FIBULA TROUBLE
Le lundi 15 décembre, par christophe simoni
Contrariété
Dans mes habitudes les plus récentes, j'ai été confronté à un phénomène des plus curieux depuis 2 mois. En effet, une chose très banale fut désagréable et avec laquelle, il m'a fallut vivre avec des conséquences regretables et en continuant de me faire face, je dois dire également que ce genre de bétises prouve, une fois encore à qu'elle point je gène, mais c'est presque normal lorsque le discours est dissonnant par rapport au reste des acteurs politiques. Mais ça en dit long...
Crash
Le 9 octobre dernier, je trébuche et m'écrase la cheville sur un trottoir. Je me relève et je constate très vite que ma cheville est douloureuse au niveau du fibula (ce que l'on appellait le perronet auparavant). Le lendemain, la douleur est intense et évidemment cela mérite un examen, je me présente aux urgences dans l'hopital à 15 minutes en voiture de mon domicile, l'ont me fait une radiologie et les faits cités plus hauts ne sont pas démenties: fracture et obligation d'avoir une entrave sur le bas de la jambe. La fille médecin me demande si je veux une botte ou un plâtre ? (c'est une erreur de sa part, elle n'avait aucune bonne raison de me laisser choisir, elle aurait de son propre chef dût m'obliger de porter un plâtre) quand à moi, je n'étais pas en mesure de pouvoir décider sérieusement soit pour l'un, soit pour l'autre, d'une part parce que je n'y connais rien et par aileurs, la confiance relative que je pouvais porter au caducée médicale de cette fille la protégeait de toute ambiguité professionnel (quel naïf, j'ai été...). Il n'y a pas a en douter, j'ai répondu à une femme qui devait rapporter ce qu'un autre connard lui avait dit de faire me concernant. Et puis compte-tenu de l'hypocrisie qui plâne dans la région, à n'en pas douter, je devais avoir le mauvais rôle et sans être particulierement paranoiaque, l'on devait vouloir me donner une leçon de bienveillance concernant les élues (Ils se reconnaitront). Toujours est-t-il que je dis à la fille que je préfère une botte pour me bloquer le pied. Evidemment, forcement, c'est le mauvais choix mais c'est plus facile de défaire une botte pour ce faire un brin de toilette et avec ma logique forcément, je tombe dans le panneau et les vaches sont bien gardés.
Le docteur Pigeon
Je vais être obligé de garder le pied sans pouvoir le poser par terre et avec quelques inconvénients ma blessure va se rétablir au bout d'un mois et demi. Je vais faire avec, sans trop de mal et je me débrouille avec de l'aide au quotidien auprès des infirmières qui gravitent autour de moi pour d'autres symptômes et maladies. Je suis encore à l'heure actuelle dépendant avec une maladie que l'on m'a imposé et qui n'a rien à voir avec mon pied. Après la période de soins, j'ai besoin de trouver un kinésithérapeute pour la rééducation et le chirurgien orthopésiste m'avait dit de contacter les kinés vite car il y a une forte demande pour ce type de soins dans la région. Ce que je ne ferais pas tout de suite. Forcement, quant le feu vert est donné pour quitter la botte et marcher sans béquilles, c'est à cet instant que j'entreprends de trouver un "kiné" et là personne ne me rappelle sauf un petit rigolo qui se fait passer pour un certain docteur Pigeon. Il me donne rendez-vous dans un centre médicale bien connu dans la périphérie de la ville. Evidemment, c'est bidon et je ne me déplace même pas. Cependant son appel était une tentative pour pirater mon ordinateur mais je ne l'avais pas attendu pour protéger mon engin. Et manque de pot pour monsieur pigeon et ses amis, ils doivent rester à l'extérieur mais qu'ils n'oublient, surtout pas d'écrire sinon je risquerai d'être véxé
Tanger
Au final, la cyberattaque est repoussée et je croise probablement le petit lauréat de la promotion du terroir de l'école d'ingénieur du coin avec sa radasse au supermarché à 50 mêtres de chez moi et il ne sait pas encore qu'il a perdu et je l'invites, s'il veut ma photographie d'aller à Tanger faire un tour
CS-15/12/2025
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