En Ukraine...
Le conflit en Ukraine vient de prendre un nouveau tournant. Alors que D. Trump et V.Poutine ont commencés à négocier sans les européens, ni avec V. Zelensky. Que cherchent les uns et les autres dans ce méli-mélo armé ou D. Trump semble laisser les russes dans la meilleure des perspectives, en cédant face à Moscou sur de nombreux points mais pas l'essentiel.

Avant
++++++++++++++++++++
Souvenons-nous quand hier les russes revendiquaient l'invasion de l'Ukraine avec pour motif, le prétexte suivant: Il s'agissait d'un vieux contentieux entres les deux blocs. Le problème reposait déjà sur le fait que sur le terrain Bulgare et Roumain, les américains disposaient de bases militaires avec des missiles nucléaires tactiques prêt à l'emploi et tournés vers Moscou. Ce canon de revolver posé sur la tempe des russes était pour ces derniers insupportable. C'était et c'est encore la raison pour laquelle, les russes sont si sensibles à ce détail extrêmement menaçant pour eux. Quasiment aux portes de Moscou dans cette géographie de l'est européen, ce potentiel danger pour les russes est intolérable pour le Kremlin. C'est ici le point d'achoppement majeur de cette guerre et il ne faut pas se refuser de le reconnaître ni de l'admettre. C'est ici une réalité cruciale dans la balance des négociations Est/Ouest. D. Trump le sachant ne s'est pas fait attendre pour probablement l'évoquer à V.Poutine et ne manqueras à nouveau de l'évoquer, car l'enjeu d'hier, c'était ça.

Pendant
+++++++++++++++++++++++
La guerre ça coûte chère même en période de paix et les américains ne sont pas tous très riches. Aux USA, il existe aussi une autre réalité, le continent américain est malade avec une population fragile souvent droguée et toujours précaire. Donc, il faut savoir trancher dans les priorités pour D. Trump et ce choix repose sur une vigilance économique et militaire d'avantage tournée vers l'Asie plus que vers l'Europe. Tout en continuant de vouloir faire commerce avec le vieux continent cet équilibre fait parti des objectifs à respecter pour le locataire de la maison blanche en s'adressant aux gens qu'ils l'ont élus aux états-unis. De plus, avec cette course à l'armement à la vente, beaucoup de militaire ne rêve que d'une chose, essayez les nouveaux jouets que Noël sous le sapin Ukrainien a provoqué. Forcement, un jour ça plombe, mais comment imaginer être une victime et de se laisser faire face à n'importe qui, ayant des intentions hostiles ? Car l'enjeu de la sécurité lui, il est et reste vital. Donc, la vigilance ne cessera pas, mais jusqu'où avant la mise à feu de la poudre à canon ? Car l'escalade elle est là et c'est ici, son ultime degré d'enjeu.

Après le conflit
++++++++++++++++++++++++
Pour l'instant, il existe une trêve. Rien ne dit que la guerre sur le sol Ukrainien demeure d'actualité pour demain. Pour l'habitant du Connecticut, Kiev c'est à la fois très loin sur la carte et très méconnu voire mystérieux. Pour les européens, la prospérité et la qualité de vie restent toujours une motivation et un objectif vers lesquels ils veulent s'orienter, d'ailleurs la guerre ce n'est pas notre "truc". Sur ce vieux continent et à cause du fait que nos nations se sont beaucoup combattues, la diatribe a fait place à l'entente cordiale et l'ennemi est maintenant plus, hors de Schengen, qu'à l'intérieur bien que le terrorisme persiste encore, parfois. L'Union Européenne a provoqué notre histoire en commun avec des intérêts partagés. Nous avons atteint (UE) une maturité à la fois d'ordre économique et administrative. Forte de 400 millions de consommateurs, l'enjeu est aussi présent, ici et maintenant. Il n'est pas question de lâcher l'Otan et il serait difficile de penser que les USA quittent l'Otan pour l'instant. Et même, s'il est envisageable qu'un redéploiement des forces militaires américaines sur le globe devient l'un des nouveaux et principal objectif de D. Trump; organisons nous et faisons face à cette éventualité. Je reste persuadé que tous les scénarios ont étés envisagés pour le bien commun de l'Europe. Que cela soit en imaginant le pire comme le meilleur et ça sans interruption. Nous avons et nous aurons toujours des réponses appropriées et mesurées, avec nos militaires, avec nos diplomates et avec nos dirigeants. La cohésion et l'unité de l'europe se trouvent dans cet enjeu et à défendre coûte que coûte.++++++++++++
CS-15/02/2025

Le débat USA/CEI/UE et Ukrainien
++++++++++++++++++++++++++++
Avec ce que je viens de commenter sur la guerre à l'est de l'Europe, tout me porte à croire que sur le bilan d'hier, aujourd'hui et demain. Ce que je dis s'avère juste et pertinent et je ne m'attendais pas à quelques louanges de circonstance. Je remarque simplement que la volonté d'étouffer mon propos en le rendant techniquement illisible sur Internet a agit. Visiblement, le "Read and Burn" s'est imposé mais ils cassent et je répare. Comme hier, aujourd'hui et demain s'il le faut. Déterminé et solide dans mon environnement qui n'appartient ni à X, ni à Facebook et encore moins à "Truth Social". Pour être plus précis, ce site Internet en France n'est pas à vendre.

Le vrai enjeu
+++++++++++++++++++++++++++
Avec la réalité géopolitique de mes remarques qui font mouche, j'observe que les leaders d'opinions répondant aux questions sur les plateaux de télévision sont poussés à répondre et c'est ce que l'ont attend d'eux. Avec leurs convictions et leur cohésion politique, ils répondent en fonction de leur entourage politique et économique. Majorité comme opposition; Intérêt économique américain, européen, russe et ukrainien. D'ailleurs, il existe chez eux en France un calcul politique et il est effectué avec la volonté de s'inscrire sur l'agenda électoral en France. Car, avec une position et une réflexion d'ordre purement politique; déjà, ils forgent les armes pour les présidentielles de 2027. La "Big" échéance de ces prochaines années. Aujourd'hui comme hier, rien ne change, que cela soit pour défendre ses intérêts politique en France comme ses intérêts économiques et pour cela, doit-on faire encore la guerre ? Est-ce le réel et obligatoire enjeu du vrai moment ?

Le vrai enjeu
Et bien voilà; ce que j'entendais comme étend un fait marquant sur le nombre de soldat disponible dans l'ue ce matin sur Franceinfo à 08h00 du matin n'est plus une réalité sur LCI à 10h52. Formidable le traitement de l'information par M. Guetta, nous sommes passés d'une force armée en Europe reposant sur la France et maintenant selon lui; il existe une armée européenne des nations de l'UE. Bravo pour les variations flottantes de l'instant… et surtout très changeantes…Evidemment. Car quand l'on commence a aborder le sujet des matières premières et en particulier les terres rares en Ukraine et ailleurs dans le monde, et là, ça se crispe ici comme partout.
CS-16/02/2025 (11:09 AM)

L'évidence du week-end
Il faut se rendre à l'évidence, le monde change et c'est aussi un peu notre faute. Je ne suis pas mort dans cette environnement dangereux qu'est l'Internet après quelques petits dégâts techniques. La démocratie ne s'en porte que mieux, mais cette réalité du terrorisme numériques en dit long, d'où qu'il vient...

Primo.
++++++++++++++++++++++++
Il n'est pas étonnant de constater que les leçons de J.D Vance trouvent écho dans le climat autocratique des USA, d'aujourd'hui. Les américains ont imaginés que leurs idées étaient exportables sur le théâtre des opérations Européen. V.Poutine, quant à lui, interprète presque déjà que les propos de Vance deviennent "C'est celui qui dit, celui qui y'est…" et ce ne sera pas la première fois dans le récit russe. Les russes pavoisent. Les leçons de Vance, égratignent et agacent les européens, mais est-ce grave ? Car les idées de Vance sont façonnées pour assoir un peu plus D.Trump et son administration. Fraîchement arrivés à Washington, D.Trump et son équipe s'adresse avant tout et en premier aux américains (America first). Pour survivre sur Internet, il faut avoir une boite à outils pour réparer son moyen d'expression et garder son libre arbitre. Hier la mémoire de Navalny était rappelée par les instances européennes. Les américains eux, trouvent quelques vertus à des partis d'obédience Nazi ou presque alors le combat commence ici en France comme ailleurs en Allemagne. Dans ces lignes, le signe d'une international réactionnaire ? Oui complètement, il le faut car c'est un devoir obligatoire à cette heure grave de l'histoire et tout ça, est et reste dans l'air du temps présent de ce week-end.

Secondo.
+++++++++++++++++++++++++++++++
J'espère que l'international réactionnaire dispose d'un avenir car c'est un moyen de lutte rassurant et efficace face aux menaces diverses qui nous guettent. Ne l'oublions pas et j'en sais quelque chose et si vous m'avez suivis vous le savez très bien. Et j'aimerai tant que les petites remarques des uns et des autres (France, Europe) dépassent le cadre des petites "chasse gardées" des fauteuils partagés ministériels. La force de l'Europe doit reposer sur sa cohésion et son unité, il faut encore le rappeler et l'affirmer haut et fort au risque de déplaire, au risque même d'avoir à se répéter. Des leçons de démocratie à donner ? Oui, absolument encore et toujours car c'est ce qui nous préserve du pire sans avoir à tomber du tabouret des réalités à ne pas oublier. La mort de Navalny résonne encore dans notre mémoire et s'il n'était pas reparti en Russie après son hospitalisation en Allemagne, un opposant crédible faisant face à Poutine serait encore vivant.

L'engagement d'une fin de conflit
Est-ce que la France embrasera l'Europe des 27 pays membres ? Je suppose que demeure un inquiétant dilemme à Paris aujourd'hui. L'adhésion au sujet délicat de l'Ukraine. Nous (l'Europe) sommes retranchés derrière nos étendards nationaux respectifs et l'engagement n'est pas suffisamment important dans les esprits de ses habitants. L'insouciance demeure dans l'inconscience des européens, même avec un dispositif. Le sujet ne suscite qu'un intérêt trop partiel. D'ici ce soir, les réponses de l'interview sur LCI du ministre français de l'Europe et des affaires étrangères va permettre d'être exprimer à nouveau à travers le porte parole. Le porte-parole européen, probable leader ayant été désigné, depuis un moment par les 27, est censé répondre au nom des autres pays de l'union. Aucune surprise à avoir avec T. Breton en disponibilité, donc, d'ici ce soir rien de plus de nouveau dans le panier de crabes. A moins que dieu ne meurt et que la bourse plonge...à notre grand désespoir

Alors que les français sont sollicités pour faire mieux et plus. Je me suis demandé pourquoi n'y avait-il pas eu de compte rendu de la réunion d'hier à l'élysée. Seul le chancelier Allemand a prit la parole. Puis, j'ai pensé qu'ils voulaient faire mieux et plus encore aujourd'hui. Donc, à n'en pas douter, ils ménagent leur force respective et leurs interventions. Plus grave, voilà, à l'heure où je vous parle les dernières nouvelles. Les russes jubilent. L'Europe est couarde. L'Amérique d'abord. Et vive l'Ukraine et ses casques bleus à Ryad...