Le mirage anarcho-libéral
Couplé entre l'excès et les couches Pampers, voilà le seul choix que l'on s'essaye à me proposer. Pardonnez du peu, triste, c'est vraiment triste, devrai-je vous abandonner ? Pour preuve de cet amour sur lequel j'observe un oeil rigoureux et une réflexion impartiale ? C'est une cervelle que je ne peux laisser à son triste état fédérateur. Une cervelle fédéral, pouah ! Vous n'y pensez pas, autant donner ma tête sur un pic que de supporter ce courant libéral. Ce vague amalgame d'idées d'opportuniste et de bien né qui ne satisfait que les plus entourés par de soins prodigués et qui ressasse pour la masse des mirages sans envergure. Libéral ? libertaire ? deux mots qui vont de paire. J'attend mieux. Pour nous comme pour moi et plus que tous ces colifichets miroitant comme verroterie au soleil. Pas de dressage chez moi, on s'élève, comment faut-il le dire ?
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