POUR MOI, C'ETAIT RONRON...
Le vendredi 5 mai 2022, par christophe simoni
Elle s'appellait Laurence, pour moi, c'était ronron, je ne pouvais plus quitter la france, mais il ne faut pas tirer sur la chemise, car ses deux Polos, ça ne tournaient pas rond avec leur Marie-France. Laurence elle était postulente et j'étais son choix et témoins présent avec en plus au grattage de l'héroine avec un piston pour bien y rester, éventuellement dans une tombe. Je n'ai jamais touché à ça, j'en connaissais le réel danger. C'était au Fitzcaraldo et également, dans une sorte de gouge clandestin entre les Halles et République, en 1987, au coeur de Paris. Elle est venue deux fois chez moi, dans ma petite chambre de bonne et elle a comprit que j'étais un soldat, gratuite et sans engagement, ça a durée un mois. Que retenir ? Une sorte de "faites ce que je dis, pas ce que je fais"... No statement please, ladies and gentlemens.
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