par Christophe Simoni, le 8 avril 2024
Particulièrement étrange, sont souvent les vieux adages et parmi les plus connus venant de la france, il y a surtout ceux venant du plus profond de ses entrailles, de ses racines. J'en veux pour exemple, le terme "c'est du travail d'arabe" particulièrement rasciste avec une connotation à la fois méprisante, abusive et fausse. Car, pour les petits français, ils pensent savoir, ce que c'est, du travail d'arabe. Alors pour réponse et mieux formulé, c'est souvent beaucoup de travail, le travail d'arabe et c'est aussi et surtout le travail que ne veulent pas faire les français de souche et de plus en plus, il consiste à devenir le travail que les français ne sont pas capable d'assumer car il est trop difficile, trop technique à faire pour les français ou ils n'ont pas le niveau pour envisager rayonner dans certain secteur et je vais ajouter une dernière chose, les mathématiques, l'ont doit cette science en parti à sa source aux arabes et dans l'histoire de cette discipline, ils sont très bon, les arabes.
Je tiens à préciser et cela me transporte de bonheur, de penser à elle. Compte tenu du fait qu'une femme comme Sonia Mabrouk de part son travail, de sa pugnacité, de sa rigueur intelectuelle et de son effort à l'origine d'arabe; en comparaison aux petites palôttes du paysage médiatique de france et bien, moi j'aimerai vraiment bien l'avoir comme institutrice, comme dans le film de Bertrand Tavernier "Coup de torchon". Cependant, il serait regretable qu'elle s'enferme dans une bulle avec un compagnon de promiscuité pour devenir les deux arabes de service participant à ne faire que du travail d'arabe que pour des arabes. Car, il ne manquerait plus, qu'ils soient concentrés sur un plateau de télévision a ne faire que du "vol en réunion" s'ils sont amenés à prendre l'avion. Ce serait dommage qu'on la cantonne à ne faire que des affaires avec les émirats d'Issy les Moulineaux et que, de fait, par jalousie, elle ne subisse qu'une ghettoisation à travers ses fréquentations. Par là même, qu'on la néglige à n'être que l'arabisante du passé à l'image même, de ce qu'il s'est déroulé, pour les couples de circonstances entre une diva et un paltoquet. Ce qui est certes, utile pour le diffuseur mais reste préfabriqué dans l'art du paraître