elle m'invite chez elle à Courbevoie avec sa mère, ses parents semblent très religieux, une sorte de chrétienté teintée d'un fort penchant sur l'astrologie, ça bouffe à toutes les croyances. Cette fille, c'est une époque à elle toute seule, on dirait, celle d'une affiche de publicité pour le 3615 ulla, ou le service minitel des deschiens, le 3615 kinenveu, à travers la volonté de gravir les cieux des classes sociales supérieurs en baissant sa culotte. Mais, elle arrive au bon moment dans ma vie, c'est ce qui fait le plus mal et après une bonne première année de cours de 1987 à 1988 dans mon école de vidéo, je gâche la seconde de 1988 à 1989 à cause d'elle. Ce qui ne faut pas occulter, dissimuler, c'est que sa meilleure amie fréquente un jeune professeur de tennis de 25 ans du Racing Club de France qui est une sorte de club de sport huppé de la capitale. Vous savez de qui cela est proche, le Racing Club ? Je vous le donne en mille, Jean-Luc Lagardère, cité également dans ces pages. Car qui était proche dans mon histoire des sociétés de Jean-Luc Lagardère ? Guillaume et Régis et leur famille pour ne citer qu'eux. Donc, tout s'emmêle, tout s'entremêle, là où ce n'est peut être pas un hasard, cette affaire. Un soir, alors que Gilles a., Pierre h., Laurent f., Sophie t. et moi Christophe s. sont réunies, nous partons boire un verre dans Paris. A notre retour à pied, Gilles et Sophie semblent se faire les yeux doux et se draguer l'un et l'autre. Intérieurement, je fulmine car après un verre d'alcool, je deviens tendu, sur les nerfs, ce qui est nouveau dans mon comportement. Retournés à l'appartement, je lui fais une petite scène de jalousie, elle part dans des explications peu plausibles, je boue pour ainsi dire, pendant un moment et soudain, je la prends par la taille, alors qu'elle est nue et cherche à la mettre sur le palier. Elle se débat, me griffe, je cède sous sa virulence, elle court chercher un couteau de 30 centimètres dans la cuisine et me menace. Je calme le jeu, tout le monde se calme, nous sommes tous les deux nus dans la cuisine, il est une heure du matin. Nous sommes passées à coté d'un drame, J'ai quelques éraflures venant de ses ongles, sur le corps, mais c'est tout. La voisine du dessous au cinquième étages ira dire, après, à ma mère qu'elle a entendu crier "maman!" vers minuit, c'est faux, Sophie n'a pas crié. Mais cela ne m'étonne pas à posteriori, le témoignage de cette femme qui entend des voix dans la nuit dans un immeuble bourgeois bien insonorisé. Plus, tard dans les semaines après, je souffre des dents, mon dentiste, son cabinet est dans la même rue que la notre mais chiffres impairs. Elle m'extrait un bout de racine devenu sensible, elle m'indique de ne surtout pas boire d'alcool pendant trois jours, nous sommes jeudi, le vendredi, je dois partir passer le week-end à la campagne avec Sophie. Le soir, je l'invite dans une petite crêperie à Houdan (78), nous sommes en février. Idiot et confiant je prends du cidre à boire, peu après le repas, j'ai très chaud et je fais une réaction cutanée, l'on part en catastrophe à l'hôpital de Dreux (28) l'on me fait, une piqure, ça me soulage et l'on retourne dans la maison. Nous sommes en train de nous séparer, je l'invite à ne pas faire, ni lit, ni chambre commune. Elle s'installe dans la chambre jointe à la mienne, je m'installe dans la mienne. Elle me rejoint en prétextant qu'elle a peur. Elle s'installe dans le lit double, je m'endors. Le lendemain matin, elle est réveillée avant moi et porte un jogging rouge vif. Quelques jours plus tard, c'est la rupture alors que je ne l'ai pas touché depuis au moins 15 jours. Par la suite, d'après ce que je saurais d'elle, c'est son départ aux Pays-Bas avec un Néerlandais collectionnant les unes après les autres, les voitures de sports et entre deux dépression cela lui conviendra parfaitement. Je lui écrirais une fois. Elle, Fred, son copain des Pays-Bas et moi celui dont elle avait trouvé ou répété le surnom: "l'agité du bocal". Dans mes agitations de l'époque, elle va m'avouer que deux types lui ont fait fumer de l'héroïne ou de la coke et comme elle n'avait jamais prit de drogue, elle sera transporté aux urgences d'un hôpital. Elle va en garder des séquelles neurologiques, selon elle, ce qui peut être, va la plonger dans des dépressions répétitives. Elle m'expliquera que ces deux ordures vivaient dans des magnifiques appartements, mais elle ne me dira pas, si c'était près du métro Wagram. Elle semblait avoir peur de devenir folle, d'après ce qu'elle me dit, je la crois de façon affirmative. Car je pense qu'au niveau des mensonges avec moi, elle avait pris un abonnement et que le bouquet satellite de la science-fiction dans la préfecture de police rayonnait au dessus de sa tête. Quelques années plus tard, je lui écrirais une fois, elle me rappelle, nous échangeons quelques mots et dans la précipitation des affaires courantes sur son lieu de travail ça s'agite en raison du marché et des stock options. Il y a un pépin dans la boite et ça sent le sapin. Je perd sa trace. A bientôt Sophie et je veux que tu saches que tu étais belle à l'intérieur comme à l'extérieur. Mais en Hollande, j'espère que tu as atteind ta plénitude mais la probité, ça, tu vois pour moi, c'est plus important, alors qu'à l'époque, je ne valais pas trois bolées de cidre. Pour ça, tu n'es pas concerné et nos six mois auront été intenses et cela valait bien une escapade d'un week-end en Belgique dans une petite voiture qui ressemblait à un obus. Une dernière chose, reste en vie...longtemps...et c'est signé l'obsédé sensuel car cela leur ferait trop plaisir que ça termine comme ça à Saint-Cloud ou à l'IUT, alors merci mes minables à appartements maléfiques et pour moi, ce fut gratuit et sans engagement, mais oublie Fred le français car avec ce qu'il m'a dit, il est loin d'être nécessaire et peut être qu'un jour, tu pourras le constater en ligne. Ne pense à rien en jouant les dix milles car tu sais tout jouer donc c'était important le préservatif sur le parebrise d'une 504 décapotable et cela valait vraiment le déplacement pour des aisselles de top modèle qui fallait absolument traiter, tout ça à à deux pas de l'arche de la défense.


CS-29/09/2025

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