Fin septembre 2021, je déjeune au restaurant avec mon frère et ma soeur. Je ne bois pas d'alcool, eux oui. Le ton est badin et léger, mais je ne suis pas de la fète visiblement. Ils sont venus de Paris pour visiter ma mère dans l'epad où elle réside désormais à plein temps. Ce déplacement est exeptionnel et mon père n'est pas invité à la table, pourtant, il habite seul et en face de chez moi, pourquoi cette abscence au restaurant ?

Après le repas vers 14 heures, nous nous quittons et je rentre chez moi. D'après ce qu'ils me disent, ils vont à l'EPAD, directement. Quant à moi, je passe l'après midi à "bricoler" sur mon ordinateur. Comme d'habitude à 18 heures, je vais dîner chez mon père, dans l'appartment en face de mon immeuble. Le repas est bref, mon père ne dit rien et je mange le plat préparé par la femme de ménage, Marie H, sans problème apparent. Je rentres chez moi à 18 heures 30 et à 19 heures, alors que je suis dans ma chambre, je ressens d'une façon très net, un "clac" dans ma tête. Comme si dans mon cerveau coté droit, il y avait un petit pétard qui avait explosé. Surpris, mais en vie, je m'observe et commence à passer en revu si tout va bien dans mon corps. Apparament tout est normal à cet instant. Je téléphone à mon frère le lendemain pour lui raconter cette histoire, il ne fera aucun commentaire.

Plusieurs jours plus tard, j'ai des douleurs dans l'épaule et je vais voir mon médecin traitant. Il me soigne l'épaule avec une pommade et la vie continue. Je ne lui parles pas de mon incident au cerveau car je ne fais pas, encore le rapprochement entre les troubles de mes membres et ce qui m'est arrivé fin septembre. C'est alors que le coté gauche de mon corps va devenir de plus en plus "abîmés" le bras, la main et le pied vont devenir douloureux. Le médecin traitant me dit que ce n'est pas grave qu'il ne faut pas s'inquiéter. Cependant, j'irai consulter aussi, un autre généraliste qui lui me recommande d'aller voir un neurologue, ce que je ne ferais pas. Au fil du temps, ces douleurs vont commencer à disparaître, petit à petit. En décembre 2021, après des analyses de sang, le "toubib" me recommande d'arrêter l'alcool (que je buvais avec modération) car je risque d'avoir un cancer du foie. Début janvier, je stoppe net, l'alcool, et depuis, plus une goutte. Au bout de quelques semaines, je vais beaucoup mieux sur tous les plans car le mélange médicaments psychotropes et alcool ont des effets ravageurs sur la santé mentale. A ce jour, je n'ai pas bu une goutte d'alcool depuis janvier 2022.

Plus tard, avec le "petit clac" je comprendrais que j'ai fais un petit AVC et le toubib va dans ce sens, mais il détournera le fil de la conversation et je vois la vérité uniquement dans son regard. A part ça, il fait dans la dissimulation d'information et ne répond que vaguement aux questions, j'ai en face de moi depuis ce jour un "petit financier" pas un médecin.

Que faut-il retenir de cette histoire ? Premièrement que délibérément l'on a cherché à me tuer car si je n'avais pas eu la sécurité avec les médicaments que je prenais à l'époque, je serais décédé après le repas du soir chez mon père. Est-ce qu'une fois à mon domicile vers 18 heures 30, je bois ou je mange quelque chose venant de mon réfrigérateur qui devait mettre fatal ? Je ne me souviens plus, mais c'est assez curieux cette piste mais possible, car le temps que cela monte au cerveau est très court.Vers 15, 20 minutes et plus tard le "clac" fatal. Entre l'ingestion et le choc, il faut compter à peu près à ça, comme délais.

A ce jour, il y a pour l'instant quatre hypothèses sur les coupables et le mobile de ce crime soit, pendant mon abscence vers 18 heures, 18 heures 30, lors du diner quelqu'un avec un trousseau de clef s'introduit chez moi et mélange une petite molécule de merde dans une de mes bouteilles (eau, ou soda). Et je suis sensé mourir avec un avc, ni vu, ni connu. Et dans ce scénario, je meurs et tous le monde y va de sont petit mouchoir mouillé par les larmes et c'est la faute arbitraire du "pas de chance, on t'aimait bien", toi avec ton petit air caucasien tes yeux bleues et ton petit cheveux blond. T'était de chez nous, toi...pau'v ti môme...

Autre supposition car comme le midi, nous sommes allés au restaurant pour manger un couscous, l'on aurait dit dans la petite station balnéaire que c'était la faute des arabes. Ca peut se comprendre car je n'ai jamais pris de "pincettes" pour dire ou écrire ce que je pensais du "cannabis", en toute connaissance de cause. Et même pire, que la situation du traitement réservé à l'immigration depuis des lustres était un scandale que les élites ont fait subir à toutes les populations immigrés, le problème étant que les français de souche n'avaient jamais donnés leur chance aux derniers arrivants. En tout cas, peu probable que le produit toxique venait du restaurant du midi. Cette piste est difficile à vérifier et je n'ai jamais eu de problème majeur avec cette communautée.

Avec le repas préparé le matin par Marie H. qui est saupoudré de saloperie. Je le mange et puis choc au cerveau fatal, une fois que je suis chez moi vers 19 heures. Mais qui aurait pu mettre un produit pareil dans l'assiette..? Rien ne me dit qu'après le déjeuner au restaurant, mon frère et ma soeur sont allés directement à l'epad voir ma mère. Ils ont très bien pu aller prendre le café avec mon père, en début d'après-midi, à son domicile. Et pourquoi pas, supposons qu'ils ont apportés la fameuse molécule et qu'ils vont saupoudrer la petite saloperie sur mon assiette qui était prévue pour le diner du soir. Les coupables auraient pu être alors, mon frère, ma soeur ou mon père...et le mobile est "l'héritage"...L'argent

Dernière hypothèse, le fait que selon toute vraisemblance c'est dans le réfrigérateur que cela se déroule et qu'effectivement un type pénètre dans mon appartement et place dans l'une des bouteilles le poison fatal. Là pour ainsi dire, je n'ai pas à faire dans la grosse investigation pour savoir qui cela aurait pu être et pourquoi. C'est très simple et probablement la meilleure des réponses que je puisse expliquer et comprendre car tout se révele à moi. Je l'expliquerais. Ce n'en est pas moins un scandale et je tiens à ce que les coupables payent pour ça et le mobile a bien pu être "politique" car mon grand-père avait un passé avec le parti socialiste Italien avant la seconde guerre mondiale. Il a quitté l'italie à cause du faschisme qui régnait là-bas

Même si j'ai quelques soupçons sur la réalité de tout ceci et que je devais avoir affaire avec la justice, sachez que pour l'instant la france et la belgique résonnent dans ma tête avec l'envie et le gout de continuer comme un thales de circonstances. Si cela devait me porter préjudice à nouveau, je sais me défendre et ne vous attendez pas à ce que je sois maladroit et ce dans tous les scénarios de "Krompromat" possible. La vérité ne se trouve que dans ces lignes sur le site terminal-media et certainement pas sur les réseaux sociaux (X(twitter), Facebook); où je ne vais plus depuis plus de quatre ans.