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Picto t e r m i n a l - m e d i a . f r Picto






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(five)










en








1999





Dans un cadre rural et tranquille et silencieux, voici une série de textes qui auront été diffusé sur le site Internet "Canal-Up" à partir de 1999. Que je confonde la cible et le tireur, c'est probable mais c'est un peu, un travail seul dans la nuit comme un cri, avec le seul cliquetis du clavier qui mérite d'être entendu. Alors, laissez-vous bercer par le rythme et imaginer le contexte. Car, c'est avec cette approche que vous aurez la réponse à votre récit

A toi l’honneur

Fantasmes, La soupe à la grimace. Ses fantasmes, non bien sûr, elle n'en a pas. Des fantasmes érotiques ! Ah bon, nous sommes contents de savoir que ce ne sont pas ses fantasmes érotiques. Très intéressants, voici une sotte qui encore une fois se fait grignoter sa cervelle de la taille d'une sauterelle. Ici encore, nous n'avons plus à faire avec des gens qui ont une histoire, une vraie histoire à vouloir partager, pas des simulacres de prothèse, des thèses de professionnel du genre, enfin c'est ce que je veux dire. Des experts, des experts dans la reconnaissance des clichés les plus fantasmagoriques, des d'images, des images, loin de cette petite fille sage, qui à dix -neuf ans nous a pondu ce petit pot pourris, sans doute une compilation, de tous premier choix dans l'art de raconter des bêtises et de vouloir les faire croire aux autres. Je sais parfaitement de quoi je parle. C'est sans doute l'histoire de quatre femmes qui doivent être très intelligentes...Petites vertus et grands cerveaux, les plus vénales aussi. Au moins, tout le monde en profite. Voilà qui donne une extraordinaire leçon sur l'être humain, où la bête. Pour ma part je suis friand de fantasmes, surtout les miens, ils sont si considérables dans la mesure où il le reste. Remarquez, je ne fantasme plus de danser aux carnavals des idiots, il y en a d'autres de tellement plus fascinant...Pour revenir, à cette grande écrivaillonesse, elle ne doit pas regretter d'être venu dans la boite, je la regarde de mon poste et je me dis et je me redis à l'aube des imbéciles elle a toutes les chances d'être au zénith. Sa maman doit être anglaise ? Elle doit être fière d'elle non ? Au moins pendant ce temps-là, elle ne traîne pas dans la rue. Personne n'est dupe, en tout cas il faut l'espérer. Dans mon sermon d'hypocrite, je suis toujours le meilleur. Voilà un serment d'Hippocrate qui ne doit tenir maintenant qu'a une télécopie ! Elle l'a bien mérité la Mireille, psychiatre de mes deux oreilles, c'est vrai j'ai été l'ordonnateur de bruits de couloir, et sciemment j'ai créé des fantasmes qui m'était complètement étranger, une prédisposition à mentir ? En fait il fallait tenter l'expérience pour de loin observer ce qu'il allait arriver dans un future proche. A ce que j'en constate maintenant j'ai bien fait d'être méfiant. Mes pérégrinations m'ont fait sentir une vrai putréfaction propre à la ville et à certain individu, hommes femmes, et avortons réunis. Une vraie méfiance de renard qui a suscité un résultat plus qu'éloquent. Un troublion qui jette en pâture un fromage dans la fourmilière des vaniteux, et voilà qu'ils cherchent à vous faire vivre exactement ce qu'il pense avoir entendu deux jours auparavant. Je n'étais pas dupe, je ne l'ai jamais été. Les événements l'on vraiment confirmé. Alors ils échafaudent, fabriquent des théories stupide pour chercher à comprendre l'homme où la bête. En fait, il tente de poser des problèmes dont ce sont les seuls à disposer de leurs propres méandres sulfureux. Malin, rusé personne ne m'a réellement coincé et sûrement pas sur ce registre délicat de la sexualité. Il n'y a qu'à les écouter pour comprendre, ce ramassis de crotte d'écureuils, c'est le fruit de conversation avec une psychologue de bas étage, elle jurera que c'est la vérité. Moi je soutiens que c'est une de mes plus belle trouvailles, le niveau zéro de la communication truquée. Une belle perche pour les cons de France et de Navarre. Comment commander un burger de souris. La recette est très simple. Vous prenez une psychiatre bien sèche qui n'attend qu'une chose c'est de regarder dans votre besace pour trouver la clef du mystère. Vous la faites mariner avec le fantasme le plus stupide qu'il soit. Une partie de jambe en l'air avec deux souris, un peu de sauce et n'hésitez pas à mettre du sel, enfin je veux dire, donner lui la joie de comprendre que c'est un vrai fantasme, placez ceci dans la balance et attendez ses réactions. A première vue il n'y en a pas, quelques questions d'usages, mais n'hésitez pas, il faut qu'elle en ait pour son argent, cette bouse de vache. Après cela, merci madame, fermer la parenthèse et laisser la croupir dans son jus de notes et d'écriture illisibles. Après cela, observer, soyez vigilant rester aux aguets. Observer, mais ne dites rien. Pour moi il m'a fallu attendre un peu. Mais je suis très vite tombé dans le vrai. C'est ainsi deux bonnes âmes m'ont gentiment invité à passer un week-end de novembre dans un magnifique bungalow de la manche à Avranches-sur-Mer très exactement. Une pièce une simple pièce où nous avions à un lit pour chacun. Comme il fallait sans doute un innocent pour raconter la vérité l'une d'elles n'avait pas moins apporté son petit rejeton, un gamin de quatre ans qui n'avait lui absolument rien demander. C'était témoin numéro un, cette tête innocente. Pendant que sa maman et sa tati aurait dû forniquer bestialement avec le diable. Hélas, rien de tout cela n'est arrivé, j'ai passé une nuit un peu froide mais je suis resté de marbre. Quand le corps, n'y la tête n'a pas besoin de cela, que voulez-vous, il faut bien trouver une explication à ce que vous soupçonner. Rien, rien du tout, le burger de souris est prêt il n'y a qu'a le déguster, pouah manger des souris à la commande. C'est minable, vraiment minable, il y a de ces gens qui pense vouloir vous faire passer pour un imbécile à tout bout de champs. C'est ridicule. Qu'elle cirque grotesque tellement grotesque que j'ai le sentiment que leurs vains efforts sont et seront ridicules pour vouloir me faire passer pour quelqu'un que je ne suis pas que je n'aurai pas pu être. Une marmite, pour la création d'un petit scandale de crotte de chien. Je serai curieux de savoir ce qu'il pense de sa mère le petit garçon, va t'il mentir pour valider la thèse de sa mère ? Je serai curieux de l'entendre. Et cette pomme de psychanalyste de pacotilles, croyant avoir trouvé un filon pour exploiter sa bêtise. Que dit-elle ? Et bien comme le dicton bien connu, les parents boivent, les enfants trinquent, et c'est sans doute sa fille qui nous raconte à travers ce livre, des fantasmes emprunté à son intuition débile. Edition garantie pour fifi, loulou et riri. Je suis sûr et certain que son livre ne mérite même pas le pilon, non bien au contraire, celui-ci, je suis persuadé qu'il y a quelque chose à faire avec. Un autre livre, des mémoires, des mémoires de guerres. Garder moi un exemplaire, merci. Elle nous offre en partant son plus beau sourire, un souvenir que certaines femmes vraiment laide ou reconnu comme telle par le plus grand nombre, ont infiniment plus de charme que cette grue couronnée.

Après un message à caractère de travail alimentaire de l’émetteur vers le diffuseur, le conseil est le suivant, il faut pour bien faire passer par la direction des ressources humaines. Voici la réponse à caractère informatique

Pour l’équipe cyber

Quel sens de la plaisanterie, sidérant. Normal cela vient de l'équipe Cyber. Vous le faites exprès ou ce sont des ordres, hum, pardon des conseils. Enfin au moins vous vous donnez bonne conscience. Je suppose que votre déontologie, vous oblige à suivre la procédure. Cyber, n'importe quoi ! Je crois finalement que ce n'est pas une de mes meilleures idées. En fait, une fois encore, j'ai surestimé votre aptitude à comprendre. Vous avez vraiment un cognitif limité. J'irai même plus loin, c'est que vous êtes aussi stupide que vos abonnés. Mais, est-ce que ce sont les abonnés qui sont aussi stupides, ou vous-même qui chercher à leur ressembler. Je crois que nous allons laisser planer un doute. Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise et en particulier à votre directeur des ressources humaines. Un stage, qu'elle drôle d'idée ! ? Très cyber, sans aucun doute ! Vous devez certainement vous moquez de quelqu'un. Pourriez-vous, vous montrez plus précis dans vos définitions. C'est ridicule, enfin vous devez être payé pour formuler des réponses pareilles. Subjuguant de bêtise, à messages de Cyber con, réponse de con.
Nous attendons votre courrier.

Télévision, dis-moi qui est la plus belle, pour moi, c’est la plus belle, alors j’en parles

La télévision c'est ton métier, non ? En ce qui me concerne ce n'est pas une priorité, mais cela a été mes premiers amours. Je ne peux y penser sans avoir une pensée affective rétroactive à son intention. Comme il m'est difficile de regarder ce qui est codé, je vais donc parler de la face caché de votre iceberg télévisuel. Je n'ai pas de leçon à donner, c'est sûr, néanmoins je n'ai pas d'ordre à recevoir donc cela nous laisse un pouvoir de suggestion. Trop vaniteux (l'espèce humaine est ainsi faite) je doute que tu ne prennes en compte à la lettre, cette proposition de grille de programme. Il te reste à t'inspirer de mes réflexions, pour te surpasser en trouvant une alternative bénéfique.

On ne change pas une équipe qui gagne, c'est d'ailleurs un peu inquiétant parce que ces hurluberlus, comment faire pour les décoller, ceci étant dit, ils ne sont pas mariés. Si cela fonctionne bien ensemble, il n'y a aucune raison pour que séparément le courant passe également. Ça reste une formule, une simple et banale formule, blanquette, pot au feu, frites, ect ect. La qualité de la provenance des aliments fait quoi ? Quarante pour cents de la pérennité de l'établissement ? Pas plus, c'est dommage. Il faut le dire, avec de meilleurs invités, vous y gagneriez largement plus. Un oeil comparatif ? Rien à voir. Aucune comparaison possible avec ce qui se déroule sur les autres chaînes à la même heure. C'est ce qui vous aveugle, tous. Au royaume des aveugles, les borgnes sont rois, cela s'applique bien à vous. Donc, il faut résonner autrement. On ne peut pas trimballer quelque chose dix ans avec soi sous prétexte que vous n'avez rien d'autre, où que la solution soit médiocre, mais acceptable (et je sais de quoi je parle). Enfin quoi ! Il n'y a pas d'autre choix que la fausse promotion. Une promotion au premier degré, une habile confirmation critique au second. Pour qui cela fonctionne ce double langage. Pour qui cela fonctionne au premier degré, au second, et les deux à la fois ? Pour toi.

Je ne peux pas passer en revue l'essentiel des animateurs, mais je peux isoler trois courants distincts, trois symptômes, si je puis dire. Information, divertissement, l'invité. Ça peut paraître assez disparate comme courants, mais c'est une réalité.

Rien c’est encore trop ou le discours unilatéral

Bonjour et oui, c'est encore moi. C'était moi hier, avant hier et à ce jour c'est encore moi. Enfin peut être pour pas très longtemps encore mais au moins aujourd'hui c'est moi. Bien sûr, on pourra dire que je suis fatigant, remarquer que pour l'instant c'est moi qui pourrai être fatigué depuis tout ce temps. Mais à vous regarder vous, vous affichez des mines superbes, de belles dents, une belle peau, un beau moral, de belles plaisanteries. Vous avez sans doute travaillé beaucoup pour en arriver là. Cela n'a pas été trop dur, enfin je veux dire trop difficile. Ça va vous dormez bien ? Pas de mal au dos ? Aucun mal de tête ? Ce n'est pas que j'ai vraiment envie de vous voir en mauvaise santé, mais quand je m'observe, j'ai parfois quelques inquiétudes et à entendre les mouflets de six ans, dans leurs légendes, j'aurai une longévité réduite. Evidement la santé, c'est un problème, la douleur, c'est aussi un problème, mais ce n'est pas le même problème. Prenez un animal de type humain par exemple, prenez un briquet et placer la flamme sur l'un de ces bras. Et observez. Que se passe-t'il ? Je vous le demande ? A votre avis que peut-il bien se passer ou mal, cela dépend évidemment qui tient le briquet et qui est l'heureux possesseur du bras. Et bien vous pouvez me croire ou pas et bien au bout d'un certain moment, notre patient s'agite. Et bien c'est curieux mais j'ai eu parfois cette impression. On n'en meure pas c'est sûr, mais il n'y a que ceux qui ont vécus cette "expérience" qui peuvent en jugé vraiment les effets. Bon en dehors du fait que c'est insupportable, le pire, enfin, ce n'est pas le pire mais ce qui aggrave le cas encore, c'est qu'en plus, on ose vous dire que c'est pour votre bien. Alors là, pardonner-moi, j'ai quelques réserves à exprimer. Remarquer au fond cela donne à réfléchir. Cela donne à réfléchir sur la manière de vivre que l'on peut appliquer à l'heureux possesseur du briquet. Pourquoi ne pas faire pareil ?

Oui mais finalement, je crois qu'il faut trouver plus original. Du bâton, du fouet nous y avons déjà pensé, mais cela ne donne pas de bon résultat sur le long terme, enfin je veux dire, ces gens-là ne se complaisent réellement que dans ce moment-là, ils pleurnichent, ils adorent pleurnicher. Voilà que cela leur donne une bonne raison de vivre, le pleurnichement. Ils se complaisent dans le pleurnichement. Ça pour cela, ils sont les rois. Oh bien sûr, ils sont prêt à tout pour pleurnicher, même nous faire croire qu'ils sont les gens les plus persécutés du monde, alors quand ceci donne de la voix à des intérêts économiques et politiques, alors là forcement, il y aura toujours des cons pour chanter en chœur leurs lamentations. Cela me rappelle une histoire de camps de vacances. Un camp de vacances où les vacanciers avaient décidés qu'ils ne mangeraient plus la bonne soupe qu'on leur avaient préparés. De quoi devenir de bonne petite victime, sans nul doute. Remarquer ces pleurnichards sont assez folkloriques, leurs cultures ne reposent sur rien, leurs vies n'est qu'une suite de légendes et à bien les écouter tout est bon pour être une bonne petite victime. Avant tout, ils sont victimes d’eux-mêmes, mais ça nous n'y pouvons rien et puis ce n'est pas de notre faute tout de même. Alors que faire avec ces mouflets de six ans ? Nous sommes partis en constatant qu'ils aiment les rôles de victimes pleurnichardes. Et bien nous pouvons, nous devrions dans leurs légendes de victime nous imposés comme persécuteurs, ou comme sauveteurs de ces petites victimes. En fait, c'est ce qu'ils attendent, c'est ce qu'ils attendent pour venir pleurnicher un peu plus. Ces gens sont vraiment stupides, aussi stupides qu'une brique dans un mur. Cela vaut bien des pleurnicheries à placer dans les interstices de ce mur, pour qu'ils s'essayent à rendre leurs pleurnicheries un peu moins stupides. Ils n'ont aucune culture nous l'avons déjà dit, quelques croyances, des croyances de victimes. En fait c'est un vide, ils sont vides, ils sont vides en dehors du fait qu'ils sont des victimes. Des victimes vides, enfin je veux dire que leurs vies et leurs âmes sont tellement vides qu'ils se sentent obligés de jouer les victimes, pour comblés leurs vides et puis, surtout ils comptent toujours sur les autres pour comblés le vide qui régissent leurs vides de victimes. Des victimes vides, vides et obscènes. Mais que faire donc pour ces pauvres victimes. Et bien je dirai, rien, ne rien faire, ne rien faire c'est encore trop d'ailleurs. Quand je dis, ne rien faire, c'est ne plus rien faire du tout avec eux, ils n'existent plus. Personne ne les voit, personne ne les entends, ne les écoutes, ne leur parles, ne commerces avec eux, personne, qui sont-ils ? Personne. Inexistant, ils n'existent plus, nous ne faisons plus attention à eux, invisible, ils vous parlent, ne leur répondez pas, d'ailleurs qui voudraient leur parler à ces gens-là ? Puisque ce sont des victimes vides de sens. Alors que va t'il se passer ? Et bien nous verrons bien ? Les moutons iront se faire voir ailleurs, les victimes de six ans quand elles sont insupportables, il faut bien prendre une décision avec elles. C'est fini, c'est terminé, on a pris notre décision, c'est terminé, je ne leur dis même pas bien fait pour eux, c'est comme ça, notre patience à des limites et la limite est largement dépassé. Donc c'est fini, terminé, plus un mot, plus une parole, pas un regard, pas une pensée. Ici, ailleurs, partout. Qu'ils pleurnichent si ils le souhaitent, cela ne changera rien, en tous cas pas notre façon de vivre et surtout pas notre manière à nous de les considérer. C'est fini, terminé. Rien, c'est encore trop.


Les télévisions du monde se ressemblent et pourtant elles restent différentes aussi et elles ne s'en rendent pas comptes

C'est vrai, c'est toujours un peu délicat de se retrouver devant la page, le curseur clignotant, les affres de la création ? Non, rien à voir, c'est surtout par quelle sujet commencer. Ils foisonnent dans mon petit crâne, évacuont les questions qui me font marcher, enlevez les soucis de l'administration Cyber. Car, je ne sais finalement pas très bien si ces quelques lignes peuvent oui ou non vous donner à réfléchir. Avec l'habitude, le cours du temps des événements, je me demande si parfois mes réflexions atteignent leurs buts initials. Oh, c'est certain, je suis parfois très sérieux et je ne plaisante absolument pas. Mais quand il s'agit de discuter de vos émissions, j'ai quelques retenues, oh ce n'est pas que je pense que mes réflexions ne soit pas mérités, mais je me réserve bien de vous parler de télévision, de grille, de programmes, de concept, de formules. Mais j'ai sur vous, tous, une idée qui se précise de plus en plus. Vous en faire part ? Mais je ne peux pas, c'est l'évidence même et vous savez parfaitement pourquoi. Remarquer et c'est assez paradoxal, j'aimerai bien être une petite souris et écouter à loisir ce qu'ils se racontent dans vos murs, dans vos rédactions, dans vos bureaux et couloirs, à la cantine. C'est vraiment paradoxal. J'imagine que cela vous donne un nouveau souffle, une remise en question. Je me demande d'ailleurs si cela change fondamentalement les choses. Si je le soupçonnais pas un tant soit peu, j'aurais probablement laisser tomber avant. Mais je n'ai pas tout dit, attendez, je ne vais pas tout déballer comme ça. Pourtant, j'en ai en stock des remarques et pas des moindres, c'est un travail de tous les jours. Je ne dénigre pas votre travail, mais cela ne m'empêche d'avoir à exprimer certaines remarques, qui me semblent justifiés. C'est assez valable pour l'humanité non ? Un médicament pour rajeunir la télévision de l'humanité ? Non, vous ne pensez pas que nous pourrions ainsi gagnier un peu de temps au lieu de tergiversé, finalement, vous n'avez pas le monopole de la bonne parole, au même titre que les autres, ce n'est d'ailleurs pas une raison pour vouloir faire comme eux. Donc nous abordons aussi celui du langage universel. Nous avons peut être un langage en commun. Celui du bon sens.


Un traitement pour les avides et les corrompus

Aucun d'entre eux n'aura été à la hauteur et je les rendais folles. Parce que je le vaux bien car toute cette histoire est parfaitement ridicule, pour les uns, comme pour les autres. Quant à nous, nous marquons, nous comptons et nous saurons faire le tri. Une famille de coyote parmi des chacals, cela va les mener à leur perte. Tout va disparaître et pourquoi donc ? Mais au regard de l'histoire, c'est très simple à comprendre, un enfant de trois ans aurait déjà compris, mais je suis si peu pressé de vouloir vous y précipiter que finalement vous tomberez tout seul, comme des pleutres. Avide et corrompu. Traîtres parmi les traîtres, qu'est-ce que nous avons fait ? Mais nous défendre, rien de plus, en attaquant.

Autoroute des médias, encore faut-il avoir quelque chose à dire...

Alors c'est curieux, j'ai remarqué que lorsque que l'on envoie un message à dix-huit heures trente et bien votre administration vous envoie un jolie message, c'est très gentil, merci beaucoup complètement impersonnel, mais gentil vraiment gentil. Moi, vous savez, je n'ai rien demandé à recevoir du tout, d'ailleurs, je sais par expérience qu'il faut rester bien pleutre sur l'Internet, enfin je veux dire, évasif. Bon, et bien voilà que je fais tout le contraire, oui je sais c'est un genre, en attendant de trouver une occupation plus stimulante. Oh, on se fait à tout vous savez, même aux éditoriaux les plus bêtes. Pour ce genre de détails, je peux dire que je me demande si cela a encore un sens. Ça doit être dur tout de même de se lancer à l'assaut du public en sachant d'avance que cela va être un échec. C'est un métier, j'en conviens. Enfin, ce n'est pas interdit d'en changer.


Communication culinaire parce que notre ennemi ce n’est pas le financier dans la vitrine

Messieurs,
Nous sommes de très gros clients spécialisés dans les secteurs de la communication. Nous recherchons des sociétés ayant des difficultées financières ou sur le point de déposer leur bilan. Nous ne voulons pas acheter, mais reprendre un portefeuille d'action vite généré. Nous vous imposons des opérations peu coûteuses afin de sauver vos bilans sur les obligations pourries (junk bonds)
Les métiers de la communication étant soumis à une concurrence acharnée et souvent désespérée, le marché reste instable et les affaires vont mal.
Nous vous prions d'agréer, Messieurs, nos salutations distinguées.
Le président


La gent féminine parce qu’il faut compter aussi avec elle, plus que tout. A l'intention de la gent féminine de Fractal bonux communément appelée la bande des quatre

Comme j'ai peu de succès, (je suis furieux) je préfère parler de façon général à vous quatre, Anne, Cécile, Daphné et Flavie. C'est assez simple à comprendre, avec quatre, j'ai plus de réussite qu'avec une seule. Mais il y a un problème, je suis assez exclusif, enfin je veux dire que comme l'épagneul Breton, je ne suis fidèle qu'a ma maîtresse. Non, je plaisante évidement, forcement. Mais comment faire pour susciter en vous un soupçon de curiosité à mon égard qui romprait avec cette solitude protocolaire. Je vous ai déjà expliqué que je ne vous trouvais pas bien courageuse, mais enfin, vous avez une vie si comblée, si radieuse que vous vous complaisez dans cette tour de dédain, typiquement féminin. Avez-vous peur que je puisse pénétrer dans votre vie, observer les vicissitudes et les joies de vos plus intimes pensées.

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