T.R.M: Christophe Simoni, bonjour, vous êtes notre invité aujourd'hui dans la matinale de "Temps Réel Médias". Vous êtes le président de l'indépendant; Syndicat des métiers de la culture numérique et des arts du béton et président d'Axisysteme. Que pensez-vous de la situation des métiers du numérique après les annonces du ministre, hier soir ?
C.S.: Et bien, sa volonté de developper la communication et le commerce est importante pour la profession des acteurs de la vie numérique avec, tout d'abord l'objectif des commerces de toutes sortes pour devenir aussi des boutiques virtuelles. Déjà, les biens et les services sont assez comblés par l'offre avec une logique parfaitement mercantile et d'efficacité, qui s'est mise en place, avec la création de sites mais il faut aussi prévoir, les services qui concernent également la "vente et "le service après vente". Il faut juste absolument éviter que cette situation ne soit pas récupérée, comme ce qui a été pensé, précédement avec les ingénieurs/directeurs/comptable de la maison mère. Avec nos mémoires numériques qui, avec leur travail sont devenus une sorte d'impasse avec l'unique sort d'un télétravailleur du futur et isolé. Cependant, il faut savoir que les années 1990 sont lointaines et l'on sait, maintenant faire la différence entre un petit soldat atomique et un artiste obtus mais sans obus, ni fusil. Ce que l'on retiendra c'est l'intégration d'élément propre et ça ce discute; La dislocation qui sanctionne pas de ça chez moi. Puisque faire travailler certains, d'accord, mais dans une centrale nucléaire de l'information et pour l'autre, l'artiste, non, car il suffit juste d'une couverture de survie. C'est comme d'ailleurs un rendez-vous boulevard Raspail sur la grille d'aération du métro parisien et que vive la maraude avant le samu avec une urgence car à travers une activitée et un encadrement sociale avec une sécurité précaire; A termes, l'on isole et l'on neutralise et s'est douloureux pour le pays ce genre d'histoire pour ceux qui vont mal, mais ça passe et fait beaoucoup de bruit dans l'oreille. Il faut toutefois se méfier. Autre point précis, l'on remarque que dans les secteurs des télécoms, les entreprises du numérique, se portent, plutôt bien; du fait, que le confinement pendant la période du "covid" était en place et que l'on observait dans les familles, une plus longue présence devant les écrans. D'ailleurs, puisque, par tous les moyens de diffusion, téléphones, tablettes, et télévisions, l'on garde éveillé, la population qui peut s'offrir de la vente de VOD, des jeux en ligne, du téléphone et de l'Internet. Ainsi, avec le "covid" tous les opérateurs fournisseurs d'accès à Internet en profitent, mais pas seulement et pour commencer, les plus importants. Et en france, dans les télécoms, l'on est plutôt bon mais pas toujours gentils avec des télécoms de merde.
T.R.M.: Y a t-il d'autres secteurs auxquelles vous pensez ?
C.S.: Oui, les entreprises ne se contentent pas toujours de vendre de l'internet et évidemment, les industriels du spectacle audiovisuel, le cinéma, la musique défendent, aussi la cause de la culture, après l'avoir toujours considéré comme un tiroir caisse à gratter. Mais qu'elle est la part de démagogie avide de la part du ministre, car, ce n'est pas tenable et le demi-silence des artistes en est la preuve criante, ils leurs faut réagir. Tandis qu'à l'extérieur, fort d'une petite pirouette logiciel, le plus simple des beunets ingénieur, au titre de la transparence peut avoir un droit de regard dans les téléphones portable ou les ordinateurs d'autrui, dans ces conditions, comment faire confiance, à des entreprises qui produisent et offrent ces applications ? La délation devient une vérité tangible mais difficile à dire et à révéler, là aussi, que font les journalistes de tout l'héxagone, pour dénoncer un sport qui devient l'épreuve nationale de la délation. Reste, les entreprises publiques qui ont beaucoup investient dans le numérique, mais dont l'action est désormais stoppé après coup quand les pistes s'avèrent délicates et le marché incertain. Tous les groupes, avec une stratégie globale, veulent faire jouer, à fond, la synergie et la stratégie de leurs entreprises, de leurs groupes et ils ont intérêt à ce que les français passent énormément de temps devant leurs écrans chaque jour ou bien avec les écouteurs sur les oreilles, ça, je ne le reprocherai à personne, sauf si cela entretien un danger mortel, avec un piéton ou sinon provoque un handicap sérieux à l'individu. A termes, la stratégie logique et pécunière, comme souvent, sera celle du marché. Faute de subvention pour le réel, le virtuel aura peut être trouvé sa place avec une asphixie pour le réel. Et en raison d'une trésorerie trop faible, les propriétaires de salle de cinéma, ou l'état et son patrimoine louerons leur locaux au détriment du réel. C'est le jeu d'une transition numérique qui se fait aux pas de charges. Exactement de la même façon que la télévision a tué le cinéma et ses distributeurs dans les quartiers, avec les années 1970 en france, puis les vidéos-clubs, par la suite.
T.R.M.: L'annonce des restrictions et le problème du covid a été vécu comme un électrochoc par la profession, qu'en avez-vous retenue ?
C.S.: Pour l'instant, je n'ai pu apperçevoir qu'un personnage significatif de la profession. Jean Dujardin. Il a résumé la situation de la bonne manière avec son tweet et ses deux images, l'une dans l'industrie aéronautique, avec des voyageurs avec un masque sur des places occupés dans un avion, en comparaison avec une autre image de salle de cinéma vide. Mais, je crois surtout que pour lui, se pose le problème d'obtenir un rôle au cinéma. Je ne commenterais pas, le fait que son nom a pu être utilisé dans un spot publiitaire. Ce qu'il faut, juste retenir de cette anecdote publicitaire, qui en dit long sur l'époque qui pique, c'est la manipulation de la communication qui se sert maintenant du moyen de diffusion la plus importante, du plus anodin au plus terrible, du plus laid, au plus abject, celui du secteur de l'audiovisuel. Il y a fort à parier que plusieurs degrès de l'Internet seront à termes vérouillés, corrigés par un organisme d'experts internationaux, peut être même une branche de l'Onu ou par l'état, et à cause des abus du média globale de dernière génération, l'internet n'était pas si mal, comme rève à ses prémisses. Mais avec la guerre en ukraine et l'arrivé de l'audiovisuel au début du XXème siècles, l'on a commencé très vite de s'attaquer aux enfants et tant, qu'il y a de la demande, il y a de l'offre. Les ploucs ça veut toujours avoir raison et ça en veut toujours plus.
T.R.M.: Quels moyens de diffusion pour le multimédias peut-on envisager ?
C.S.: Bien que la menace épidémique peut varier d'intensité dans tous les appareils ménager. Les modes de diffusion de l'audiovisuel amateurs s'incrivent pour que les influenceurs et influenceuses sur internet puissent survivre et où se trouvent t-ils ? Sur les plateformes, youtube et dailymotion, pour ne citer qu'elles. Donc, la solution passe par le téléchargement mais le "streaming" est plus gourmand en énergie. Sur les plateformes et dans la mesure ou le contenu dispose de peu de valeur ajouté et reste une séquence courte, c'est ce type de modèle qu'il faut envisager "site indépendant + téléchargement + "la bande-annonce" de rigueur, résultat, de la cheminée s'extirpe la fumée blanche dans le meilleur des cas. Pour une diffusion sur un réseau similaire à netflix, c'est plus compliqué et réservé vraiment aux professionnels. Mais pour atteindre des résidents en Afrique ou dans le reste du monde, le réseau Internet est t-il assez solide ? Je ne sais pas. Le monde entier se rétracte grâce aux habitants migrants, les diasporas communiquant encore avec leurs familles et les amis. Parce que désormais, si un diffuseur indépendant de films souhaite gagner un peu d'argent, rien qu'en misant sur la langue francophone, je lui souhaite "bonne chance". Pourtant bon nombre d'image se regarde sans besoin de traduction, même les pires.
T.R.M. Une conclusion a ajouter ?
C.S.: Comment faire confiance aux grands médias ? Car face à la précarité de l'information sur Internet et le sens exprimé entre le formel et l'informel, nous sommes déjà pollué par toutes sortes de "trolls" et le "hard power" n'arrange rien. La manipulation devient le nouveau jeu qui rapporte et, si le grand public ne connait pas les marques, les remarques, les petites et grandes histoires et les codes de la communication avec des acteurs de toute confiance, c'est que le message peut devenir la porte ouverte à tous les excès, en dépassant toutes les limites de la manipulation des canaux de l'information. A termes, la destabilisation du pays est au final, un fatal recours aux conventions internationales. Avec un cas des plus dramatiques, il faut se replonger dans un fait divers, se déroulant, il y a plusieurs années celui d'Eric Schmitd à la maternelle de Neuilly sur Seine. Il faudrait revenir, à ce qu'il s'est déroulé, ou pas, avec comme séquence, le avant, pendant et après avec Charly Pasqual comme réalisateur, car visiblement, la force est resté à la loi, mais avec Charly Goal, c'est plutôt inquiétant. Donc, je vous remercie de m'avoir écouté, mais je préfères que l'on me lise et si vous changez une virgule, je sors le bidule avec toutes ses déclinaisons exactes dans la bible de terminal-media.fr.