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TEXTES

A Propos de...

Vie affective; ce qu'il faut savoir :

Après avoir vécu une relation avec Géraldine que j'ai rencontré à l'hôpital de jour de Trouville sur mer en 2007, je vais la quitter au début des années 2015 mais à partir de cette date, elle ne cessera pas de tenter de me contacter au téléphone sur mon portable, à mon domicile et au domicile de mes parents. J'ai entendu qu'elle avait aussi parfois pour habitude de fréquenter la voisine d'étage du domicile de mes parents, en se rendant chez une ancienne professeur de français travaillant à Deauville. Géraldine devait être téléguidée, soit par l'état, une entreprise ou par son père, de toute façon à de bien nombreuse fois, elle m'aura mentit comme avec un programme informatique que l'on apprend par coeur et dans son passé, qu'elle m'a raconté, il existe, non seulement, des zones d'ombres mais aussi, des passages troubles, j'en ai conclu, qu'avec d'autres, elle me chantait une sorte de futur que nous aurions pu vivre ensemble. Mais maintenant ça fait longtemps que je suis seul et je ne m'en porte pas plus mal, néanmoins, l'espérance de trouver, une femme, tout à fait adapté à mes préocupations me tarraude. Mais, il est hors de question que je revive quoique ce soit, en commun avec géraldine, qu'elle n'attende plus rien de moi. Car, j'en ai fait le tour et ça suffit, par son attitude, elle a trop fait dans mes bottes. C'était une histoire, point barre, j'estime que je mérite mieux.


Situation de santé mentale

Elles ne se rendent pas compte

Suivi en psychiatrie depuis avril mille neuf cent quatre vingt neuf à Neuilly sur Seine chez le docteur Geneviève Cusin; je suis poussé par ma mère a rencontrer ce psychiatre, alors que depuis un mois, je souffre d'insomnies terribles et alors que je ne dors que deux heures par nuit, par conséquent, je deviens irritable et désagréable et sur les nerfs, en permanence. Cette femme nous a été conseillé par l'une des amies d'enfance de ma mère, christine o. Egalement habitante de neuilly sur seine, à deux pas de son cabinet dans la même rue, "la rue de longchamp". Dans un premier temps, elle va se contenter de me donner un peu de médicaments et je retrouve, plus ou moins, le sommeil; en dehors de ça, elle écrit tout ce que je dis. Tout ce que je peux exprimer de plus ou moins saugrenue, plus ou moins raisonné. Ceci étend, j'ai des ambitions, mais elle ne réagit pas ou de façon sporadique, une sorte de réaction, plus ou moins régulières. Agacé par tant d'inertie, je vais mentir à elle et son mari sur un seul détail mais qui prendra des proportions hallucinantes dans cette histoire; j'y reviendrai... Lassé surtout par son manque de réaction, je l'envoi promener car après avoir effectué un test psychologique chez l'une de ses collègues dans un établissement public et dont les résultats me sont défavorables et pour cause, elles ont en face d'elles, le roi des cons. Et le dealer privé, Jérome V. le plus connu de mon quartier, a dans sa petite famille, certainement, une place importante dans le casting de mon film italo-germanique et patrick devedjian se retourne dans sa tombe. C'est assez, la plaisanterie à ses limites et j'estime que la situation a assez duré et que cette consultation à 65 euros, est une arnaque qui n'a pas lieu d'être. Sans regrets, c'est le docteur Jean-Louis C. neurologue, habitant à Paris, avenue de villiers (17ème) qui me suivra pendant une partie des années 1990, il semble plutôt sympathique, mais pas tout jeune; Jean-Louis C. va constituer un dossier MDPH anciennement "Cotorep" à l'époque. Pour disposer d'une allocation, c'est le passage administratif, nécéssaire et obligatoire et je suis suivis par ce médecin, neurologue et à l'origine, le père d'une très proche amie de ma belle-soeur. Je le consulte jusqu'en 1998, date à laquelle, je pars de Paris pour Houdan (78) pendant un mois. Puis vers Germainville (28) un petit village entre Houdan et Dreux. Je serais ensuite soigné à l'hôpital de Houdan (78) puis à l'hôpital de Dreux avec le docteur Popa (28). A Germainville, Je découvre une maladie à la télévision lors d'une émission de jean-luc delarue, s'appelant "ça se discute" et qui traite de la "schizophrénie". Au cours de l'émission, je reconnais à travers les témoignages des patients et des médecins, ce qui pourrait être mon profil de patient partiel et je m'identifie avec les symptômes qui sont abordés, maman et moi, nous avons regardé l'émission. le lendemain, j'en parle à ma soeur au téléphone. Les jours qui suivent, j'en parle auprès du docteur Popa, il m'explique qu'il n'a pas fait de diagnostique, me concernant. Je vais faire 2 séjours à dreux à l'hôpital psychiatrique. Puis en 2004, nous partons, maman, papa et moi, nous installer à Deauville(14) et je commence par être suivis par le Docteur Gaumé (14) à partir de 2004, elle va m'entendre et je souhaite baisser mon traitement, ce qu'elle fait. Elle va diminué progressivement la posologie des médicaments de moitié. Puis, six mois après le début de la baisse, je deviens de plus en plus fébrile. Détails qui méritent d'être soulignés, c'est au cours des années 2000, que j'écris à la chaîne Canal plus et en particulier à daphné roulier, une journaliste dont je suis sous le charme. En novembre 2005, j'apprends que deux plaintes sont dirigés contre moi, une de la chaîne et l'autre de la journaliste et que je dois faire une audition à Paris devant la police. Nous sommes au début janvier 2006 et mon père doit être opéré d'un cancer du poumon les jours qui suivent, au chu de Caen. Ca tombe au moment où je suis plutôt très mal, mon père me conseille de partir à l'epsm de Caen à l'hôpital psychiatrique. J'y reste deux mois. Je serai auditionné, en février par la police et je m'en sors plutôt bien. Le juge me déclare comme "irresponsable" et en mars 2006, je reviens à deauville. Dorénavant, je dois passer deux jours par semaine à l'hôpital de jour de Trouville sur Mer. Je reste pendant 10 ans, dans cette situation deux jours par semaine, à partir de mars deux mille six, et c'est avec le docteur Six puis le docteur Toulouse que je suis suivis au sein de l'établissement public.

Sciences des progrès

Toute cette période de 2006 à 2016, sera entrecoupé de séjours plus ou moins court effectué au sein de l'hôpital de Caen, mais c'est plus des visites de routine car je suis dans le deni des symptômes et de leur cause originale.

Seul contre tous

De deux mille six à deux mille seize, j'aurais donc effectué deux à trois jours par semaine de présence en hôpital de jour. (Trouville et Equemauville (14)). Je vais y effectuer, bon nombres de choses à mon initiative car je travail souvent sur l'un des ordinateurs réservé aux patients et cela me permet de consacrer divers modifications au site terminal-media. En juillet 2015, je commence à réaliser un petit court-métrage avec mon téléphone portable, il dure 6 minutes et j'ai remporté la palme d'or à Cannes, la nostra de Denise, (Je sens que je vais piquer ma crise) et un prix à Berlin avec eva bräun en filmant l'hôpital de jour sans personnage à l'image, juste les lieux et une mise en scène, des plus inquiétantes qu'il soit. Non, je plaisante, les distinctions, ce ne fut pas ça; j'ai simplement montré, ce petit film aux personnels et auprès des patients et ça ne les a pas passionnés. Pourtant, c'est bien réalisé et pour une approche original en la matière, le résultat n'est pas médiocre du tout, mais avant tout, je me suis fais plaisir et il m'arrive de le regarder de temps en temps.

L'embaumé dans le mausolé

En août 2016, je suis libre de toute astreinte administrative et je peux arrêter de me rendre à l'hôpital de jour. Cependant, l'équipe des soignants va insister (Dc Boyer etc...) au prétexte qu'obligatoirement, je dois être présent à des rendez-vous réguliés au CMP (Centre Medico Psychologique) à Equemauville pour m'entretenir avec une psychologue et ce, toutes les trois semaines avec également, un entretien tous les deux mois avec des psychiatres. Cette période va durer à partir de 2017 jusqu'à 2021. Dans un premier temps, ils souhaitent voir le livre que j'ai co-écris sur le skateboard en 1989, puis les conversations sont courtoises et effectué avec simplicité et décontraction. L'onanisme y est évoqué et j'en souris. Elle trouve que je m'exprime plutôt bien et j'en suis flatté et c'est exprimé vraisemblablement, sans flagornerie de circonstance. Je lui explique la période des années 2000 avec les lettres destinées à Daphné Roulier; mes rapports avec Canal plus pendant les années 1990 et j'insiste sur le fait que j'avais failit travailler pour la chaîne en 1990, je balais d'un revert de la main, mes rapports avec géraldine avec laquelle, je me suis séparé et dont j'avais été très proche à une période de ma vie; j'exprimais, cependant, le fait que j'appréciais l'entendre fredonner des petites ritournelles dans la salle de bain. Evidement, je n'étais pas dupe sur le fait que la psychologue enregistrait la conversation et ça m'amusait d'entretenir une petite musique au son de ma voix grave dans son ordinateur. J'évoquais, aussi ma vie parisienne et je parlais longuement de mon site internet qui représentait la plupart de mes activités à temps plein, "a full time job" un travail de tous les instants et évidement, je lui indiquais avec quels soins, je concentrais tous mes efforts à le voir progresser et l'améliorer au grès du temps. Non, moi je n'étais pas guéris d'internet. En paralèle, avec la psychiatre (Dc Boyer) tout au long de cette période, j'avais droit à l'injection médicamenteuse musculaire mensuel. En négociant, je réussissais à obtenir, des cachets, qui étaient moins douloureux et moins astreignant que la seringue; elle commença à préscrire de la dépakine et faire régulièrement des analyses de sang, mais pas de signe de drogue dans mon corps. Pour ça j'étais guéris et je ne pouvais imaginer ne serais-ce qu'un instant à nouveau chuter dans le monde de la fumette. Elle avait comme explication concernant Internet qu'elle n'aimait pas ce média et je lui indiquait sans cesse que s'il elle désirait en savoir plus sur moi, mon site saurait répondre à toutes ses intterogations, que ce soit, à travers mes livres, mes dessins, mes textes etc... Et puis, j'ai fini par lui expliquer que compte-tenu du fait que grâce ou à cause de mon handicap et ayant commes seules ressources l'AAH (Allocation Adulte Handicapé), j'étais, donc, sous la responsabilité et la dépendance de l'état français. Elle a partagé avec moi, cette idée. Puis, par ailleurs, alors qu'elle, se méfiait tant d'internet, je lui ai fait observer que lors de travaux informatiques effectués, au sein de l'hôpital de jour sur l'un de leur ordinateur, J'avais écopé d'une petite fonction (un petit programme informatique) qui s'était "collé" à mes pages Internet. Au début, j'avais voulu nettoyer les pages infectés, puis constatant que le virus était si conséquent sur presque l'ensemble des pages du site; j'ai fini par abandonner la désinfection. C'était un virus de type "traceur" et je lui ai même expliqué que pour le détecté, je n'avais vu que des Zéros et des Uns, ce qui n'étais pas, exactement, le reflet de la vérité. Quelle bonne blague ! Fin 2006, c'est laurent f. une vieille connaissance parisienne qui s'invite en me faisant parvenir un cdrom contenant à la fois du cannabis dans la boite et encore un cheval de troie; une fois démarré, le programme d'espionnage démarre mais pour lui, ce n'est pas très excitant, car sur mon ordinateur, il n'y a pas de programmes pornos et je suis certain qu'il est déçu. Les animaux domestiques dans l'hôpital sont légions dans cette régions et ils avaient aussi pour habitude de se servir de l'ordinateur que j'utilisais. Alors qu'une clé usb traîne à proximité, laissé comme par hasard par laurent l. par curiosité, je regarde son contenu, où, il y a un dossier nommé géraldine, bah voyons, je me précipite et comme disait arianne à l'époque canal, "je n'ai rien à perdre". Présent dans des fichiers mp3, il y a de la musique. Comprenant très bien de quoi il s'agit, en l'occurence d'un cheval de troie, je me précipite et fait une copie sur l'une de mes clés usb. De retour chez moi, évidement, c'est la porte ouverte à tous les courants d'air de la sécurité sur un poste informatique avec des antivirus et forcément, lors des écoutes du fichier mp3, l'on ouvre le capot et l'ordinateur devient infesté par tous les rats de la régions, de france et de navarre et puis ils vont m'observer et la ménagerie consulte le contenu de mon téléphone et de mes disques durs. La ménagerie, ne va cesser de s'accroître, notamment fred T. ce grand acteur qu'il faut occuper. Dans l'hôpital, les filles du syndicat tente de comprendre ce que je fais en travaillant sur mon pc windows 7, mais je vais trop vite en travaillant et Chrystelle ne comprends rien à ce que je fais et ces braves gens au service du public, ne manque pas de prétention, alors rester modeste pour une fois. De plus au sein de l'hôpital de jour, ils auront tout tenté pour éviter que je n'écrive mon premier livre "l'option télésurveillance" mais j'ai une volonté d'acier inoxcydable et alexandre, un infirmier, ne parvient pas à son but. S'ajoute à cela, le fait que je reçois chez moi à dormir, la fille de ma soeur et son petit copain, pendant un week-end et évidement, ils dorment dans le salon. Lui, travaillant comme graphiste ou bidouilleur du dimanche, ils vont parvenir à installer un cheval de troie sur ma machine sur laquelle, il n'y a pas de mot de passe et là, dans les jours qui suivent, ça m'inspire drôlement et j'écris quelques rimes sur cette parenthèse et ma soeur ne s'apperçoit pas que je sais ce qu'il s'est déroulé et ils récupèrent l'intégralité de mes disques durs et j'ai beaucoup travaillé tout au long de ces années, mais logé toujours à la même enseigne de l'invective à deux balles, ils me méprisent, c'est facile avec le crâne abimé par les médicaments et ne pouvant pas faire face aux discours de façade, qu'ils m'imposent. Allez va chercher, ma petite tina, va chercher le bon nonosse...bien dur et fais toi les dents, tu es une bonne fille. Son autre fille, va s'inviter chez moi lors d'un week-end, mais elle, ce sera, un autre type de sabotage, elle abîme au niveau logiciel une petite tablette Alcatel sous androïd, qui me sers de temps en temps, après son passage, elle est inutilisable. Ah dans la ménagerie, il y a aussi, la menuiserie mais ça c'est une autre niche pour mes animaux de compagnie qui occupe le terrain bien évidement et je saurais m'en souvenir. Et ils sont tous sur la photo de famille fier de poser pour l'objectif, mes mimi, mes mimi, mes minables. Et puis, maintenant, ils sont super riches car c'est le casse du siècle venant d'un artiste intelligent et super sympa. Par ailleurs, c'est sans compter sur les bons tuyaux avec jean louis s. et la mouche de service qui réaparait tous les dix ans au téléphone à l'affut du scoop de l'année, la grossière ysabel la catholique mais jean-louis comme ysabel encore à cette époque, leur spécialité, c'est de me lècher les bottes et grâce au phoning, cette technique de piratage d'ordinateur à l'aide d'un téléphone portable, avec des machintosh, elles ne s'entendent plus volé, mais nous, nous savons et l'art de la guerre n'a pas de secret pour nous. Parce qu'il y a ce que l'on apprend venant du chef d'atelier artisan de père en fils et ce que nous apprenons, nous dans les entreprises et dans les états majors car sur les marchés, ça chauffe également et un jour, c'est le moment d'acheter et c'est surtout la panique, chez eux, quand le Manitoba ne répond plus et dans le pire des cas, il prend feu car de la batterie s'échappe de la fumée

Pouvoir réagir

En octobre 2021, le docteur Toulouse décide de me laisser "tranquille", il évoque le "Contrat de mandat de protection future" établit par un notaire avec mon frère et ma soeur, qui me "protège" en cas d'hospitalisation. C'est ainsi que je vais à partir de décembre 2021 consulter le docteur Helfer à la maison médicale qui est intégré à la ville de Deauville et il faut bien le dire sous la coupe administrative de la mairie en place. En janvier 2022, le docteur Helfer va lègerement baisser mon traitement, ce qui aura pour effet de me donner plus de "libre arbitre, plus d'à propos, plus de tenacité"," moins de sensation d'écrasement enfin bref, beaucoup d'amélioration dans ma capacité à réagir et à faire face aux évènements". Les premières consulations se déroule normalement mais en avril 2022, je fais part au Dc. Helfer de l'étrangeté des circonstances de la mort de mon frère et il décide d'augmenter à nouveau la dose des médicaments de type Risperdal. N'ayant pas envie de revivre, une fois encore cette chappe de plomb posée sur mes épaules, il cherche le conflit ouvert et je décide aussitôt de changer de médecin. J'ai de la chance, c'est avec à nouveau, le docteur Gaumé, que j'obtiens gain de cause, le traitement "light" de risperdal est maintenu, la dépakine est baissé. Et en septembre 2022, il reste encore en place pour l'instant. Ce traitement me va bien, je ne veux surtout pas le modifier et j'y veille, je reste avec un cycle de sommeil plus court, mais mon état nerveux est meilleur. Elle répond avec plus ou moins de franchise à toutes mes questions. Je n'ai pas vraiment confiance mais j'ai besoin d'elle et de toute façon, je ne suis pas dupe.

Bilan en septembre 2022

Il m'arrive de m'inquiter à l'idée de me retrouver seul à Deauville sans très proche qui serait rassurant, j'ai peur de ma situation matériel qui pourrait se dégrader mais j'ai un peu d'argent d'avance que j'ai économisé auparavant, environ cinquante mille euros en placement (livret a, lep, livret d'épargne durable) et je redoute que mon capital ne finisse par fondre en charges et en quotidien, par palier. Ceci étend dit cette réflexion n'est que la face visible d l'iceberg. En fait, compte tenue de mes revenues et de mes dépenses, j'ai, la vie de quelqu'un qui pourrait être un smicard vivant en province, ni plus, ni moins. Avec une idée qui émerge dans la tête de nos politiques et telle que je suppose la voir arriver chez moi, cette idée est soit difficile ou inquiétante en devant vivre en foyer pour personne handicapé et perdre mon automonie. Le smic, ce n'est pas si élévé et je dépenses tout juste mais et je ne veux pas avoir ni de baisse de mon pouvoir d'achat, ni avoir à quitter mon logement pour intégrer un établissement qu'elle qu'il soit. Avec le fait que ma vie professionnelle fut chamboulé, dans les années 1990, j'ai très peu travaillé en entreprise bien qu'ayant obtenu beaucoup d'entretien professionnel, en revanche, j'ai, toujours travaillé en fournissant un travail adapté et personnel, pas toujours au niveau, Ma volonté fit que même à terre, je me relevais et je continuais ma route, mon chemin, toujours allant de l'avant. Je venais de loin et par dépit, ou comme assigné à résidence, j'ai capitalisé pour bâtir, mon site Internet avec des projets, des éléments de toute sortes, inlassable travailleur solitaire, face à l'ingratitude et la prétention, de quelques chefs d'entreprise, frileux et hostile. Mais, j'ai aussi rencontré des gens biens qui m'ont acceuillient dans leur locaux et quand tu es dans le desert depuis trop longtemps, tu te demandes à quoi ça rime, ce genre de rêgles, truqués, cette mise à distance et n'ayons pas peur des mots, cette ségrégation.

Mandat futur

L'on peut maintenant ajouter, qu'après l'intervention de mon frère franck et de ma soeur frédérique avec la mise en place d'un "contrat de protection de mandat futur" en novembre 2019, ils souhaitaient vouloir me protéger "de l'hôpital". Cette formule, qui ne s'enclenche qu'en cas, d'hospitalisation, entraîne une contre-expertise psychiatrique qui est effectuée avec un médecin choisit par le président de la république. Je peux presque supposer à ce jour que s'était envisagé à bon escient tout en souhaitant préserver mes intérêts, cependant, je devais céder une grande part de la gestion de mes droits patrimoniaux à mon frère et à ma soeur et c'est particulièrement coercitif ce type de mesure. Mais, avec une raison qui m'apparaît évidente aujourd'hui et pour cause, en novembre 2019, lors de la signature du "mandat", les jeux ne sont pas fait en matière d'élections présidentielles et je suis virulent avec mon site d'un point de vue politique. Je suppose que cette mesure orchestrée par mon frère est un coup de génie à l'époque, car, il n'est pas dit que marine le pen ou valérie pécresse ou éric zemmour ne soit élu président ou présidente en 2022. Toutefois en avril 2022, le président Macron sortant est réélu et j'ai le sentiment d'être protègé, alors que la région et une partie de ses politiques "les républicains" et du centre ont lâchés la majorité présidentielle, comme une sorte de valse des pleutres revanchards, qui se veulent rebelles. Après la mort de mon frère fin mars 2022, je suis tendu, presque anxieux et je décide de révoquer "le mandat de protection futur" je dispose de ce droit, je consulte le notaire et fin mai 2022, je signe la révocation à Caen. Cependant, je suis et je reste prudent dans cette affaire, car je fais attention à ce que je mange, à ce que je bois et en janvier 2022, j'arrête l'alcool, absolument pas compatible avec les médicaments et je ne vais dans aucun restaurant, ni terrasse de café de la ville car d'une manière ou d'une autre, il faut pour mes adversaires politiques provoquer l'hospitalisation pour me faire taire à jamais et m'éliminer du jeu politique sur internet, dans la vie ou ailleurs. Cette période d'avril à septembre 2022 est extrêment délicate puisque successivement mon frère et mon père meurent, l'un après l'autre et que mon traitement médicamenteux depuis janvier doit se stabiliser mais cela prend un peu de temps, cependant, j'ai bon moral et je m'organise pour faire face au quotidien et ça passe. La probabilité qu'une altercation dans la rue qui pourrait m'envoyer à nouveau à l'hôpital est nulle et je suis méfiant concernant les médicaments journaliers qui me sont donnés le matin par un cabinet d'infirmières de la maison médicale de deauville. Il m'est arrivé, à deux reprises, de ressentir une forte augmentation anormale de mon rythme cardiaque après la prise des médicaments, toujours avec la même infirmière. Par ailleurs, parfois, c'est la digestion qui passe mal. Une fois encore, c'est une forme de provocation et tout me pousse toujours à prévenir l'infirmière la plus agée que si cela devait recommencer, il y aura de forte sanction, car, ce ne peut être le fait du hasard. Et, c'est l'histoire d'un type sympathique qui n'aime pas que l'ont nous enquiquine et elles seront prévenues, car en toute chose, il faut en considérer la fin et nous plaisantons de moins en moins avec ce genre de constatation.

Forces Européenne de Défense

Le personnage ici, s'exprime, comme seul au monde en échos. Car, tapis dans l'ombre, c'est ici que l'on reconnait la volonté de quelques vulgaires protagonistes pour imposer le tempo de la soumission, tels qu'ils la voient, tels que l'information la suggère, tels qu'ils l'expliquent, là, où ils déclarent, une guerre que leurs soldats et généraux ne gagneront pas et qui déclenche les réponses de l'état et des forces de la défense européenne. Notre histoire, nous y tenons, notre liberté, aussi.

Héritage

L'héritage des parents tels qu'il a été signé chez le notaire avec un testament, avec papa, maman et moi, ce sont trois parts dont une de cinquante pour cent pour moi et deux de vingt cinq pour franck et frédérique, c'est le choix de nos parents, il m'avantage bien sûr mais je n'ai pas eu un parcours facile quoique l'on en dise, quoique l'on pense de moi et puis très franchement, ce que pense mes adversaires je m'en bats les coquillettes, donc, ce partage m'apparait comme correct et juste comme cela est apparu aux parents comme évident. Et comme c'est conséquent il y a toujours deux ou trois types qui tournent autour de ça.

Les symptômes

De ce que j'aurai pu devenir depuis mille neuf cent quatre vingt huit l'on m'en a presque privé car les symptômes dont je souffre et pour laquelle l'on m'a diagnostiqué en 2006 se trouve être, la "schizophrènie". Elle a bon dos, la maladie qui permet de gagner trois francs cinquante pour ces pauvres psychiatres, ces psychologues qui vous écoutes sagement et à tous ces braves gens qui s'occupe de vous et de votre santé mentale. En 2006, la première des questions que je pose au Dc Toulouse à Caen est "Est-ce le manque de médicaments qui entraîne les symptômes ou bien, c'est la maladie qui revient à cause du manque de médicament dans l'organisme". Embarrassé, il m'a bien sûr affirmé que la maladie était la cause des troubles" le problème, c'est qu'aujourd'hui, j'ai la réponse. Selon une célèbre encyclopédie en ligne (wikipédia), à l'origine, c'est une intoxication alimentaire. Après l'absorbtion du "produit"; il se répand dans la flore intestinale de l'estomac, puis au bout de trente mois selon l'article wikipédia après un long périple dans l'ensemble du corps, il vient se loger dans le cerveau entre les synapses et les neurones. La version du Dc Gaumé, est différente, elle m''affirme que la "schizophrénie" se déclenche aussitôt après absortion du "produit", le virus immédiatement se colle à la masse grasse du cerveau; alors accordez vos violons, ou peut être, parle-t-elle d'un produit qui entraîne un Accident Vasculaire Cérébrale, un AVC, mais qu'elle n'ose pas me le dire. En tout cas, selon mes informations le produit entraîne en trente mois ou va immédiatement devenir "parasiter" les neurotransmetteurs ce qui provoque les premiers symptômes (insomnies et irritabilité). Cette maladie est nommée "schizophrénie". En cas d'ingestion, les neurotransmetteurs sont visés et modifiés, ce qui entraîne une forme de folie ou peut être la mort. Les médicaments soignent mais ne guérissent pas, puisque, invariablement sans, les symptômes reviennent à terme. Selon les médecins et une certaine forme de "serment d'hyppocrite", la cause est "multifactorielle" et en raison d'une conduite à risque (usage de drogue, alcool, conduite à risques, sexe) vous en devenez la victime. Après l'ivresse, la gueule de bois et après tous les excès d'une jeunesse en errance mais bien vécue, voici la punition ou l'exécution... J'ai du mal à y croire à cette version aujourd'hui. En ce qui me concerne, les premiers troubles de la maladie se déclenchent en mars 1989 (insomnies, irritabilitée...) lors de ma liaison avec Sophie t. Elle provoque les premiers effets négatifs; toujours selon wikipédia. Si, c'est trente mois l'on peut donc considérer que c'est en juin ou en juillet 1987 que le poison/produit a été consommé ou introduit dans mon corps. A l'époque, je fréquente Pierre h. Laurent f. et Gilles a. et je fume du cannabis et j'aime les filles de chez Castel exactement comme ce que dit jacques dutronc dans sa chanson.

Les gâteaux de l'espace

Au fil de l'histoire, ce fut la faculté et les médecins qui se pencha sur le problème de la folie en faisant évoluer les asiles d'aliénés. Ils vont s'appliquer à observer les patients et leur histoire, il est possible qu'à l'origine, c'est l'ergot de seigle qui va entraîner des troubles similaires (extravagance, démence, bouffées délirantes etc, etc,...), l'ergot de seigle, on le trouve dans la fabrication du LSD, la puissante drogue hallucinogène. En 1987, peut être que j'ai été intoxiqué, notamment lors d'une soirée chez moi avec Laurent f. sa petite copine du moment dont j'ai oublié le nom. Egalement présente ce soir Sophie t. et moi. Laurent était venu chez moi et nous avions partagé tous les deux ce que l'on appelle un "space cake" dans le jargon des drogués, un gâteau de l'espace au chocolat, selon lui, il y avait du cannabis dans le gâteau, c'est même lui qui a distribué les parts, c'était facile pour lui de saisir cette occasion, il m'a même téléphoné, au domicile de mes parents, vous savez... le numéro facile à retenir le 47 66 92 92, Il m'a appelé une heure après son départ pour savoir comment j'allais. A l'époque, je n'avais pas réalisé, maintenant, je comprends, alors prudence, mon mignon.

Religion et maladie

Dans l'histoire, d'une part, ce fut la faute en partie de l'église qui pour des raisons d'argent ou de moeurs se débarassait de ses adversaires, ce fut aussi dans des temps anciens et avec les connaissances des druides et des sorciers que la possibilité pour un pouvoir quel qu'il soit opère dans l'ombre pour éliminer ses opposants car avant les années cinquante sans médicaments, l'on en mourait. Jusqu'à la séparation de l'église et de l'état en 1905, cette pratique était bien connue de l'église catholique mais, il me faudrait plus d'informations sur ce point.

Les mêmes méthodes

Dans les années soixantes, l'on découvrit certains médicaments qui ont fait progresser l'humanité et le sort des malades. L'on n'en mourrait plus très vite, mais le taux de suicide était encore important. Pour bien comprendre, tout cela coute beaucoup d'argent à la société pour soigner par tous les moyens, les pauvres malheureux capturés dans les filets, le prix des médicaments sont particulièrement chers et ils viennent des états-unis; mais c'est toujours moins onéreux qu'une hospitalisation et les institutions et l'état fait ce qu'il peut avec cette attitude revancharde ou complice de certain bord extrême de l'hémicycle de l'assemblée nationale. De toutes façons, dans le monde entier, ils ont tous les mêmes méthodes. En france, ça coute à l'état et aux secteurs privées beaucoup d'argent et du temps et ça en rappotte aussi beaucoup. Mais quand l'état, ou le service publique est complice de cette sorte de mécanique, il est temps de faire le ménage, car, ça ne même à rien en dehors du chaos. Tout cela repose sur un mensonge avec une histoire d'emploi et de l'argent privé (psy de tout pédigré) (laboratoires) et public (Les institutions, infrastructures et personnels departementaux) qui pourraient faire autre chose de plus utile que de régler ce type de problèmes spécifiques de la santé mentale.

Médicaments

On vient deux fois par jour à mon domicile me "donner" le matin, mes médicaments et s'assurer que je "prends" dans la soirée bien mes médicaments. Ils viennent en même temps me délivrer un "petit message" de leur spécialité alors que je ne demande rien. Par conséquent, je ne manque pas de leur répondre quand j'en ai envie ou pas. Evidemment, je suis dans une sorte de contrainte et il faut espérer que le traitement correspond bien à mes maux. Car je suis aussi suivi par mon médecin généraliste pour d'autres pathologies: tension trop haute, coeur battant trop rapidement et deux troubles mentaux. Au début, cette mesure était nécessaire cela le deviens de moins en moins en tout cas, pas deux fois par jour.

L'électronique et la société

En comprenant le fonctionnement des produits électroniques connectés, télévision, box, téléphones et autres, j'ai compris que les ondes radios de la ville et de leurs résaux (bluetooth, wifi, données cellulaires) proposé par les opérateurs (orange, free, bouygues, sfr, etc etc) mais dont la gestion est quasiment administrées par l'ensemble, (mairie), entreprises (privées et publics) voir des indépendants scrutant le moindre de vos gestes à travers des logiciels sur ordinateurs. Cette "option télésurveillance" s'applique en partie aussi aux organismes de soins qui dépendent de la ville et sont déterminant sur le moral des gens isolés mais qui peuvent être actifs sur internet. En partie, car ils n'ont pas tous les mêmes accès, c'est pourquoi allègrement, les uns et les autres, vous "surveillent" de peur dont on ne sait quoi. Cette surveillance en rêgle mais néanmoins abusive des moyens de communication et des libertés d'expressions est une abbération et est dégradante pour une société digne et démocratique, responsable, fraternelle et égalitaire et libre. Cependant mon exemple n'est pas représentatif des cas qui se revèlent être de la santé mentale et pour l'état, il faut savoir prendre en compte, le risque terroriste, la criminalité de tout acabits, pour résumer, la sécurité intérieure. Bien qu'elle n'incombe pas totalement à la responsabilité du ministère, toutefois au final, ce devrait être le président de la république et le parlement qui décident. Le président de la république (élysée) entend, observe, le premier ministre (matignon) oriente et les députés de l'assemblée nationale et les sénateurs votent, pour ou contre; c'est là et ici que dans certains cas, cela peut devenir compliqué. Avec ces outils de communications puissants, ce pouvoir incroyable qu'un pays comme la france détient, dans le cadre où il n'y a que des antécédents minines, pas de violence, une conduite pas alarmante, alors où s'arrête la liberté d'expression dans une démocratie digne de ce nom ?

Mon père

Depuis cinq ans, avant mars deux mille vingt deux, mon père est taiseux et peu loquace et peu enclin à la tendresse affective, il est né en 1933 et bien sûr, c'est un homme agé mais jovial et plutôt agréable que j'ai en face de moi, lors des repas que je prendrais au fil du temps de nos années à Deauville, papa, maman et moi. Néanmoins nous avons quelques discussions et beaucoup partagés avec nos conversations mais, il reste prudent et ne parle jamais pour ne rien dire. En décembre 2022, il m'a expliqué à table quand il lui arrive de parler, qu'il n'a plus de contact avec maman, ni avec mon frère franck et ma soeur frédérique, mais il possède un numéro de téléphone dans l'epad où ma mère réside actuellement. Il m'a aussi dit qu'il n'avait rien à faire de ma mère, ce qui m'a semblé très étrange venant de sa part. Je le sais capable d'être provocateur et je ne le crois pas, évidement. Qu'elles sont à cette époque les liens qui les unissent, tous les deux ? Difficile à dire. Mais, c'est plutôt trouble et l'impression que j'ai avec l'ensemble du premier cercle "familiale" est à mon égard le "Moins, il en sait, mieux ça vaut". Mais pour qui, cela vaut mieux ? L'un ou l'autre de mes parents ? Idem pour ma soeur et mon frère ? Pour d'autres ? Pour moi ?

A partir du mois de décembre 2021, je ne prend plus mes repas à son domicile car papa crache dans son assiette, sur la moquette, ne parle pas et il vous toise par son "'humour" abrupt quand vous étes direct, précis et sérieux sur une question ouverte ou pas, une question et une réponse dans la question ou une double question. Etanche, en gros, il est un interlocuteur pas très agréable, depuis plusieurs mois malgré le fait que vous lui faites la conversation pour parler de choses et d'autres. Il écoute mais n'intervient pas. C'est la raison pour laquelle, j'ai souhaité partir au mois de décembre, deux mille un, prendre mes repas à mon domicile, j'ai très vite senti qu'il souhaitait par son attitude peut être trouver un point d'achoppement car il m'est d'arrivé d'être agacé par ses manières et de vouloir mettre un terme à une discussion à juste un sens. Pourtant, c'est quelqu'un de pacifique mais reste la différence d'âge et beaucoup d'autres choses qui nous sépare.

Il me loge à titre gratuit, c'est ce qu'il m'a affirmé et c'est ce qu'il aurait inscrit m'a t-il dit sur sa feuille d'imposition depuis au moins deux ans. Il m'avait demandé lors, de l'assemblée générale des copropriétaires de l'immeuble de prendre la responsabilité par internet du suivi entre la société Foncia, syndic qui s'occupe de l'immeuble "le hoc" au soixante avenue de la république quatorze mille huit cent deauville et lui, afin de suivre les informations sur le suivi de l'immeuble. J'ai signé et daté, le contrat Internet, bien qu'avec un traitement plus lourd de médicament à l'époque, je n'étais pas en mesure encore de m'en occupper. Entre cette date et deux mille vingt, j'ai reçu quelques relances de frais de charges qu'il recevait par courrier. La relance a été formulé par email à mon adresse électronique car il n'avait pas fait "le chèque" en temps et en heures selon le message. Chose qu'il avait effectué et je n'ai pas reçu d'autres relances de charges à mon adresse email. Je suis méfiant sur Internet avec la gestion du courrier électronique que j'envoie et que je reçois. Toujours, je m'assure en survolant avec la souris, le nom du l'email qui m'envoie le message. C'est possible avec la messagerie d'Orange. S'il s'agit d'une adresse bizarre, sans ouvrir, le courrier, c'est direct la poubelle, car vous pouvez être infecté par un virus juste en consultant le message. Donc toujours, vérifier la provenance, c'est important et n'ouvrir le mail que dans la mesure où vous connaissez l'expéditeur. Depuis deux mille vingt, j'ai été relancé par le syndic, à travers des messages électroniques mais ayant la crainte des emails frauduleux de hameconnage, je ne les ai pas ouvert quand le nom de l'expéditeur ne me parraissait pas conforme.

Ma mère

Depuis plusieurs mois, voir des années, elle est impotente ou ne se déplace qu'avec difficulté après des intervention à l'hôpital de criqueboeuf à l'aisne puis des "rééducations" à Pont lévèque et Equemauville. Elle est atteinte aussi de trous de mémoire, car atteinte par la maladie d'Alzeïmmer. Depuis 2021 elle séjourne dans un epad à Trouville sur Mer et elle ne se déplace qu'avec difficulté, avec un fauteuil roulant. Selon son l'entourage, la "famille" et les personnes gravitant autour d'elle avec et ce qu'elles m'ont affirmées, c'est qu'elle ne se souvient que partiellement du temps qui passent hier ou aujourd'hui, passé et présent. Troubles réelles ou exercice de style venant de leur part ? Médicaments ou maladie provoqué par des produits toxiques ? Parfois, il semblerait qu'elle n'a pas toute sa conscience, pourtant elle comprends certaines choses très bien. Il existe donc, ceux qui gravitent autour de ma mère et mon intime conviction avec une sorte d'alignement de planète qui se sont positionnés petit à petit. Mais ça reste assez alléatoire, si l'on se raccroche juste aux détails, tout est trouble dans cette histoire. Elle semble pourtant, garder toute son intelligence sur certaines choses, notamment sans vouloir se souvenir de ce qu'elle a fait ou pas, il y a de nombreuse années. Sur un point, notamment, il me reste des stygmates sur mon front avec des explications, venant d'elle qui n'étaient pas déjà très clair, il y a dix ans. Serait-ce la couronne d'épines de Jésus sur la croix qui a laissé des traces sur mon front ? Mais le mécanisme et la stratégie à long terme de mon frère comme de ma soeur sont cependant très discutable également.

Les faits à partir du samedi 12 mars 2022

Le samedi 12 mars 2022

Je recois un coup de téléphone de franck, mon frère et il m'indique que je dois me rendre au domicile de mon père, Victor, très vite car mon père est tombé. Marie H. l'aide à domicile privée l'a trouvé sur le sol dans sa chambre, le samedi matin à neuf heures quand elle est arrivée. En vitesse, je m'habille et je me rends au soixante, avenue de la république au domicile de mes parents. Marie H. est en train de téléphoner aux pompiers. Mon père est étendu dans sa chambre la tête sur le mur, il est concient mais, il m'explique qu'il a passé la nuit par terre, peu vétu, il peut bouger ses jambes et se plaint peu et n'a pas la force de se relever. je laisse Marie H. dans le salon où se trouve un porte feuille et mon vétement. Dans la chambre, je trouve et je ramasse deux cent soixante euros sur le sol et les mets dans ma poche, il y avait aussi vingt euros (20€) que j'ai posé sur le bureau dans la chambre. Les pompiers arrivent, ils font des examens, le coeur est bon, la tension est bonne. Il le dépose sur une civière, il ne se plaint pas. Pendant l'intervention des pompiers Marie H. est en train de téléphoner à une personne très proche, visiblement. Les pompiers partent à l'hôpital de Cricqeboeuf avec mon père sur une civière. Je les accompagne jusqu'à l'ambulance et je leur laisse mon numéro de téléphone le zéro-six; quarante-deux; soixante- quatre; trente-quatre; soixante-six.

L'après midi

On me rappelle, un numéro le (zéro-deux; trente et un; quatre-vingt neuf: quatre-vingt-un: quatre-vingt-six) c'est une femme médecin de l'hôpital de criqueboeuf, il est environ onze heures. Elle me pose des questions, je tente de répondre du mieux de ce que je sais sur certains points sur la vie de mon père. Sur les faits de son accident, son existence et son quotidien, depuis quelques mois (médicaments, traitement, nourriture).

Dans la matiné au téléphone avec mon frère, il supervise les évènement et les choses à faire et à prévoir (contacts avec le médecin (numéro) et j'attends les informations, nous faisons le point il m'apprend que mon père va bien, il a juste besoin de se refaire une "petite santé", c'est ce que mon frère me dit. Franck m'indique, également que je dois payer Marie H. de sa paye hebdomadaire qui est normalement payé comme d'habitude, le samedi, il me parle de trois cent euros (300€) par semaine.

Cette histoire jusqu'a présent est plausible mais l'est t-elle vraiment ? Tout le monde dit-il la vérité ? Ce n'est peut être pas un complot mais peut être un test, un exercice !

Le lundi 14 mars 2022

Je donne à Marie H. le lundi matin trois cent euros (300€) des deux cent soixante euro (260€) que j'ai ramassé sur le sol le samedi et, je rajoute de ma poche quarante euros. Je reçois un coup de téléphone de ma soeur frédérique à neuf heures deux, je suis froid car cela fait des mois qu'elle ne m'a pas donné de ses nouvelles ni elle, ni ses filles à qui j'ai téléphoné et laissé un message pour la nouvelle année. Elle raccroche après quelques secondes au téléphone. Je pose une question à Marie H. je connais la réponse par avance et elle ment, je le sais, je le devine. Je tourne les talons, lui dit à bientôt et je m'en vais en lui demandant de fermer à clef la porte.

La question que je vais poser à Marie H. est simple, mais il faut pour cela revenir quelques mois auparavant. L'action se déroule à l'hôpital Saint-François à Deauville, ma mère y séjourne, pour des problèmes de rééducation osseuse après quelques chutes dont elle n'a pas été complètement rétabli. Autour d'elle, trois personnes, mon père, Marie H. et moi. Je ne me rappel pas pourquoi, je sors mon téléphone portable de ma poche et je consulte: le répertoire ou un autre service. Mais, à ce moment, Marie H. prends la parole et me pose la question suivante, aussi étrange qu'effarante et précipité : "Est-ce que vous avez sur votre téléphone, des photos de vous, tout nu ? Et je réponds, non, c'est évident et c'est la réalité.

Donc, le lundi 14 mars 2022, c'est moi qui lui pose une question. En l'occurrence, il s'agit de savoir pourquoi me pose t-elle cette question en particulier ci-dessus, quelques mois auparavant à l'hôpital à Saint-François. Et sa réponse, le 14 est un mensonge, un pur et simple mensonge.

Dans l'après-midi

Je vais à l'hôpital, le lundi quatorze mars pour visiter mon père, je le trouve "assez bien" je suis rassuré. je retourne à son domicile une seconde fois lui apporter ses lunettes car il se plaint de ne rien voir.

Le mardi 15 mars 2022

Je fais le point avec mon frère, il a prévu de toute façon de venir, déjeuner avec maman et moi, le mercredi seize, c'étais déjà prévu avant la chute de papa, le samedi 12 mars. Je retourne le mardi quinze au domicile de mes parents, les toilettes sont bouchés, alors que Marie travaillait dans l'appartement le matin même. Je téléphone à mon frère, sur ses conseils, j'achète du destop et réussis a déboucher les toilettes. dans le début d'après- midi, je visite mon père à l'hôpital de cricqueboeuf, je reçois deux coups de téléphone sur la route, de mon oncle albert et comme la route est dangereuse et que je n'ai pas l'habitude de téléphoner en conduisant, je ne le rappelle que sur le parking de l'hôpital et lui dit que je lui téléphone quand je suis dans la chambre de mon père pour qu'il puisse lui parler. Au téléphone avec son frère, mon père semble très déprimé. Avec moi, son moral est meilleurs et il semble en "assez bonne forme".

Le mercredi 16 mars 2022

De Franck, mon frère ainé, je reçois un appel de lui, il est dix heures quatorze. Il m'indique qu'il part voir Marie qui travaille au domicile de mes parents pour "régler la situation" et récupérer les clefs et qu'il devra passer un certain nombre de coup de téléphone. Il est sur le chemin vers Deauville. Il me rappellera vers dix heures cinquante pour m'indiquer que je dois passer à l'appartement au dix neuf, avenue de la république au second étage, au domicile de mes parents. Adresse que je connais bien car j'habite en face au soixante depuis l'année deux mille quatre. J'y suis un peu avant onze heures. Il me reçoit. il parle sur son téléphone mobile comme s'il s'agissait d'une transaction boursière, il raccroche. Nous discutons. Le téléphone chez mes parents sonne, un numéro s'affiche, il se termine par dix-huit quatre-vingt dix-sept ce numéro est celui de mon ancienne relation Géraldine Duran. Il répond, personne au bout du fil et il raccroche et rappel le numéro et laisse un message en précisant qu'il va porter plainte contre elle pour harcellement, si elle continue à téléphoner à l'apartement. Géraldine Duran mon ex-concubine a pour habitude de laisser des messages sur mon téléphone et ma boite vocale mais je ni réponds plus, ni les écoutes depuis longtemps. Depuis plusieurs années, elle avait aussi pour habitude de téléphoner au domicile de mes parents, c'est la raison pour laquelle, papa ne déccrochait plus le téléphone sauf quand j'étais présent avec lui dans l'appartement de la résidence "longchamps". Quasiment personne depuis deux mois ne pouvait lui parler au téléphone. Franck me rembourse des quarantes euros que j'ai déboursé pour l'aide à domicile. Il veut récupérer la carte bleue de mon père, il m'a demandé, quelques jours auparavant d'obtenir les papiers d'identités de mon père, ce que j'ai fais. Jusqu'a présent, je fais confiance à Franck. Dans le porte-feuille, il y a un pass-covid, une carte bleue société générale, une carte nationale d'identitée de papa et d'autres documents (mutuelles etc etc), je lui donne uniquement la carte bleue société générale et garde le porte feuille. Il a récupèré les clès de l'appartement de marie H. avec la clé de l'appartement, la clé de service et la clé de la boite au lettre. Pourtant il existe encore le trousseau de papa qui lui va disparaitre et qui contient les mêmes clés. Sur le compte bancaire de mon père et de ma mère, il a une procuration et nous nous rendrons à onze heures trente environ à la société générale de la place Morny pour annuler une carte de retrait dont mon frère soupçonne l'existence mais, avec l'opératrice au guichet, l'opération va échouer, l'opératrice lui indique qu'elle va rééssayer plus tard avant d'effectuer à nouveau cette opération une fois que le bug informatique sera réparé. Il me dit après ce passage à la banque, qu'il soupçonne Marie H. d'avoir retiré de l'argent à l'insu de mon père avec la carte bleue de papa ultérieurement et qu'il a presque en temps réel exigé des explications avec son droit de "regard sur le compte", car il a une procuration avec un dispositif sur son téléphone mobile, où il peut tout contrôler...Il fait un retrait au dab de la SG place Morny d'un montant inconnu de ma part. car mon père lui devait de l'argent. Nous nous séparons vers onze heures quarante cinq. Retourne t-il au domicile de mes parents ? A la société Fichet en face de la gare, comme il me l'indique ? A la Société Générale ? En tout cas, je me rends à l'epad à Trouville sur Mer pour déjeuner avec maman où Franck nous rejoint vers midi quinze. Il est tendu et ma mère lui pose des questions, il a une conversation informelle où il m'explique néanmoins en réel que je n'ai pas à me soucier ni du versement de mon allocation adulte handicapé qu'il s'en occupe que c'est sa spécialité, "son métier" et qu'ils feront lui et sa femme un complément si je dois manquer d'argent. Il se veut rassurant bien que toujours un peu mystérieux. Le repas se termine vers 13 heures 45. Franck a rendez vous avec une psychologue à la maison de retraite, nous nous séparons, je reste avec maman pendant 20 minutes puis je vais aller à l'hôpital de criqueboeuf voir papa, je ne le trouve pas très bien, il est tendu et surpris de me voir. Je reçois un appel de franck mais personne au bout du fil, il est 15 heures pile. Ayant mal dormi en m'étant réveillé de très bonne heure, je décide de retourner chez moi pour me reposer. Dans le hall de l'hôpital, je vois franck assis dans un fauteuil qui attend peut être un rendez-vous avec l'assistante sociale, l'on discute sur le cas des parents, puis je n'ose pas lui dire que je n'aspire qu'à une chose, partir avec lui, à Paris et "changer de vie". Nous nous quittons il est quinze heures vingt environ. Je reviens à mon domicile. Arrivé à Deauville, je téléphone à franck, ça ne répond pas, je lui laisse un message. Avant qu'il ne parte pour Paris où il doit être pour le dîner normalement, je veux lui proposer de rester dormir au 19 de l'avenue de la république, il est quinze heures trente cinq, je crois me souvenir qu'il ne me rappel pas.

Cette histoire jusqu'a présent est plausible mais l'est t-elle vraiment ? Tout le monde dit t-il la vérité, sauf moi ? Ce n'est peut être pas un complot mais peut être un test, un exercice !

Jeudi 17 mars 2022

A partir de cette date, je vais à l'hôpital à criqueboeuf tous les jours voir mon père et je vaque. En même temps, j'essaye de voir maman dont l'epad est sur le même chemin du retour que l'hôpital de cricqeboeuf. Je me pose la question sur la probité de mon frère qui est toujours survolté au téléphone et très exigeant. Je n'ai pas toujours ni l'à propos, la rapidité, la cohérence à cause des médicaments qui encore malgré la baisse du traitement depuis janvier provoque la confusion avec un désordre mentale sur l'instant et je suis bien persuadé que l'on entretient cette volonté de vouloir rendre encore plus fragile une population, car parfois les médicaments ça aide parfois et je suis plus ou moins fragile ou sensible. Franck est laconique au téléphone et parfois véhément alors que je suis en quète de compréhension, et je fais des efforts terribles pour me rappeller et pour me souvenir de tout et pour poser les bonnes questions. J'ai l'impression que l'on me cache des choses à bon ou mauvaise escient.

Vendredi 18 mars 2022

Dans l'après-midi, je vais voir mon père, il semble plus diminué nous discutons, vers seize heures trente, je pars, pour l'epad, je trouve Lydya thum, une amie allemande des parents et plus élastiquement de moi. Elle est "sympa", elle est fidèle, selon maman. Elle vient voir maman par "amitié" nous sortons maman en fauteuil roulant pour lui faire faire une promenade, nous échangeons des informations. Lydya nous présente son chien, une certain "rafale" comme l'avion. Pour son chien, son nom, elle le prononce "rafalé". Elle veut des nouvelles de papa, je mets les pieds dans le plat et annonce devant maman qu'il est hospitalisé à criqueboeuf, elle explique qu'elle va le visiter. Elle travaille à l'hôpital de criqueboeuf en kinésithérapie, elle a soixante ans, son téléphone portable est indestructible, c'est une marque française, détail sans importance, elle devrait me rappeller bientôt, et s'éclipse. J'ai gonflé mes pneus de voiture le matin et fais mes courses au carrefour. Je reste avec maman pendant un bon moment, puis je pars. J'ai franck au téléphone le soir, il me demande de ne pas venir le samedi, voir papa, je passe outre son conseil.

Samedi 19 mars 2022

Je vais voir papa l'après midi, De la chambre d'hopital de papa, je téléphone de mon portable à franck pour qu'il lui parle, il me parle de maman, il ne veut pas que je lui dise quoi que ce soit pour l'inquiéter de la situation avec papa, il s'énerve un peu au téléphone, il semble avoir été mis au courant par lydya, "fait troublant", comment avait t-il su, que maman avait été au courant de la conversation du vendredi avec maman, lydia et moi puis je lui passe papa qui "déraille" un peu en ne se souvenant pas de tout, le nom des enfants de mon frère, sa situation professionnelle, etc etc... Je reste avec papa trois quart d'heures puis je vais au Normandia retrouver Maman avec ses problèmes de mémoire, je semble lui faire un plaisir infini quand je viens lui faire une visite, elle le manifeste alors que papa me demande plutôt de l'aide de gré ou de force. D'un côté, c'est le pouvoir affectif qui l'emporte sur ma gentillesse qui n'a pas besoin d'être forçé et de la même façon c'est le pouvoir normatif de mon père qui m'entraîne à lui obéir, là aussi sans me forçer, car au final, j'ai une certaine affection pour eux. Pour eux tous et c'est peu être ici le problème. Je téléphone à Charlotte Fromentin ma nièce en début d'après midi, je ne laisse pas de message, elle ne me rappellera pas, pas étonnant, malgré la situation mais je ne comprends toujours pas la raison pour laquelle cette partie de la famille souhaite couper les ponts, alors que les parents ont été toujours exemplaires vis à vis d'eux. Pour Patrick fromentin, le mari de ma soeur, frédérique, j'ai peut être été ferme, rigide, désagréable. Jai le souvenir que frédérique, elle voulait toujours me ridiculiser, me moquer quand j'étais enfant, pas toujours gentille et ça laisse des traces. Et puis surtout cette façon de reprocher à mes parents tous les défauts de la terre. Alors très franchement d'une part, je ne me sens pas en responsabilité de lui faire des cadeaux, ni de la traiter mal, mais l'on sème ce que l'on a fait pousser. Si parfois, j'ai été brusque avec elle, maintenant, c'est le jour et la nuit et je reste courtois mais stoïque. Par ailleurs, avec le fait que je ne bois plus d'alcool, ni consomme plus de cannabis, le mélange médicaments et alcool ou cannabis et médicaments est, et reste, carrément explosif donc, à éviter absolument. Ayant été confronté aux problèmes de certaiin symtômes très tôt (22 ans) et à entendre parfois, le discours des politiques, je comprend que l'on cherche surtout a disperser les familles au seul bénéfice d'entretenir un système. Mon cas ne doit pas être nouveau dans l'histoire médicale remit au gout du jour, ce doit être assez réccurant dans les familles, les problèmes de partage et d'héritage. Par ailleurs, pendant quasiment toute la semaine, j'ai congédié les infirmières pour le passage du soir de dix sept heures, car je n'avais pas le temps de pouvoir être à l'heure sur place à mon domicile, néanmoins, j'ai toujours prévenu à l'avance et prit mon traitement. Aujourd'hui c'est Emmanuelle Gauthier-Dupin qui devait passer, je l'ai avertis dans l'après midi, elle m'a prévenu qu'elle confirmait qu'elle ne passerait pas, puis vers vingt heures cinquantes, j'ai reçu un sms avec son nom qui s'affichait inscrit avec le mot "prout" ce n'est ni drôle, ni adéquat pour s'adresser à un patient, je ne sais pas si c'est elle vraiment qui a envoyé cela, mais si c'est le cas c'est une faute professionnelle et je ne dis pas cela parce que j'ai des flatulences réccurentes, nauséabondes, sporadiques, silencieuses et que j'ai tenté de faire soigner en vain par le docteur roche.

Le dimanche 20 mars 2022

Je suis aller voir mon père, il allait mieux, j'ai trouvé. Il respire mal et tousse mais son goutte à goutte et les antibiotiques ont étés enlevés, d'après ce que je sais, il a une infection dans le larynx, soigné avec des antibiotiques et les radiologies indique un très léger traumatisme crânien sans conséquences. Nous avons discuter pendant trois quart d'heures. J'ai vu maman, elle était heureuse de me voir arriver, elle espérait...J'ai appelé franck dans la soirée ou bien le samedi, je ne me rappelle pas.

Le Lundi 21 mars 2022

J'ai eu franck au téléphone vers onze heures quinze, il était vite agacé comme d'habitude cependant, nous avons échangés et c'était intéressant. je me suis occuppé de la venu du serrurier pour le changement de serrure, tout est conforme, il a été payé m'a t'on dit, franck m'a demander de ne pas en parler à papa. J'ai vu papa, nous avons discuté mais à l'hôpital, je n'ai pas pu passer mon pass-covid à l'acceuil, il n'y avait personne donc aucune preuve numérique de mon passage mais j'ai inscris mon nom sur le registre à cet effet. J'ai vu maman et nous avons discutés, elle est tellement heureuse quand je viens. Cela me fait plaisir de lui faire plaisir. Je venais toutes les semaines, je viens désormais tous les jours. franck m'a indiqué que papa allait être transféré au Service Santé Rééducation (SSR) à partir de vendredi.

"Précision"

Ce travail actuel qui consiste à s'épancher psychologiquement avec son coeur ou sa tête ne me semble pas être le fruit du hasard, c'est un résultat. Dans l'opacité du non-dit ou avec des aproximations, compliqué ou un discours informel, l'on ne retient que l'ordre, l'affirmation. Donc, reste à définir, si le tempo n'est pas imposé, ou le rythme prédéfini à l'avance. Est-ce un test ou un exercice !?

Le mardi 22 mars 2022

J'ai vu papa et maman comme d'habitude, je me suis enfermé comme dans une routine. J'ai dit à papa qu'il allait être transféré au SSR. Alors que c'était déjà prévu le Lundi 21 mais c'est reporté à une date plus lointaine. Selon ce qu'il exprime, il oublit, il oublit vite. quant à maman, elle ne se rappelle plus de rien, tu dois tout lui réexpliquer tous les jours, de la veille, il n'existe plus rien, quel drame. C'est le drame de ces afffaires-là. J'essaye de garder le moral en me disant que la roue tourne et qu'il ne faut pas cesser de la voir tourner, et en ayant conscience, comme disait franck quand il lui arrive d'étre philosophe quand il s'arrête pendant deux minutes de t'aboyer dessus comme un berger allemand ou comme le fuhrer de munich, le petit caporal de la guerre de 14 avec eva sa compagne et sa chienne blondie. Je m'éloigne du sujet, que sont les parents. Papa m'a demandé de l'eau gazeuse car il se gratte la gorge et tousse malgré les antibiotiques et dont le traitement vient d'être terminé. Qu'est-ce qu'il peut être autocrate et fais-ci et fais-ça, relève-moi çi et relève-moi ça. Heuresement, toutefois, il n'est pas au chu. Ca me permet de les voir tous les jours et même si tous les deux, ils me témoignent une affection qui est différente, l'un et l'autre, je sais que par ma présence et mon coeur, qu'ils sont heureux chacun à leur manière de me retrouver pour ce moment. L'une pour la préserver, elle, qui est désormais si fragile et l'autre qui se comporte un peu comme un tsar. J'ai vu maman comme toujours, ça ne s'arrange pas. En rentrant, j'en ai profité pour aller chercher de l'eau gazeuse pour papa et je suis passé chez léonidas acheter des chocolats pour lui et des orangettes pour elle. Je sais qu'ils aiment bien ça, j'ai pris un moyen format de carton couleur acier, ça rappellera peut être des choses à papa. Je suis rentré vers dix huit heures, j'ai pris mes médicaments, rien à signaler dans la soirée. Je me reveille tôt avec mon nouveau dosage de médicaments et puis surtout, je m'endors de très bonne heure évidement, sauf le week-end. Le matin, j'ai eu franck, longuement au téléphone, selon ce que j'observe, cette fois, je ne suis pas exclu du débat et c'est tant mieux, ça change. Après la convalescence de papa au SSR, il faut se tourner vers l'epad après, car il ne peut se retrouver à nouveau seul dans l'appartement du dix neuf avenue de la république même avec une assistance à domicile. Forcément de tout ça, je n'en parle pas à maman. Un problème se pose quand même pour les deux, si nous voulons qu'ils soient en epad, tous les deux, ça reste cher cet établissement qui est bien mais pour eux deux, leur retraite ne suffit pas et puis moi, il faut bien que je puisse vivre à peu près normalement, je ne fais pas de dépenses excessive depuis des années, il m'est arrivé un peu de casser ma tirelire de façon ponctuelle mais toujours sur des postes essentiels et informatiques principalement car des pc et des téléphones, je n'en change pas souvent. Des vétements, je récupère ceux de papa et mes derniers achats, ce sont des jeans 501 comme d'habitute et des chaussures paraboot que je garde quinze ans, alors la folie des grandeurs, non merci, pas pour moi. Néanmoins, Franck m'a rassuré, je peux acheter de la meilleure nourriture que ce que j'ai acheté pour l'instant un peu plus de viande et de poissons et ça, je sais que pour certains ménage ou des gens seuls, c'est un vrai luxe, cela m'a un peu rassuré. Sinon, à part ça, je voudrai m'en aller de deauville et retourner à paris mais c'est compliqué et la ville est bien pollué par rapport à deauville où je suis. Et puis laisser les parents après tout ce qu'ils ont fait pour moi, c'est ingrat.

Le mercredi 23 mars 2022

Je fais toujours et encore, tous les jours, mes travaux sur internet avec la maintenance de mon site et j'ai fais pas mal d'achat sur le net, le mois dernier environ trois cents euros, je ne préfère ne pas trop en parler mais si ça marche c'est bingo et fini les problèmes d'argent. Enfin ! Et même pour les parents par la même occasion, car pour moi, il ne m'en faut pas beaucoup, car comme je dis toujours, l'on ne mange sain que deux ou trois fois par jour et que l'on ne peut conduire qu'une voiture à la fois. Tous les jours en disitillant mon petit message comme un bon calvados dans une cuve, je trouve un immense plaisir avec mon site car je travaille depuis mon lit et j'entends les oiseaux, bien que je n'aime pas tellement les animaux domestiques sauf ceux des autres, les bêtes, je les trouve quand ils sont à distances "sympathiques", voire sympa même et même très cool dans leur vie. J'ai apporté l'eau à papa, il était ravis, j'en ai profité pour lui apporter son courrier et les chocolats mais je crois que c'était la veille, je ne me souviens pas très bien. J'ai été chez le coiffeur à dix heures trentes, j'avais rendez-vous heureusement que c'étais noté quelques part. Papa, ne va pas trop mal et il est aimable avec les infirmières, j'ai rapporté encore deux bouteilles de badoit pétillante, ça devrait suffire, il était heureux aussi avec son courrier. De savoir que je m'occupais de lui pour penser à lui apporter, ça lui a fait très plaisir, il sentait que j'avais une tâche qu'il m'avait demander et qu'il pouvait me faire confiance car je ne lui pas dis mais franck avait oublié de me laisser la clef de la boite à lettre et il a fallut attendre pour l'avoir et qu'il me la fasse parvenir (c'est important). Donc, son courrier où il y avait beaucoup de journaux, quelques catalogues et une lettre venant de la société générale, c'était tout. J'étais content qu'il soit heureux avec son courrier comme s'il avait envie d'être important, de gérer en quelques sortes ses affaires, ce qu'il ne fait plus totalement en fait, et heureusement que Franck et un peu moi sont à ses côtés. Il y avait une vieille dame dans le couloir, elle était seul visiblement et "déraillait" complètement, la pauvre...J'ai eu Franck au téléphone, il ne viendra pas samedi, il doit prendre des rendez-vous avec les médecins et le week end il n'y en a pas toujours de disponible dans les établissements de santé et éventuellement au Normandia si l'on trouve une solution pour l'argent. La location de l'appartement du 19 serait peut être une solution selon lui et je trouve qu'il a raison, donc, il me faut une machine à laver. Maman était allée faire une promenade en minibus à l'epad, ça prouve que c'est une maison sérieuse qu'ils prennent soin des gens avec leur traitement. Ils étaient à la plage avec un mini bus. J'ai oublié de lui donner un coup de téléphone pour la prévenir, elle aura oublié, certainement que je vienne. Avec cette excursion qu'elle a fait, je sais que cela lui fait du bien. J'ai fait mes courses, j'ai acheté de la viande et du poisson. J'ai vu une fille "sonia" par "hasard" que je connaissais, il y a longtemps à HDJ. Je n'ai pas cherché à vouloir être plus "symphatique" est-ce que c'est ça être un salaud avec une Sonia que je connais que très peu et qui ne m'intéresse que très peu ? L'on n'a pas toujours été à la hauteur avec moi, alors à quoi bon...faire des prisonnières. J'ai su m'en souvenir. L'on ne pardonne pas, jamais, l'on peut juste essayer d'oublier. Pourtant, avec une attitude revancharde détruisant tout espoir, ce n'est pas toujours une bonne solution. Mort de fatigue, je m'endors vers vingt deux heures trente, en oubliant de prendre mes médicaments.

Le dimanche 18 septembre 2022

Aujourd'hui dimanche 18 septembre 2022, je me suis levé à 5 heures 30, je me prépare un café, j'ai fais passé l'eau plusieurs fois dans la cafetière car j'ai intuitivement l'impression que l'on s'est introduis pendant mon abscence à mon domicile. De retour dans mon lit, j'allume la télévison et mon pc, je goute mon café, je ressens une légère tension, un mal de crâne, j'ai vite compris et sentis même en ayant rincé la cafetiere plusieurs fois, un produit qui pourrait être suffisant pour provoqué un accident vasculaire cérébrale. Qui moi, paranoiaque ? Allez donc demander au doc, qui est portier au Roxy hôtel ! Si, je débloque. Que l'on rentre dans mon apartement, je suppose que c'est très facile, il suffit d'avoir un double de mes clés et ça aussi je ne suis pas dupe, j'ai abandonné ma tasse de café, je n'ai pas envie que l'on me retrouve en pleine convulsion, bavant sur les draps et le cerveau bloqué et atteint par les chasseurs du front national qui ont tous les bonnes raisons de me faire disparaître; de m'éliminer et je les trouves en ce moment trop discret sur la scène politique pour être honnète. Il y a aussi, certaines chaînes de télévision plus ou moins goguenardes qui pouvait envisager aujourd'hui peut être que l'on me fasse une petite surprise de type AVC. C'est d'autant plus vrai que dans l'immeuble, l'on se croirait dans le film "Delicatessen" et la mairie et l'eau du robinet, ce n'est pas l'eau minérale que je bois sans inquiétude. Est-elle, innocente dans l'histoire, elle aussi ? Et je n'aime pas ce ton commémoratif qui annonce des adieux, d'un Roger fédérer de manière condescendante, ou la guerre en ukraine. C'est bête, non ! Je suis en pleine forme, malgré cet effort, de vouloir me nuire, à partir de "11 heures 44". Mais, ils ont tous les mêmes manières et c'est triste car dans cette histoire, il y a l'intérêt général bien au delà des simples clivages gauche droite. En tout cas, moi, j'ai des sentiments pour une femme et elle n'a pas la même couleur des yeux que moi mais c'est peut-être une anglaise qui s'imposera, dans la "compèt de l'actu" avec Goldfinger, the man with a golden dick". Pourtant de ce coté, aussi, j'ai entendu des coups de feu et les anglais sont bien connus sur ce registre assassin et évidement, venant de partout, je gène.
Pourtant, j'ai fais la révision des 20 000 pour ma voiture et je me souviens qu'elle était un peu froide à une époque. Cependant, pas avec tout le monde, n'est-ce pas Pierre ! Est-ce que l'accolyte Laurent l'avait bien travaillé ? Et l'on paye le prix, l'on s'en débarasse. Et un sous, c'est un sou avec 13° à Aurillac et le cheval ça sent mauvais. Pourtant les usines ferment car c'est inquiétant cette ambiance et vraiment la gauche, elle est trop modéré.

Le dimanche 30 octobre 2022

Cela faisait, maintenant une quinzaine de jour que Pierre et sa femme étaient venus dans la petite station balnéaire où j'habitais depuis déjà plusieurs années. Mon oncle et sa femme avaient séjournés dans un petit appartement avec vue sur la mer et dés, le premier jour de leur arrivé, ils ont voulus absolument partager un repas avec moi. A toutes les propositions, j'ai refusé poliment l'invitation car préoccupé par une paranoïa aigue, je n'étais pas très enthousiaste à l'idée de m'installer derrière une table pour déjeuner avec eux deux. Cette attitude, je l'attribuais à une question de survie et dont l'objet devenait surtout une intuition qui me chevillait au corps comme si ma vie en dépendait. Pour ne pas paraître complètement désagréable voire insupportable, j'ai fini par accepter de prendre le lendemain midi, un verre; un apéritif en leur compagnie sans partager un repas. Pour autant, il était curieux qu'ils n'ont pas chercher à en savoir plus sur les motivations qui m'animaient; cet élan si rétif, cette réserve suspicieuse voire presque inquiète. Ils vont insister jusqu'au bout mais ayant en face d'eux un homme déterminé, c'est avec ce dernier concensus que la conversation s'orientat vers d'autres sujets. Rassuré, par cette prise de position qui ne m'engageait guère, et me préservait plus, j'avais juste, pour mission de trouver pour le lendemain, de la bière sans alcool et quelques biscuits salés.
Le lendemain, arrivé, vers 12 heures 15, l'accueil fut cordial, mais l'atmospshère restait quelques peu plombée et Marie-Christine, ne resta qu'un court moment sur place. Et alors, qu'elle partait chercher ce qui allait être leur déjeuné chez un traiteur, je réitérai mon souhait de ne pas participer à aucune agape. Pierre, mon oncle, cet homme de 80 ans était chirurgien à la retraite, c'est presque la raison pour laquelle, nous avons évoqués la mort récente de mon frère puis presque à la suite, le décès de mon père. J'avais, vraiment du mal à faire le deuil de l'un comme de l'autre, tant par leur abscence que par le caractère brutal et soudain de leur disparition dans des circonstances qui pour l'un comme pour l'autre étaient restées floues et troubles. Il me fit part d'une conclusion clinique qui précisait, le degré de souffrance que l'un et l'autre avaient dût supporter avant l'ultime passage de la vie vers la mort dans ces longues minutes de douleurs ou de tranquille sérénité qui avaient dû les accompagner. Devant un tel discours, je souffrais, évidemment, comme s'il avait été question d'une partie de moi, mais sans en témoigner le détail devant mon verre de bière sans alcool.
Après cette conversation quelque peu difficile à entendre, environ, une demi-heure plus tard, la sonnerie du téléphone de mon oncle, retentit. C'était sa femme qui avait soi-disant des difficultés pour rentrer dans l'immeuble. Je devais donc, quitter l'appartement pour aller à son devant, lui ouvrir la première des portes de la résidence. Quelques instants plus tard, nous étions de retour dans l'appartement et je repris ma place dans le salon. Machinalement, je regardais mon verre plein et remarqua une petite auréole de liquide à la surface, comme s'il s'agissait de quelques gouttes d'un produit stagnant versé dans mon verre pendant ma courte abscence. S'agissait t-il d'un poison ou d'un remède ? Je n'arrivais pas à en conclure quoique ce soit de négatif comme de positif. Après l'expectative de rigueur, je me résignais presque et je finis par boire mon verre sans me soucier de son contenu. Après ça, je tournais les talons et après un dernier “au revoir”, ils ont insistés pour me donner une bouteille de wisky à demi-entamée. D'ailleurs, il me reste encore le faire-part dédicacé de Pierre sur la bouteille. Mon oncle m'avait connu alors que j'avais un faible pour cette alcool fort et puissant. Toutefois, comme quelque chose d'inévitable auquel, je ne pouvais résister, la combinaison de ce qui avait été versé dans mon verre et l'alcool écossais devait peut être me faire rejoindre, mon père et mon frère très vite mais avec cette fois, un banal arrêt cardiaque, invisible et insoupçonnable, crapuleux et logique. C'est l'une des hypothèses la plus crédible et c'est dans des semblables circonstances qu'était mort Laurent n. au début des années 1990, un copain de la porte de Courcelles. Il était suivit, à l'époque par un médecin et un jour, c'est dans un fauteuil, sa bouteille de wisky près de lui qu'il fut retrouvé, raide mort après un arrêt cardiaque. Depuis, environ six mois, j'avais eu à subir, des tentatives d'intrusion à mon domicile, la nuit, à deux reprises. Mais également trois attaques au niveau de l'organe du coeur durant le mois de juillet 2022, heureusement sans conséquence fatale (D'ailleurs, j'imagine que ces tentatives étaient une sorte de coup de semonce où mon décès ne devait pas être l'objectif principal). Puis pour finir, dans le courant de ce mois d'octobre 2022, peut être que l'udf voulait se rappeler à moi, comme d'une cible difficile à atteindre car très casanier et par la force des évènements et de part ma nature paranoîaque, en même temps, j'étais très prudent dans ma vie quotidienne. Sur Internet, dans la vie où ailleurs, il était presque manifeste que cette dernière tentative qui devait s'achever selon leur dessein sur la dernière rasade d'un pur Malte devait être “La formule fatalière”: L'instant tragique de cette histoire. Pourtant, par omission, ou par laxisme, ils n'avaient pas prit en considération, le fait, que ma consommation d'alcool avait été abaissé à zéro depuis 10 mois. Donc, je n'ai rien bu de ce que contenait cette bouteille d'alcool, bien qu'ayant vidé le verre de bière contenant un probable élément chimique. Par conséquent, j'échappais à ce type d'attentat terroriste à retardement et à cette volontée morbide de vouloir me faire taire à jamais. J'avais eu une chance terrible, une intuition redoutable, un flair implacable, un instinct fulgurant et tout cela, je ne les devais, qu'aux conseils avisés post-mortem de mon frère, de mon père mais également qu'à moi, pour en avoir fait la synthèse et de les avoir appliqués comme un principe de survie. J'en avais la certitude, cette région puait la mort et à en entendre les jeunes filles qui riaient en passant sous mes fenètres du premier étage, je souriais déjà à l'idée de lever mon verre de jus de kiwi, hors d'atteinte, amoureux et heureux.

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