Economie et covid-19

En france, le tourisme et la gastronomie représentent une part importante de notre économie en terme de bénéfice et de bassin d'emploi. Que ce soit pour les français ou les touristes, nous étions un territoire agréable où il faisait, bon de séjourner et ce, avant l'épisode de la covid-19.

Les indépendants prient à la gorge

Désormais, la crise de la pandémie, nous oblige, selon le gouvernement, au confinement. Ce fut le cas, en mars et avril 2020, puis d'octobre à janvier 2021, où nous espèrons que les choses rentrent dans l'ordre, définitivement. Par la même, que nous puissions tous, retrouver nos habitudes, dans nos restaurants et dans nos bars.

L'enjeu des banques

Mais en janvier, à la condition que le nombre des malades baissent, le gouvernement pose une épée de damoclès au dessus de la tête des chefs d'entreprise de la restauration. Pour beaucoup, financièrement parlant, ils ne s'en relèverons pas et devront vendre leur affaire. Qui va racheter ? C'est évidement, les banques et elles revendront à des investisseurs, qui sont des spécialistes de la franchise.

La fin de la pme vers les enjeux de la franchise

Vous connaissez déjà, les marques franchisées comme léon de bruxelles, courte-pailles, au bureau ou mac-donald, ce sont des entreprises répondant à des normes et des filières définies comme la nourriture et la décoration mais dirigés au niveau local par des gérants. La franchise est une technique qui vient des états-unis et qui s'est dévellopé depuis les années soixantes-dix en europe.

Groupe olivier bertrand: l'exemple significatif

Dans les années 2000, olivier bertrand, petits fils et héritier de bougnat, parcourait les beaux quartiers de paris, son carnet de chèque à la main. Il rachetait les uns après les autres, les locaux commerciaux près des champs élysées. Son but, les transformer ensuite en machine à cash de la restauration du midi: sandwitchs et salades en barquette, pour ne citer que ça. Au final après 15 années de réussite, il rachète burger king qui en france ne se porte pas bien. Il deviendrait aujourd'hui, à la tête d'un groupe à la valeur de 10 millions d'euros. Alors, chapeau ou zéro ? Car compte tenu de son héritage, il avait du temps pour savoir quoi faire et maître de son image, l'on peut en devenir très vite victime. C'est ainsi, que si vous cherchez sur youtube, "olivier bertrand, m6", il y a des chances pour comprendre ce à quoi, ils veulent en venir... Alors quelle france, voulons-nous ?