Une balle dans le buffet
Ce message passera peut être mal mais au niveau très local j'ai envie de croire que je peux faire totalement confiance à Sorya et que même très encadré par la prudence, j'ai envie de faire aussi confiance à Sonia. En toute connaissances de cause en ayant senti comment il est difficile de se faire accepter aujourd'hui dans un pays comme la France, hier si accueillant pour la main d'oeuvre facile aujourd'hui si intransigeante voire revancharde à travers ses moutons avec une peau de loup sur le dos et qui vote très mal dans les extrémités de l'erreur. Après plusieurs tentative d'homicide volontaire sur ma personne; avec au final pour l'instant rien qu'un petit dégat des eaux en guise de dessert, je suis encore plus aujourd'hui 24 heures sur 24, en alerte face à ce qui m'entoure. Paranoïaque moi ? A n'en pas douter ! Mais si c'est pour la bonne cause et me garder en vie longtemps, alors plutôt deux fois qu'une. Et jusqu'à présent malgré tout, je suis passé entre les gouttes. "Pourvu que ça dour", comme disait Jean-Yves Lafesse, victime de la maladie de Charcot.

John
Je ne sais pas à qui je dois, la ferveur des temps anciens. Mais il ne fait aucun doute que j'ai été empoisonné au tout début de ma vie. Ma psychiatre le docteur G. à Deauville fait fausse route en m'indiquant que son hypothèse se penchait sur la version de la "carence alimentaire au sein de la famille" me concernait certainement. Bah voyons… Tant qu'elle y est, ma toute petite gentille psychiatre, pourquoi ne pas essayer de me dire que ma mère me faisait respirer de la colle à rustine et qu'elle s'appelait Régis G. ...Et pendant qu'elle y est, pourquoi, je ne me promène pas dans la rue avec une tais d'oreiller recouvrant ma tête en criant face à la foule que "je ne suis pas un monstre, que je m'appelle John Merrick et que je ne suis pas un élephant…"