CULTURE
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POUTINE ET KIRILL
Mobilisation ou pas
Le 7 janvier 2022
Alors que les coups de canons de la guerre résonnent toujours aux portes de l'Europe; en Ukraine, le dernier épisode
en date, ce sont les nouvelles du front associées à la religion. Le dilemme pour Vladimir Poutine concerne
la fameuse "trève" de 48 heures, qu'il cherche à imposer pendant la période du noël "orthodoxe". Mais, regardons en
face, les éléments de compréhension et analysons cette opération de communication de la part du Kremlin. L'équation
représente ici, à peu près cela : Si, Guerre = "Morts en masse" alors réaction d'espérance = donc, avec
la "Religion" = "popularité plus grande". Cependant, laissons-là ces comptes d'apothicaires un peu fou, mais
toutefois un peu révélateur, chez nos amis de l'est et d'ailleurs. La raison de Poutine de faire un coup politique,
en y mélant la religion (la période de Noël) et ainsi acquérir l'adhésion de la population pour en faire un symbole
de cohésion est habile. Rappellons-nous que parmi les pays de l'est de l'europe, même Lénine et Staline n'ont pas
pu imposer très longtemps leur religion du moment, à l'époque: le communisme. Les images diffusées de Poutine dans
l'église, ainsi que celles de son camarade Kirill, c'est précisément-là où l'ont commencent à mieux comprendre, le
fameux adage, "Gouverner c'est prévoir" et le prélat Kirill le sait très bien. C'est pourquoi, à cette occasion,
Poutine et le religieux orthodoxe marchent, presque, main dans la main, côte à côte dans un système politique
qu'ils ont installés et où l'ont comprends mieux, leur passé en commun au KGB. CQFD et RAS alors que maintenant
dans le monde, "la télévision, c'est l'opium du peuple" et ce n'est pas une phrase qui appartient ni à Karl, ni à
Groucho Marx, je cite simplement en lui rendant hommage, la mémoire de Franck Simoni
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