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![]() Sans plaisanteries
Le 30 janvier 2025, par christophe simoni
Préambule
Tout comme moi, ma mère en séjournant dans une résidence pour personne agée peut mourir à tous les instants. Je ne l'espère pas, loin de là. Non, pas du tout car elle est devenue mon soleil au quotidien et je vais la visiter tous les jours. Il existe un lien mystérieux, un truc, une histoire entre nous deux que je souhaite faire perdurer au delà de toute logique, psychose, névrose et autre hypothèse foireuse. Possible que l'on m'imagine comme étand un cas clinique, un chien qui n'en démord pas. Je me moque de cet avis avec des gens sans âme ou froide comme une morgue et comme elle reste la seule personne qui aime garder un contact avec moi (j'ose l'espérer)et parce que tous les autres, ce sont défilés depuis longtemps et qu'ils m'évitent désormais alors, je préfère essayer de la faire rire, comme ça, en pensant à hier avec toute notre histoire de famille en commun et en partageant le bien comme le mal et les zones grises du non-dit comme les choses planantes et stagnantes mais qui n'ont jamais été appréendé, ou évoqué. Alors essayons de passer en revue les questions qui ont fâchés et qui aboutissent au fait que ma famille à partir du moment où les rêgles changent et quand les esprits s'échauchent, tout comme sur l'échiquier politique, à gauche et à droite et s'est signé les "furets point com". D'ailleurs, aujourd'hui, il y a désormais des endroits sur mon site Internet où je ne vais plus car c'est juste un problème de survie. Un truc entre moi...et les autres. Quand à mes minables de service, il y a fort à parier qu'ils n'attendent qu'une chose que je sorte mon texte ici présent pour le censurer ou pour le donner à un nain du sérail politique afin de se l'approprier et évidemment se faire encore un peu de fric sur la tête des autres. Et encore un petit sou, encore un petit sou pour le petit nain politique et n'oublier pas de vous acquittez de la dette mémorielle si cruellement déficitaire chez vous La réforme L'histoire commence environ, il y a 40 ans, en 1985. J'ai 17 ans et je devance l'appel pour me débarrasser de mon service militaire. A l'époque, il était obligatoire et je suis réformé après 2 mois au sein de l'armée de l'air. C'est une expérience plutôt intéressante qui en résulte au final. Pourtant jeune, très jeune. En tout cas, ce passage sous les drapeaux cela m'aura fait grandir d'un seul coup très vite avec une douche dorée hygénique mettant le feu au poudre. L'imcompréhension et le malaise en résultant, j'en sortirai, néanmoins indemme mais ce n'est pas pour autant qu'ils vont m'oublier ou me laisser tomber. Sans le savoir, j'ai été le sang-mélé, le personnage d'une histoire surprenante et je décris la réalité de cette réforme, ici. ce seront mes premiers exploits en terme de "débrouillardise" et "d'objectif à atteindre" hors du cadre familliale. Ce qu'il faudra retenir de cet épisode et de cette mission de fantaisie militaire c'est que je n'ai jamais ressentis le simple fait d'avoir été abandonné par cette "grande famille". Sur la base militaire, dans les Vosges, ils m'ont vu arriver avec mes gros sabots et ma réforme P4 en bandoulière et cela ne faisait aucun doute qu'ils ont été vite avertis par mon désir de quitter au plus vite leur compagnie. Cela va créer des liens, entre l'armée et moi. Des liens, forts, solides et comme un gosse passionné, dés que j'entends vrombrir le son d'un avion de guerre dans le ciel, je me précipite encore pour appercevoir l'aéroplane(s) blindé(s) dans le ciel. Cette volonté tenace de vouloir échapper à la rêgle tout en voulant se confronter au monde entier. Cette envie d'accomplir ses 18 mois de service militaire en étend pro-actif. Cet objectif de choisir une durée plus longue sous les drapeaux comme (VSL) Volontaire Service Long m'a entrainé vers des cibles et la mission n'a pas toujours été ni désagréable ni dégradante. 40 ans plus tard, je garde l'orgueil et la verve d'avoir depuis cette date et sous les bons conseil de mon proche entourage d'avoir été un rescapé et un agent indirecte de l'état pas si mauvais que ça, mais j'ai eu de la chance. Vraiment. Car à quelques occasion, j'ai vu la mort de près. Je reverrai en 1986, Anthony r. qui était également soldat sous les drapeaux pendant cette période à la base Vosgiennes. Il se fera réformer pour avoir déserté. Alors que moi, l'on retiendra que je suis juste considéré comme étend le dernier des bargeots. Je le reverrai à Paris en 1986, à l'époque, il ne sait pas où dormir en venant de sa Bourgogne natale et il a prit le risque de venir à Paris où je ne peux pas le garder dans ma chambre de bonne. Je le reverrai en 1994, il aura fait du chemin sans ma solidaire aide. Et il coupera tous les ponts avec moi en 1998, comme si un dieu républicain avait été trop ingrat avec lui. Si je l'avais hébergé l'histoire ne dit pas qu'il aurait trouvé du travail rapidement et évacué les lieux vite, bien au contraire et ce n'était pas le premier à vouloir venir faire le ménage chez moi. Remarquez pour les donneurs de leçon de la solidarité nationale chez les autres ça fait parti de l'inventaire et peut-être qu'il fallait être un samaritain boudhiste plutôt qu'un crs pour obtenir l'amabilité du peuple afin d'être coopté dans les hautes sphères du monde du travail interressant et payé à sa juste valeur. Si j'ai bien compris, l'on me repproche de ne pas avoir été assez confraternel et pas assez un esclave proche des syndicats et aujourd'hui de ne pas avoir d'animal domestique en habitant seul avec maman dans un très vieux appartement. J'y reviendrai...Alors faites marcher la planche à billet et que votre nocturne ne soit pas sans effet, voleur de débat et que votre csg grossissent avec ça comme intéret sombres abrutis au sommet CS-30/01/2025 ![]() Un petit réglage en passant...
Le 9 février 2025, par christophe simoni
A savoir...
J'ai écris le texte ci-dessus un peu rapidement (sans plaisanteries), je dois l'avouer. Mais il existe une terrible raison qui m'a fait légèrement sortir de mes gonds et qui m'a mis en colère. Pour commencer, je suis un peu tendu et sous-pression dans un anoncellement de choses un peu contrariante. Oh, je ne suis pas là pour me plaindre mais quand rien ne fonctionne pourquoi ne pas faire un peu d'ironie ? D'ailleurs, le second degré passe mal dans mes lignes pourtant je ne cherche pas à faire rire. Cependant, si vous êtes abonné à Rires et Chansons, je ne vous lancerais pas la pierre. Pour terminer sur ce registre, il faut préciser que depuis 3 ans, j'ai découvert ma sensibilité face aux atmosphères planantes avec des microparticules dans l'air. De façon irrégulière, l'appartement où je réside est habité par une atmosphère chargée de gaz très désagréables. Ces gazs opèrent de différentes façons et selon l'effet désiré. Ils génèrent des humeurs cérébrales diverses. Ils agissent à partir de la gaine d'aération dans les pièces et ils se répandent dans l'appartement en étend inodore et invisible. Un petit "Rototo"
Ils provoquent des humeurs de types psychologiques, soit la dépression, soit la colère, soit la bonne humeur et la joie et ils rendent particulièrement bavard (même seul chez soi) et ils provoquent la discussion avec sa télévision ou la radio (par exemple), il met arrivé de "déblaterer seul devant mon téléviseur. Ce n'est ni une maladie ni un effet du hasard. Mais c'est très difficile d'y échapper dans un vase clos. La seule solution pour s'en débarasser est de faire un courant d'air en ouvrant les fenètres et ça aussi ce n'est pas une plaisanterie, c'est une réalitée. Une fois le courant d'air effectué pendant dix minutes et s'il y a un peu de vent venant de l'extérieur, tout rentre dans l'ordre. Vos pensées les plus tristes disparaissent. Je ne sais pas pourquoi ce traitement demeure mais depuis 7 jours c'est terminé. Ca s'est arrêté. Je ne sais pas d'ou ça vient, probablement de la part des extrèmités politiques du coin (droite, RN). Je n'ai toujours pas compris à quoi cela servait ce genre d'enquête à la Ludovic. C'est probablement sous la houlette de petites mains dans l'immeuble et ça n'a rien démontré qui aurait pu me compromettre d'une façon ou d'une autre. Juste inutile et battus en brèche pour me confondre et c'est ici, le résultat, juste dans cette belle petite page avec une petite grogne de rien du tout. Un petit rien. Un "rototo". Troubles
D'ailleurs ne prenez pas ce texte à la légère car il est représentatif de ce que peuvent faire des gens néfastes pour la nation en blessant la démocratie et en lui faisant courir un risque d'embrasement, comme un malaise social. Un rythme qui blesse les relations entre les citoyens. Ca disloque et renvoit les gens dos à dos et c'est une main mauvaise qui intervient contre la liberté, l'égalité et la fraternité dont nous sommes tous le ciment dans une république qui est censé être, tous la notre. Défendons-là avant qu'il ne soit trop tard. Alors votez pour ne pas subir. Faites face et défendons nos libertés, comme il se doit. Car aujourd'hui, je suis inquiet; un jour ce ne sera pas ni pour me faire rire ou pour me faire brailler devant un poste de télévision. Il s'agira peut-être de Ziklon B. ou du gaz moutarde et ça, c'est du gaz pour tuer. Sachez-le... CS-09/02/2025 |
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