ARTICLE
|
|
TOUT SE PASSE DANS CETTE COCOTTE
La province des barons par Christophe Simoni Je ne veux pas vous gênez et s'exprimer sur mon petit nombril, ce n'est pas toujours ce que je réussi de mieux mais l'heure est déterminante. Je m'explique: en ayant déjà été hospitalisé à Caen, la loi m'oblige à renouveler, mon permis de conduire tous les quatre ans et, pour moi, précédement, c'était une formalité. Désormais, ça bloque car je dois selon le toubib, changer de médicaments avec un nouveau traitement. Etant assez percutant et cinglant, en particulier sur Marine le pen dans mon site Internet, forcement, ça fait grincer des dents au Rassemblement National. Donc, le médecin généraliste et la psychiatre veulent "contrôler" la situation et ce ne sont que des petits soldats répondant au doigt et à l'oeil à une hiéarchie se raccrochant à une domination nauséabonte et toute soumise. Il est certain qu'une consigne a été donné et qu'ils cherchent à me coincer et sans voiture, c'est, un grave problème qui m'attend. Nous sommes là, en présence d'un régime, plus que Poutinien dans toute sa tragique évidence. Car, ça fait 35 ans que je travaille en télétravail, avec de l'équilibre et les compétences d'un autodidacte. Ma liberté et mon activité sur mon site sont en péril, avec ce que je fais vivre avec mon esprit. En cherchant, toujours, une perspective de vie meilleure avec un peu de moyen, franchement, là, je ne sais plus quoi faire avec 'mon', 'notre histoire' en commun et vous, toutes les personnes ayant étés venues sur mon site, un jour où l'autre, j'ai eu le sentiment que cela a été une valeur “sûr” et légitime. La remise en question du chef tout puissant : le président du conseil régional et le maire de la ville a provoqué une volonté de vrai lynchage en règle, une neutralisation planifiée, mais où se trouve la démocratie ? Evidemment maintenant, ils me le font comprendre mais c'est une impasse. Je le rappelle, en province, les réglements de compte c'est une réalité et là, pour l'artiste, la nuit commence a avoir été longue. Mais, je ne vous apprend rien dans un épisode désagréable et là, j'ai mal pour ma France. |
|
|
|
