L'on tourne la page brexit

Alors que les anglais viennent de claquer la porte de l'europe et en particulier à ses plus proches voisins, la france. L'on peut considérer qu'actuellement, c'est un perdant/perdant qui s'est joué dans ce triste aboutissement. Venant de nos amis britanniques, l'on pouvait s'attendre à mieux, avec ce peuple si orgueilleux, où la morgue des riches étouffent la méfiance des pauvres. Rien de très surprenant dans ce pays, qui n'a toujours compté que 2 classes sociales. Très franchement, des amis comme eux, on ne préfère pas les garder à dîner. Donc, ce n'est pas une surprise car dans les années 70, margaret thatcher désirait, en retour son argent et de ceci nous avons toujours su, nous, européens, ensemble, nous en souvenir. Car les retenir en europe en négociant à la bonne distance toutes les propositions qu'ils pouvaient nous présenter fut la bonne stratégie, cela leur a couté un david cameron et une theresa may, le troisième sévit toujours.

Pompée ou midlands

Ce qui devrait m'inquiéter, c'est le sort des plus jeunes européens, notamment pour Erasmus, mais enfin très franchement, il n'y a pas que l'angleterre dans le monde, sinon cela se saurait et si l'on avait à choisir comme destination touristique les vestiges de pompée en italie ou les châteaux des midlands en angleterre, il n'y a pas photo.

et demain...

Avec le problème du brexit, tel qu'il peut se présenter à nous, il y a une chose sur laquelle nous devons rester très vigilant. Car il nous faut déjà anticiper une éventualité et nous devons en l'évoquant par la même, l'éviter. Car dans la mesure où les anglais réussissent à nous faire croire que leur choix de quitter l'europe, jamais, ils ne le regretteront, à court (5 ans), comme à long terme (30 ans). Qu'ils arrivent à nous démontrer, que leur choix était le bon et que le brexit s'avère être une tel réussite, qu'ils invitent les pays de l'union a l'appliquer également.

Car, dans la conclusion d'un départ de l'UE, d'un ou de plusieurs pays, pour nous européens, nous aurions droit à la jubilatoire danse des anglais. Mais si toutefois, nous restons unis, nous avons, alors, toutes les chances de notre côté. Car, même avec la dette au dessus de la tête des français, même avec les emprunts des pays européens, il ne faut pas pour autant penser que notre capacité à créer et entreprendre pourrait être limité.