Alors que les Américains avaient annoncés qu'une attaque, durant le week-end vers Israèl, par les Iraniens était imminente. Samedi soir, elle avait lieu et c'est un nombre considérable de roquettes, traversant le ciel de Syrie ou dans le vacarme des stridantes sirènes que les engins volants vont être stoppés par le système anti-aérien américain "Patriot". Deux jours plus tard, le bilan est engagé et se pose le problème de la phase d'après, pour Israèl, pour l'Iran et les alliés des uns ou des autres

Pour l'instant, le avant a été géré par la G7 (les 7 nations les plus riches du monde) avec, en acteur particulier et premier le renseignement américain. Pendant, l'attaque ce sont les américains, les anglais, et les européens qui ont participés à la bataille des roquettes Iraniènnes. Selon l'audiovisuel français, à 99%, elles n'ont pas atteints leur objectif initial. Aujourd'hui après le "bombardement" les témoignages sont de mise, et vraisemblablement, l'on ne déplore côté Israélien qu'une victime. Tandis, que le G7, et quasiment l'ensemble du monde est unanime pour reprendre en cadence et affirmer "arrêtons-nous là, arrêtons les frais..." Cependant le conseil des ministres Israéliens se réunie à 14 heures aujourd'hui avant d'annoncer une prise de position, comme peut être une contre-attaque vers Téhéran ou un brusque arrêt des hostilités au Moyen-Orient à Gaza et Tel-Aviv. Et tous les scénarios sont envisagés et le plus difficile, si l'on peut dire, c'est de choisir le film.

Ceci dit attendons-nous à une drôle de mise en scène avec tout les acteurs de cette escalade qui ne doit pas être une escalade, il ne manquerait plus que le secteur soit le théatre des opérations les plus dramatiques pour les habitants de la région et soyons claire, la guerre qu'elle soit conventionnelle ou pas, cela fait toujours des morts, des blessés, des orphelins et un tissus économiques a remodeler. D'ailleurs, se sachant nullement indestructible, Israèl a bien comprit la menace à sa porte. C'est très simple, si ça continu face à une force militaire plus conséquente en face, les Israéliens n'hésiteront pas une seconde s'ils se sentent en danger pour utiliser la bombe ou les bombes A. qu'ils ont en stock. Le G7 dans son intégralité et même certains autres plus en périphérie (Russie, Chine) ont également recommandés de ne pas trop insister dans ce sens. Ce à quoi, l'on pourrait presque se demander si les occidentaux attendent le coup d'après sur une terre dévastée par le nucléaire pour y faire pousser du gazon artificielle anti-radiation. Et cela serait une très mauvaise nouvelle pour la région avec un cynisme, jamais vu, et à son plus gros niveau d'intensité.

Serait-ce les vieux griefs des pays de la région du golfe qui se risquerait à voir partir leur équilibre économique pour diriger quelques divisions de fantassins spéciaux (Houthies au Yémen et Hezbollah au Liban) vers Gaza. Ca fait soixante-dix ans que l'équilibre atomique s'exerce et marque les esprits avec une violence terriblement destructrice; il ne manquerait plus que l'on s'en serve et là, c'est l'enchaînement brutale et assuré vers irrémédiable fin d'un monde assez sage encore pour l'instant.

Ce genre de convergence vers la violence même si, c'est une posture venant des occidentaux. Cela s'est peut-être envisagé comme dans une sorte de calcul. Et si toutefois, la situation n'était pas déjà si effroyable à Gaza, l'on pourrait presque se dire que s'appuyant sur des nouvelles technologies qui ne cessent de surprendre et de donner envie a des pays moins à la pointe des sciences diverses et variés succeptible de construire le monde de demain. Il faut se rendre à l'évidence et tenter d'autres pistes que la guerre. Sinon, si les armes ne se taisent pas, sans nulle doute, ce sera la guerre nucléaire qui dominera le sujet. Du côté Israélien, l'on sent, chez eux, une sorte de paranoïa froide qui oblige à considérer le problème de son territoire comme reposant sur une réalité "existentielle". C'est dire, le degré de violence qu'ils sont prèt à utiliser pour préserver son peuple. L'occident d'une seule voix se présente avec cette mise au point depuis samedi et de manière entière, ils peuvent intervenir militairement avec leurs bases et leurs navires. C'est pourquoi, les lionceaux comme des adultes ne méritent pas de mourir ou de ne pas revoir leurs frères ou leur père