Alors que le Maroc vient de subir un tremblement de terre terrifiant, il faut savoir aujourd'hui ce qui peut être utile, nécéssaire et impératif. L'équation est simple, car avec plus de 2000 morts au compteur avec un triste bilan augmentant toujours et encore. Ces effroyables reportages, indiquent où se trouve l'urgence et j'irai presque à dire, peut devenir une possible opportunitée et même plus, une véritable chance.

En france, dans ce mois de septembre 2023, la réalité "bisounours" de gauche reste d'actualité et j'imagine que le commerce concernant les drogues illicites, ça vivote "taf, taf". La droite, elle prépare les enterrements à l'hôpital comme dans les prisons. Cependant l'argent réinvestit avec les stupéfiants, il ne grimpe pas au plafond et là le bilan positif est plus difficile. Alors que faire ? Brader le douze grammes ou changer de métier ? Ou bien sinon essayer d'évoluer autrement qu'en troisième division ?

Le problème est compliqué, mais vous le savez, la vie est également compliqué et tous les français d'origine marocaine ou pas, trafiquant de teuch ou pas, doivent se poser les bonnes questions. D'ailleurs, je serais curieux de savoir comment Djamel Debbouze réagit concernant le séisme et la possible aide à apporter et à supporter que l'on soit riche ou pauvre, malin ou stupide.

Vous savez pourquoi j'ai crée ce petit flyer "tous au bled" parce qu'à l'époque, je m'ennuyais en france et je me suis dis "J'ai juste besoin d'un ailleurs", en ayant vraiment la volonté d'autre chose que ma petite routine (période "Hôpital de jour"). Oui, vraiment s'il y avait un raz de marée en Italie avec beaucoup de dégats, alors là, je serais radicale avec comme direction Palerme pour être utile et même mieux envisager, après la catastrophe, une réalité économique avec un réel art de vivre. D'ailleurs, je suis persuadé que l'équation se pose de la même façon pour le maroc.

En france, l'on vous casse les noyaux pour des histoires de fringues. Le seul truc qui compte, c'est vivre et mieux encore et les boulots, ce sont toujours les mêmes, alors à un moment, il faut savoir dire "stop". Ceci étend dit, l'espoir n'est pas une stratégie. La chance pour demain, c'est peut être l'humanitaire et après le business. De toutes les façons, c'est toujours pareil, partout comme ailleurs, l'on choisit les meilleurs et "reconstruire" un maroc blessé, c'est agir pour les autres et aussi pour soi. Car avec un parcours ici, c'est "No future". et avec un numéro de téléphone, l'on en sait toujours plus pour être utile. CS-11/09/2023