C'est curieux, car avec ce que contient parfois l'actualité, l'on trouve des véritables pépites mais les sujets passent et puis un jour, c'est à la une et le lendemain, c'est le flop, floppy disk et c'est encore autre chose. J'en veux pour preuve, cet épisode qui a fait quelques vagues. Mais en trois mois, c'était terminé. Vous savez, l'affaire Pégase. l'espionnage à grande échelle d'un pays du moyen-orient assez perturbateur. Je sais, c'est loin déjà, même en partant de Grenoble et le voyage dans ces contrés ça dure combien de temps car la "cellule de crise brutalement toussote pour plus tard faire stop". Et oui, en France, certains médias et notamment la maison de la radio (ce bien bel immeuble où l'on venait s'abriter comme dans un hôpital quand l'on a bôbô) faisait référence à une bien sombre histoire d'espionnage et de renseignement à l'échelle internationale qui avait pour origine le territoire d'Israël. C'est étrange, car coupé dans son élan, les "investigateurs de la cellule d'information de Radio France" avaient travaillés, enquétés, informés, affirmés, qu'ils détenaient un sacré scoop sur l'entreprise "Pégase" en Israël et cette même "start-up", cette jeune pousse s'avérait, selon eux, faire usage de "logiciels" écoutant des milliers de téléphone portable et des dizaines de réseau à travers le monde. Oh ! Comment, est-ce possible, une telle technologie pareille dans une entreprise qui écoute la moitié de la planète. C'est presque comme le traîneau du Père Noël à Pâques, mais avec des oeufs comme ça, ce sont les fruits d'une autruche ou un cadeau comme cela, c'est un véritable mais unique marronier en fleur. Je ne me rappel pas, combien de temps, le scoop dur dans la mémoire d'un banal disque dur... qui dur... qui dur. Pourtant, je constate que "la cellule de radio france" semble avoir été arrêté par plus fort et plus diplomate qu'un écrivaillon comme moi. Un ordre aurait-il été influent, pour les faire se calmer, les rendre plus docile, face à l'indicible et sournois mal qui annonce les mauvaises nouvelles, en tous genres ? Ou, est-ce suffisament sérieux pour calmer les ardeurs des risques-tout du micro des médias publics et semi- publics, en l'occurence, ça peut être à vous. Alors merci pour le service, en tout cas, c'était vraiment très intéréssant, j'ai tout de suite compris et n'oublier pas d'écrire, car si vous désirez encore parler de "Pégase", faites en part à la directrice de l'antenne mais elle reste très attachée à ses valeurs, car je sais que l'humour fait encore des ravages sur le service public, mais si vous avez envie de rebondir, le trempoline est encore là et il en reste encore deux qui n'ont pas été identifié mais il y a de quoi être mort de rire avec une affaire pareille et il faut éviter de sauté car c'est un cas encore très mystérieux dans la famille, un peu comme l'affaire Pierre Palmade qui est très parlante. Moi, je suis assez curieux et friand de ce genre de scoop avec des noms, des lieux, des faits dans cet affaire étrange d'information et d'espionnage. Allons-s'y, mais qu'ils n'oublient surtout pas de chuchoter au téléphone car méfiez-vous, car sur Europe 1, ils risquent de faire souffrir France-Inter en grignotant quelques points auprès d'audiométrie dans la nouvelle guerre de l'information et l'on sait maintenant que désormais "Toutes les routes mênent à Rome" et c'est si triste d'échouer là-bas, dans le terminal des incompris et des muselés dans la grande dictature où depuis qu'un petit despote comme moi, impose l'hilarité à tous les étages, alors qu'ils sont encore très loin de moi et que je ne suis pas ridicule du tout. Malgré tout leurs efforts et toute leur volonté, cette obstination fait preuve d'un courage sans réserve qui impressionne vraiment le journalisme d'investigation et qui reste à être souligné... car frappé par son maître il a faillit perdre sa patte