La procédure In Partibus

Au final, je suis vraiment assez contrarié entre un oui et non. On se connais pas trop mal maintenant ceci étant dit j'aime garder mes distances avec les gens qui m'entourent. Ce n'est pas une défense c'est juste un petit besoin. Je suis jamais tout seul avec moi-même le reste est accessoire, si on le veut bien. Aux dernières nouvelles vous m'avez envoyé une réponse à ma demande pour venir et pour vous rejoindre, qui est vraiment décevante. Comme vous le savez, rencontrer quelqu'un c'est particulièrement facile, le trouver largement plus difficile. Disons que c'est une chose qui n'est pas à la porté du premier imbécile venu, enfin, il y a une controverse sur ce sujet, c'est sûr. Alors quoi faire ? Me laisser aller à ce déprimant exercice et passage obligé de la lettre de motivation et du curriculum vitae. Vous ne pensez pas que j'ai dépassé ces enfantillages. Evidement c'est la règle qui confirme l'essentiel du diktat. Je serai assez tenté de m'appliquer à envoyer de ma plus belle écriture d'enfant de quatre ans une belle lettre au père le Noël à ces heures perdues et par ailleurs directeur du personnel. Que pensez-vous du style, rigide, formel, emprunté à un responsable de relais -antenne Gonio K trois. En fait vous ne répondrez pas, quoique je dise, quoi que je fasse, je ne doute pas un seul instant que je ne peux que pour être plausible respecter vos normes et votre sens du conformisme salarial. Vos règles normatives n'ont de sens qu'a partir du moment où elles sont suivies par tous. Contrarier la règle, c'est la remettre en cause, non ? Et bien comme ce qui est vrai pour moi est vrai pour d'autre, je vous mets au défis de pouvoir me prouver que c'est la même pour tous jusqu'à présent. Que pour certain l'on doit se plier à cette exercice stupide du passage obligé de la missive du gars qui n'en veut et de l'autre répondre au téléphone pour savoir si l'on est en disponibilité. Un paquet de cacahuète, pour celui où celle qui va me convaincre que je n'ai pas raison. En dehors, de ce détail, tout va très bien et le temps passe, mais qui s'en préoccupe vraiment ? Je vous pose un problème qui aura le courage de me répondre. La question est parfaitement posé. Pouvez-vous me prouver que la règle est la même pour l'ensemble ?