Au cours de ma vie souvent, j'ai pu entendre que je finirai en fauteuil roulant; que des choses charmantes et réconfortantes avec ces braves gens des instituts et organes de santé. Merci, je suppose que ça commence comme ça; le tremplin sur l'échaffaud public ou privé et ça doit être une réalité un peu partout sur la planète et souvent ce n'est pas forcement, vos actes qui vous condanment; c'est votre parcours de vie. Alors, quand ça commence mal; ça finit mal évidement. Mon père avait, lui atteind 89 ans mais connaissant la région depuis 19 ans et pas trop mal mon histoire de vie depuis mes sept ans, de plus en plus, je ne m'étonnes plus de rien. J'ai surtout l'impression que j'avais confiance dans quelques personnes et elles me quittent avec leur décès et il faut s'y résoudre. Car, après 35 ans de brouillage dans ma tête à cause du couple alcool et médicaments, ne favorisant pas l'aptitude à comprendre (le cognitif), maintenant, c'est la fatigue qui vient me chatouiller, le stress, l'abscence, le statut social, mais je dois avouer que l'imbécilité me fait encore sourire, mais aussi, le fait que tous les crimes doivent dans une société équilibrée être punis et là je dois dire que je n'ai jamais eu le sentiment que mon frère, que mon père devaient subir quoique que ce soit digne d'une inquisition. Je considère pour moi qu'avec l'éducation que j'ai pu avoir, alors que je ne pouvais pas savoir grand chose, l'on ne demande pas à de la chaire à canon a être prévenus sur ce qu'il l'attend. Dans l'ordre de la situation familliale, ayant un frère ainé agée de plus de 7 ans, une soeur plus agé de 6 ans, forcément ça plombe et sans compter sur une éducation un peu trouble et des marques de griffes sur le front, l'on peut s'attendre à tout. Alors en rajoutant la maladie à vie, il y a, évidement de quoi s'attendre au pire pour demain. Etre paralysé pour la finale sur un lit avec l'obligation de regarder la une, sans pouvoir changer de chaîne. Génial, le rêve de martine aubry se réalise enfin, avec le "care" et le nabot peut torturer comme un barbouze, les honnètes gens. Super, c'était ça, la stratégie...

Mais, ce n'est qu'un jugement de valeur sur les animaux avec le mouchoir parfumé du grand Hans et du petit Louis, mais, je ne dis pas, qu'ils sont, incompétents, je les trouves incapables, c'est différent. De nos années de conquète et de villégiature, parmi ces trains entourés par nature. Lourd tribut pour les attaquants toujours obèses vers la direction du terminus pour le futur. Il n'en reste pas moins quelques images, comme une sorte de grande cage. Et comme, ils veulent se sentir obligé en général, c'est très vite, qu'ils apprennent la destination de leur bouquet final quand l'aviateur reviendra voir sur le sol leur tas de ferraille