C'est une image d'une grande piétée
Pour autant que je vous observe, le tiercé de tête est largement composés d’abrutis, alors nous avons dans l’ordre, Alain le non voyant, Michel, l’enfant à la baballe, et Pierre le taulard. Ce trio me semble particulièrement singulier, pas vous ? C’est vrai que pour beaucoup d’entre vous, ce sont vos légendes. Des enfants de quatre ans ne réagiraient pas différemment. C’est étrange, quand on prend un peu de recul sur ce que l’on vois, ce que l’on retient et ce l’on en conclu, je trouve que dans l’ensemble vous vivez une crise d’identité, une crise commune propre aux enfants ahuris.
Moi c’est le calcaire, expliquez-moi comment vous prenez votre douche, avec votre mari dans des relations intimes ! Anne-Marie quitte la maison pour prendre ses quartiers d’hiver. Vous ne vouliez pas vous renseigner sur mon téléphone, le mien est en panne, mais le pot de yaourt avec une ficelle, cela marche toujours aussi bien. Je trouve en regardant la télévision et plus particulièrement NPA sur la quatrième chaîne que la télévision c’est finalement un outil relativement sous-estimé. La télévision c’est un peu comme la plomberie pour les vendeurs d’eau, il faut un tuyaux, un walkie talckie, une assiette où une balle de golf, une balle de golf ça c’est nouveau et intéressant, il va falloir faire vite, je crois hélas que c’est un peu tard depuis le temps que je vous préviens, mais hélas vous faites toujours les plaisantins. Alors nous vous regardons de haut avec votre bonne ambiance. C’est une forme de pluralisme que vous occultez, tiens d’ailleurs, je pourrai évoquer certains articles de lois sur ce sujet, je ne suis pas un mauvais juriste. Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise à propos de vos émissions ? Vous n’êtes pas intelligent comme moi, cela ne servirait à rien, si je devais me baisser sur toute la misère du monde, en l’occurrence sur celle de vos émissions, je risquerai de vous demandez de travailler.
J’étais l’autre jour à la cantine de canal, votre bureau en fait, ce n’est pas formidable, mais je dois le dire, le spectacle dans la salle était fort distrayant avec les toiles d’araignées, non, juste une idée, adios amigos, le rapport qualité prix n’était pas excellent, je dîne mieux et moins chers dans mes adresses, bien évidemment, c’est autre chose. Il fallait que j’aille chez le coiffeur pour cette occasion. On comprend alors, aisément la grogne des petits cuistots et le ras la toc des cuisiniers. Heureusement, c’est un reportage de Christophe Tison, nous voulions supprimer les aides publiques. Vous avez parmi vous une femme des plus exceptionnelle, elle marie avec élégance, le sens du message et la pudeur de la vertu discrète, le malheur ce n’est pas les autres, tout en essayant de leur transmettre un petit message. Rappelez moi le nom de cette charmante personne, je suis parfaitement d’accord, l’erreur c’est la France, vous n’imaginez pas à qu’elle point, ce genre de phrase me fait rire, cela évoque tant de chose, tant de gens à mon esprit. Insistez encore sur cette notion de pudeur parce que dans certaines affaires les photographies peuvent être très importantes, car maintenant il y a lui et nous et cette personne est vraiment délicieuse, je la demanderai bien en mariage si moi même je n’étais pas marié par contumace. Vous ne voyez pas que cette femme m’aime ! Ceci dit, je lui rend bien. C'est une image d'une grande piétée.
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