Du plomb dans le dos et une motocyclette
Nous étions chez Denis C. quelqu'uns pas plus, didier s. moi et d'autres mais la nouveauté faisait que j'avais ramené une petite carabine à air comprimé de marque "Diane" qui appartenait à Didier, ce n'est pas la plus redoutable des armes mais ça pouvait faire mal. Et Denis était assez excité pour la prendre en main et s'en servir. Moyenne d'âge ? 16/17 ans. Puis je ne me souviens pas vraiment celui qui a eu l'idée de vouloir tirer sur un passant dans la rue, nous qui étions rue de Prony au sixième étage. Toujours est-il que Denis C. a prit la carabine, visa et tira sur quelqu'un qui marchait dans la rue. Il le toucha et le jeune homme sentant le danger et probablement une douleur vive se mit à courir. Plus tard, je racontais au même endroit comment Laurent f. s'y était pris pour financer ses motos et puis, j'ai oublié la carabine à plomb chez Denis. Je devais avoir l'esprit, emcombré mais je ne sais par quoi

La machette
Plus tard en allant dans les catacombes de Paris (clandestines) Denis qui avait peur de l'antisémitisme avec les rumeurs des bandes adverses, se munit d'une machette et fièrement prit la pause et moi comme un con j'ai pris une photo. Clic

Je te jure, c'est une mine d'or
Fin des années 1980 la pharmacienne de la porte champerret madame S. indiqua à ma mère que vraisemblablement mon père avait un cancer de la prostate, selon des analyses et lui conseilla qu'il fasse des examens à l'hôpital américain à Neuilly sur Seine. Il s'est fait opérer et ensuite le médecin lui dit qu'il ne pourra jamais plus avoir d'erection. Le médecin avait le même nom que Denis c., probablement de la même religion. Il faisait un temps maussade le jour de l'opération chirurgicale. Mais un an avant, Pierre H. racontait lui, que son père couchait avec sa comptable dans l'entreprise qu'il dirigeait mais je n'ai jamais été voir sous les draps de ses parents. C'était sans doute très intéressant et que reste t-il de cette histoire et est-ce que les affaires sont elles encore bonnes, dans la famille H. et compagnie

Accro au Cana
Si l'on pouvait continuer en ce qui concerne la conduite de Denis c. il faut encore préciser autre chose. Pour commencer, au milieu des années 1980, avec toute une petite bande du quartier, nous partons à Anglet à coté de Biarritz sur la côte basque. Nous sommes 5 ou 6 à se retrouver sous des tentes dans l'auberge de jeunesse d'anglet. Denis c. laurent l. christophe l. christophe s. (moi même) et laurent l. et sa katana et enfin la star du camping Carole b. (quelques jours). Dans la journée, plage, dans la soirée fumette car denis a acheté un gros sac de chanvre (drogue) et il en fait profiter tout le monde. Ce sont mes premiers joints et tout de suite je suis sous l'emprise, je ris comme jamais un rire nerveux et une seule petite idée venant de mon crâne me fait tordre de rire. Quels effets. Les autres me regardent de travers. Evidemment. Et ça commence comme ça mon addiction au cannabis.

Détail qui en dit long
Pour la suite avec Denis c. un soir à Anglet, nous partons tous les deux sur la plage sur son scooter et il y a une sorte de bar/boite face à la mer. Nous y restons un moment puis nous sortons de l'etablissement sobre. Denis esquisse une petite danse, un type un peu plus agé que nous rit en le voyant danser, Denis grimpe en régime. Il attrappe son cadenas de scooter. Un Python en acier (la marque) et il donne un coup violent au type qui ne s'attendait pas à ça. Surpris, il détale et prends ses jambes à son cou. Je suis stupéfait par la conduite de denis c. pour presque rien, il s'est adonné à la violence pour un motif ridicule. Après, je ne pense qu'à déguerpir, loin de tout ça. J'imagine vite que la police peut surgir très vite et faire leur travail et être mélé à ça, je préfère pouvoir l'éviter.