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HISTOIRE

4 dates, 4 épreuves

Le 4 mai 2024, par christophe simoni


1970
Cet enfant, il a entre 4 et 6 ans. Je vais vous racontez son histoire. En 1970, il a 4 ans. C'est à peu près à cet âge qu'il a été probablement empoisonné. En étant, à la fois, la victime et le narrateur, avec ce dont je me souviens, tout me porte à le croire. Chrétien de part mon baptème, j'ai eu en plus droit à un stygmate (une marque) sur le front, assez important. Vers quarante ans, j'ai eu conscience que ce "détail" n'était pas venu tout seul. Il y a peu de temps, je remarque la même trace sur le front de ma mère. Donc, j'en conclu que d'une part, il existe un lien de mère à enfant (le troisième enfant) très fort qui nous rassemble, elle et moi, au regard de la religion chrétienne. Cependant, elle n'a jamais souffert de troubles très désagréable concernant le cerveau. Elle n'a jamais souffert de troubles de "la mémoire de travail" ou de la "mémoire immédiate". Me concernant, ce ne fut pas le cas. Par conséquent, les stygmates ni étaient pour rien, il s'agit, donc d'autres choses. Mais qui est assez pourris sur cette terre, pour faire subir cet "autre chose" à un enfant de cet âge, avec ce type de crime irréversible ? Comme explication, il n'y aura que l'empoisonnemant, la détérioration volontaire du cerveau, une maladie, avec le souhait de vouloir blesser à vie...

1973
Entre 5 et 10 ans. C'est toujours et encore le même petit garçon. En 1973, il a 7 ans. A l'école Marcel Laffitan à Versailles, en cours élémentaire 2. Son institutrice lui inflige des violences corporelles, des coups violents sur la cuisse. Le soir même, sa mère remarque les traces de l'agression et va à l'école furieuse vers l'institutrice et finit par lui dire: "Dans ces conditions, vous lui fichez la paix, jusqu'à la fin de l'année".

Sa maman ressentait un réel danger pour l'enfant. Bravo la dame ? C'est sans doute ce que voulait entendre la fonctionnaire de l'éducation nationale, ainsi, elle se dédouannait et l'objectif reposait sur ce type de réaction. Evidemment, au cours des premières années, il déccroche par rapport à la classe et ça se poursuit jusqu'en 1976. Habitant désormais à Paris, l'on constate chez lui, avec une autre institutrice (Madame Mussard) une maladie des yeux: une myopie. A Versailles toutes les visites médicales n'avaient pas détectés ce problème aux yeux. Evidemment. Super, en 1977, il ne voyait quasiment rien au tableau et voilà qu'il retrouve les détails et la précision des formes, ça s'était concernant sa vision et le reste personne ne remarque rien et l'enfant ne se plaint pas. Le crime était presque parfait. Mais évidemment le retard est à sa dixième année trop important, ce qui va entraîner une lente descente vers la marginalité et un crash social. Ca vous a plût ? Vous en redemandez encore sur ce petit bon à rien qui réagit face à l'académie de Versailles et le département des Yvelines et quelques salauds de circonstances.


1978
La religion, depuis mes 12 ans, j'en ai fait le deuil, car lors d'une réunion de cathéchisme, rue d'Aubigny à Paris, parmis une douzaine de jeunes ouailles et mené par un prètre, l'on m'avait donné la parole à propos de la bible et de l'existence de jésus. A ce propos, j'avais accouché dans la douleur, tellement l'accueil fut réfrigérant, d'un couplet qui expliquait que les moyens de communication et l'information (médias, presse, etc, etc), il y a deux mille ans n'étaient pas ceux du 20 ème siècles. Par conséquent, je m'étais en doute la véracité de l'histoire raconté dans la bible. En usant de facilité, la religion voulait faire croire dans un récit, mais les gens étaient plus pauvres et n'avaient pas accès au savoir. Ce à quoi, le prètre me dit que même Karl Marx n'avait pas remit en cause l'existence de Jésus. Il est bien évident qu'à 12 ans de Marx, je ne connaissais que Groucho mais pas ses deux autres frères. Par la suite, ma mère fut poussée à venir rencontrer, le fameux prètre et il souhaitait que je n'assiste plus au cathéchisme. Catholique croyante mais pas pratiquante, elle s'y opposa, vainement. Le prètre va insister, elle s'inclina furieuse que je ne fasse pas ma première communion ni ma confirmation. Moi, j'étais plutôt content car le mercredi matin, je pouvais dormir un peu plus. Plus tard, je compris comment cette étape était lourde de sens avec beaucoup de portes fermées. Et l'ont comprends maintenant le sort médiatique, que certains infligent aux musulmans. C'est tellement plus facile...Mais si minable. Ce qu'il faut ajouter pour être tout à fait honnète, c'est le manque de recul dont je disposais sur les religions et le caractère sacrè du "livre" régissant chacun des trois principales religions monothéistes.


1989
Pendant cette année, c'est le coup de grâce, si l'on peut dire, celle qui va me mettre à l'ombre pendant plusieurs années. Non, heureusement pour moi, ce n'est pas la prison. Je deviens malade et ce n'est pas un hasard. La droite toujours et encore celle-là me cherche des poux dans la tête, ce sont toujours le même groupe d'entreprise qui cherche à me nuire, pourquoi ? Pendant 35 ans, l'on m'appellera Syd Barret dans les légendes urbaines internationales. Ce à quoi, à l'époque, je m'empare d'un ordinateur et commence à essayer de comprendre comment ça fonctionne. Au final, je gène et c'est un scandale et ça agace. Alors, désolé d'exister ! CS-04/05/2024


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