Le pédigré nouveau
Alors, qu'hier, un juge vient de condamner l'ex-président, Donald Trump et que le millardaire américain est candidat à nouveau, aux élections présidentielles de novembre prochain. Tous les regards se portent vers les Etats-Unis et cela devient une interrogation d'ordre planètaire sur la compatibilité d'être à la fois un délinquant et président des états-unis. Quoi, comment ! Un type condamné pour un délit financié, comment pourrait-il être designé président des USA en novembre alors que sa place l'attend plutôt en prison. N'est-ce pas, là, un mauvais signal donné aux américains auxquelles, ils pourront s'identifier, comme des bandits, en face de ce triste personnage qui, je le rappelle, a donné plusieurs milliers de dollars à une actrice de films pornographiques pour acheter son silence, après des rapports intimes entre elle et lui. Est-ce que cela veut dire que la planète leur appartient comme étant une zone de non droit où l'argent demeure le seul indice fiable ? Est-ce que tous les coups sont permis, là ou demeure, désormais le régne du rapport de force, de la brutalité, de la corruption ou du mensonge stratégique. Visiblement, le rôle du shérif intègre, c'est terminé car maintenant, c'est la loi de la jungle qui devra dominer, prévaloir et être de mise à l'échellon international. D'ailleurs, qui d'autre qu'une probable entitée semi-officiel américaine a décidé que sur l'internet devait venir se greffer, un réseau paralèle. Une sorte d'égout nouveau, qui en dehors de l'Internet s'échine à exsister avec un réseau clandestin paralèle; le fameux et de triste réputation réseau Tor, celui, où l'on trouve le pire des pires en matières d'horreurs et d'incitations à la faute. Un non sens total.